La Bourse, concurrent pervers de l’investissement
La Bourse n’a désormais plus qu’un très lointain rapport avec l’investissement – en fait, elle lui fait même concurrence, nuisant à l’économie réelle… et aux investisseurs eux-mêmes.
La Bourse n’a désormais plus qu’un très lointain rapport avec l’investissement – en fait, elle lui fait même concurrence, nuisant à l’économie réelle… et aux investisseurs eux-mêmes.
Les indices se multiplient : la hausse boursière commence à se fragiliser. Les « grosses mains » préparent leur sortie… tandis que les investisseurs individuels n’auront plus qu’à comptabiliser leurs pertes.
La bulle a atteint une apogée spectaculaire la semaine dernière – mais ce n’est pas grave, on ne fait que s’amuser, n’est-ce pas ?
Les OPA passent et ne se ressemblent pas : la multiplication des opérations de rachat ces derniers temps est-elle une opportunité ou une calamité pour l’investisseur particulier ?
Les robots de trading sont stupides… mais ce n’est pas pour autant qu’ils ne sont pas dangereux. Ne vous fiez pas aux algos…
Les marchés sont de plus en plus automatisés, régis par des robots. Une situation qui peut marcher pour les avions ou les automobiles, mais qui s’avère plus problématique en Bourse…
En fin de boom, les investisseurs sont paresseux : ils recherchent les paris boursiers les plus faciles… même s’ils perdent de l’argent. Tesla en fait partie.
Les Etats-Unis ne sont pas en forme et le dernier indice qui le confirme est la baisse des recettes fiscales. Mais les actions, elles, sont au zénith…
L’étude des foules a toujours fasciné le monde de la finance. Il n’est guère difficile de comprendre pourquoi. Les marchés peuvent en venir à des extrémités folles, à tel point qu’elles deviennent incompréhensibles…
Aux cours actuels, plus aucune mine d’or, d’argent ou de platinoïdes n’est rentable sur la planète. Toute l’industrie minière subit le ralentissement de la demande de la Chine et — on l’oublie trop facilement — de la Corée du Sud, de Taïwan ou Singapour…
Comment réagir aux annonces de résultats d’entreprise ? Attendre que cette information soit dévoilée au grand public ou essayer de deviner ce que les dirigeants essaient de cacher ? C’est à cette question que les auteurs de l’étude que je vous présente aujourd’hui se sont attelés…
Combien de temps devrait-on consacrer à essayer de prévoir quel sera le futur du marché boursier, de la Fed, de l’économie, des taux d’intérêt, des monnaies et de la géopolitique ? Ma réponse : « pas trop de temps »…
Il existe un portefeuille en comparaison duquel le mien semble impatient : le Voya Corporate Leaders Trust Fund. J’ai lu à ce sujet un excellent article, écrit pour Reuters par Ross Kerber…
Aujourd’hui, nous allons parler des stops boursiers — ou seuils de sécurité. Le Dr Richard Smith, mathématicien, a eu la bonté de venir nous rendre visite au Nicaragua, où nous avons pu lui offrir un verre ou deux. Il nous a expliqué comment fonctionnent les stops…
Coup de balai sur nos économies poussiéreuses. Pourtant, la crise n’aura pas perturbé nos femmes de ménage, nounous et professeurs à domicile. Les services à la personne ne cessent de se développer, largement soutenus (financés) par l’Etat, qui y voit un amortisseur du choc socio-économique. Preuve de la maturité de ce secteur, la première société spécialisée arrive en Bourse. A saisir ! Portés par une démographie unique en Europe (vieillissement de la population et forte natalité) et par l’évolution de nos modes de vie (féminisation du travail, essor des familles mono-parentales, maintien à domicile de populations de plus en plus âgées), les services à la personne ont de beaux jours devant eux
Les Etats-Unis pourraient donc connaître une croissance de 2,5% à 2,8% en 2010 (tandis que la France afficherait un affligeant +1%, selon Christine Lagarde). Cela peut-il justifier des multiples de capitalisation qui flirtent depuis le milieu de l’été 2009 avec ceux d’octobre 2007 ? La manipulation des cours — et de l’opinion, par des médias unanimement optimistes — est devenue un phénomène banal et récurrent au quotidien à Wall Street : plus les nouvelles sont mauvaises, plus les indices grimpent
Une idée reçue veut que le placement en actions soit toujours gagnant à long terme. C’est faux. La seule bonne stratégie consiste à entrer et à sortir aux bons moments et sur les bons secteurs. En fait, les financiers, les gestionnaires et les opérateurs de marché ont intérêt à ce qu’il y ait en permanence le plus de transactions possible. Mais, à regarder les chiffres sur le long terme, cette idée de gain garanti est erronée