Du point de vue de l’investissement, il y a deux possibilités à la situation actuelle. Ce à quoi nous avons assisté jusqu’à présent est soit la volatilité naturelle et la correction d’un marché haussier normal… soit la première phase d’un marché baissier majeur…
: marché haussier
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Il est encore bien trop tôt pour savoir si la tendance haussière de ces cinq dernières années touche à son terme. M. le Marché est peut-être épuisé après une telle montée au pas de course. Ou peut-être qu’il joue simplement avec nous. Nous verrons bien…
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Nous assistons à une conférence sur l’investissement, à New York. Nous sommes frappé, pour l’instant, par l’optimisme des jeunes investisseurs. Ils pensent que les actions grimpent toujours…
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EpargnePhilippe Béchade
Les marchés haussiers peuvent s’effondrer à tout moment
par Philippe Béchade 4 janvier 2013▪ Vous savez quoi ? Seule une minorité de membres de la Fed pense que le QE3 à 85 milliards de dollars par mois sera prolongé au-delà de fin 2013. Et vous savez quoi ? Nous sommes convaincu qu’ils disent vrai. Parce qu’après un QE3 inefficace, il faudra bien mettre sur pied un QE4 qui tienne la route.
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Inflation et récession
La condition essentielle pour une vraie reprise du marché haussier
par Bill Bonner 27 février 2012Vous n’allez pas le croire… en fait nous avons nous-même du mal à le croire… mais après des mois de planification et de préparations pour notre expédition dans les hautes montagnes d’Argentine, nous sommes encore dans la ville de Salta. Notre projet a été retardé… par des inondations.
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Inflation et récession
Un marché haussier frauduleux dans un système corrompu
par Bill Bonner 6 décembre 2011De plus en plus de gens en arrivent à la même conclusion : le marché haussier est une fraude. Et le système est corrompu. C’est vrai — mais pas pour les raisons qu’ils croient.
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Inflation et récessionPhilippe Béchade
Le marché haussier du CAC 40 repose sur le trading automatisé
par Philippe Béchade 6 décembre 2011De la hausse, encore de la hausse… mais en pratique, nous ne relevons que des promesses de convergence — dont chacun sait qu’elle constitue la clé de la croissance économique en période de crise — et des plans d’austérité induisant des risques accrus de récession.
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« Avez-vous vu les données économiques de ces derniers jours ? » Voilà la question que m’a posée par e-mail un lecteur stupéfait. « Peut-on parler de ‘crise’ ? Cela semble incroyable »
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La saison des trimestriels a été bénéfique à Wall Street. Les résultats du deuxième trimestre se révèlent systématiquement supérieurs aux attentes du marché. Bien entendu, tout le monde a fait semblant d’être surpris. Les cours ont monté — c’est tout ce qui compte. Voilà comment les initiés de la Bourse fabriquent encore une fois un rebond boursier à partir de rien
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La plupart des actions n’ont pas encore atteint leurs ultimes plus bas. Si l’on ne peut voir les planchers absolus du marché baissier dans son rétroviseur, c’est qu’ils sont encore à venir. Rappelez-vous le schéma large d’un marché boursier : il va d’un sommet historique à un plancher historique… avec des années d’allées et venues entre les deux. Lorsqu’on achète des actions au milieu de ce schéma… lorsqu’elles ne sont pas bon marché… on est entièrement à la merci du marché. S’il grimpe, on s’en sort bien. S’il baisse, on perd de l’argent
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Wall Street s’efforçait d’aligner hier soir une troisième séance positive consécutive depuis le début du deuxième trimestre 2010 (le Nasdaq grappille +0,1%). Le CAC, qui affichait sa volonté de ne pas se laisser distancer par les indices américains (en hausse de 0,8% la veille), inscrivait sa meilleure clôture annuelle à 4 054 points à l’issue d’une séance irrégulière et très modérément active : 3,4 milliards d’euros échangés après quatre jours d’interruption, c’est tout bonnement dérisoire. Les principales places européennes terminaient sur un gain de 0,35%. Paris fait donc un petit peu mieux (+0,5%) que la moyenne des indices… Amsterdam dominait largement ses rivales de la zone Euronext avec une flambée de 1,2% (grâce à Arcelor-Mittal et ses 4% de hausse qui ont également dopé le CAC 40)
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Début de semaine, nous n’étions pas certain de la direction des marchés. Puis nous avons eu des doutes… Nous pensions que les cours étaient à la baisse. Mais les bonnes performances ont remis notre hypothèse en question. Pourquoi les actions baisseraient-elles ? Parce qu’elles sont valorisées pour une reprise forte. Mais nous n’aurons pas une reprise forte. Nous n’aurons pas de reprise du tout. Les investisseurs ne pourront que s’en apercevoir, tôt ou tard
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Au cours des prochaines années, les actions vont perdre de leur valeur au fur et à mesure que l’or augmente — même si nous allons devoir subir des épreuves comme celle que nous subissons en ce moment, où le marché boursier remonte après avoir chuté. Les actions américaines sont à 29 fois les bénéfices, avec des rendements de moins de 2%, c’est terrible
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Epargne
Les ventes des frères Toll ne constituent pas un bon achat !
par Eric J. Fry 28 septembre 2009Que voyons-nous ? Eh bien, nous voyons quelques signes que l’économie a cessé d’empirer… et beaucoup de signes qui montrent que l’économie est loin de se remettre. Nous voyons aussi que les actions ont des valorisations TRES hautes par rapport aux données économiques actuelles, contrairement aux données espérées. Enfin, nous voyons que ceux les dirigeants n’aiment pas trop les actions de leurs propres entreprises
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Est-ce possible ? Le Dow Jones n’a repris que 15% environ par rapport à son plancher. Ce serait une Grande Déception pour de nombreux investisseurs. Ils commençaient tout juste à se dire que le pire était passé. Ce qui nous fait penser que le rebond n’est probablement PAS terminé. Il est trop tôt pour mettre les haussiers à bas. Ils ne sont pas assez nombreux. Le marché devrait grimper encore… pour attirer plus de gogos
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Lorsque les marchés ont commencé à montrer quelques faiblesses à la fin juillet, certains commentateurs de CNBC et autres observateurs du monde de la finance ont commencé à hurler à la lune, réclamant une baisse des taux. Selon le raisonnement, une baisse des taux aide les marchés, et tout le monde peut alors recommencer à gagner de l’argent. Crise évitée, barrage colmaté, et ainsi de suite. Mais comme le notait récemment l’analyste financier Michael Belkin, "le consensus est 100% convaincu que les baisses de taux de la Fed sont toujours haussières (il ne faut pas lutter contre la Fed, etc.) — mais les données ne sont pas de cet avis".