Théorie keynésienne : brisons les mythes sur l’inflation et les taux d’intérêt
Keynes a donné aux gouvernements l’excuse parfaite pour interférer dans l’économie. Les gouvernements pourraient-ils renoncer volontairement à un tel pouvoir ?
Keynes a donné aux gouvernements l’excuse parfaite pour interférer dans l’économie. Les gouvernements pourraient-ils renoncer volontairement à un tel pouvoir ?
Réformer le système monétaire mondial semble être une bonne idée, mais quelle alternative proposer ? S’inspirer de celle qui a été rejetée à Bretton Woods en 1944 poserait un grand nombre…
La reprise dépend du gouvernement – mais certains ont tendance à oublier un peu vite d’où ce dernier tire l’argent utilisé pour faire redémarrer l’économie.
Deux théories de l’inflation s’affrontent, mais ni l’une ni l’autre ne suffit à expliquer – et encore moins résoudre – la crise actuelle.
Les gouvernements ont démontré qu’ils pouvaient ouvrir les vannes monétaires en grand – pourquoi s’arrêter là ? Pourquoi ne pas imprimer jusqu’à la reprise complète et totale de l’économie ?
Les outils dont se servent nos dirigeants pour élaborer leurs programmes masquent désormais la réalité, au lieu de servir à l’améliorer : la crise n’en sera que plus dure.
Face à l’instabilité boursière, certains pensent qu’il est nécessaire de réguler les marchés : mais qu’en est-il de la stabilité des régulateurs ?
Il n’y a plus assez de revenus pour faire tourner la machine économique… mais nos gouvernements trouvent quand même le moyen d’en ponctionner toujours plus – à leur avantage.
Pour aujourd’hui, exclusivité : un extrait du prochain livre de Bill Bonner, encore inédit en France (et aux Etats-Unis).
L’échec de la politique des banques centrales commence à être reconnu de tous ; la relance ne se manifeste pas, et l’opinion s’en aperçoit peu à peu.
Toutes les mesures de relance se réduisent à une chose au final : l’inflation. Aujourd’hui, les autorités n’ont plus le choix pour maintenir l’équilibre économique.
La répression financière fait rage, mais les autorités qui l’ont mise en place se trompent de raisonnement : gare aux conséquences.
Pourquoi l’économie ralentit-elle ? La stagnation est-elle inéluctable… ou le résultat de mauvais choix politiques et économiques de longue date ?
L’acharnement des grands planificateurs, des banquiers centraux, des banquiers employés des banques trop grosses pour faire faillite, des économistes, des politiciens s’explique de cette façon : leurs erreurs ne rejaillissent pas sur leur vie personnelle…
Et voici un sage de la BBC qui rappelle au bon souvenir de Ben Bernanke le plus grand économiste du 20ème siècle. « Que ferait Keynes ? » demande-t-il. La réponse tombe sous le sens pour quiconque a un peu réfléchi aux Keynésiens. Keynes aurait fait exactement ce qu’il ne fallait pas !
Il fait chaud et humide à Buenos Aires. Nous dépérissons. Nous ralentissons. Nous avons du mal à respirer. On se croirait dans le Maryland en plein été. Mais l’humidité ne ralentit pas la fête.
L’un des mythes les plus omniprésents, l’un des plus perpétués — soit par ignorance, soit par malveillance — par les médias dominants, est que le tumulte du marché auquel on a assisté ces dernières années est en quelque sorte le résultat d’une économie de marché qui se serait « dérégulée ».
Les mises en chantier ont chuté de 12% aux Etats-Unis. L’emploi ? Oubliez ça. Le chômage continue de sévir… et il n’y a pas d’embellie en vue. Tant les prix à la consommation qu’à la production stagnent plus que prévu. Malgré tout ce qu’on dit de "l’inflation", elle n’existe pas. Oui, cher lecteur, nous vivons une grande correction. Simplement, nous ne savons pas ce qu’elle a l’intention de corriger. Pas encore