Il parait loin le temps où la crédibilité d’une banque centrale était assise sur sa réserve d’or. Mais en 1966, Alan Greenspan proférait une curieuse mise en garde…
Greenspan
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A la uneBanques CentralesDeep State
La Fed va-t-elle poignarder les investisseurs dans le dos ?
par Bill Bonner 11 octobre 2017Les options put de Greenspan et Bernanke disparaissent. Au contraire, les investisseurs se retrouveront bientôt sans acheteur en dernier ressort, avec une Fed vendeuse…
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Faute d’étalon-or, la monnaie n’est plus ancrée dans l’économie réelle. C’est ce qui permet au Deep State de se financer, comme l’avait admis Grenspan…
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Banques CentralesFerghane AzihariLiberalisme
L’étonnant plaidoyer pour l’étalon-or d’Alan Greenspan
par Ferghane Azihari 7 mars 2017Alan Greenspan, l’ex-Président de la Banque centrale américaine, désormais retraité, prône le retour à l’étalon-or.
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Banques CentralesSimone Wapler
En route pour rencontrer Alan Greenspan
par Simone Wapler 16 janvier 2017Voici une chronique abrégée de ma part car j’arrive tout juste à Baltimore, aux Etats-Unis, pour un « tour de table économique » des différents bureaux internationaux d’Agora…
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A nouveau, l’exubérance irrationnelle est à son comble sur les marchés financiers. Comme Alan Greenspan en son temps, Janet Yellen ne voit rien venir…
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Inflation et récession
Alan Greenspan n’est plus à la Fed… et ça lui réussit
par Bill Bonner 30 janvier 2012▪ La semaine dernière, les investisseurs ont appris que la Fed continuerait à distribuer de l’argent sans rien demander en retour pendant encore trois ans. L’or a grimpé. Les actions ont baissé.
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Quel dommage, ce Jérôme Kerviel. Un si beau jeune homme. Avec un avenir si prometteur. Rappelons — pour ceux qui étaient sur la planète Mars ces derniers jours — que Kerviel est le trader de la Société Générale qui a perdu 4,9 milliards d’euros en trades non-autorisées. Voilà que le malheureux doit faire face aux conséquences de ses actes. Le problème, c’est que ça ne lui a guère plu. Et à notre avis aussi, la sanction était inappropriée
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"Le canari dans la mine de charbon pour les obligations US", ce sont le bon à 10 ans et l’obligation à 30 ans, a déclaré hier Alan Greenspan aux participants au Sommet. Il prétend que c’est la première chose qu’il vérifie le matin quand il se réveille. D’après l’octogénaire à lunettes, l’histoire montre que lorsque l’inflation revient dans le système, ça se passe de façon dramatique
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"Les chiffres du troisième trimestre pour le PIB ont largement dépassé toutes les attentes", a déclaré l’investisseur milliardaire Kenneth Fisher, le 10 novembre, pour exprimer l’optimisme contagieux du moment. "L’économie ne remonte pas doucement". Fisher aurait sûrement dû tenir sa langue. Mais il a prédit que l’indice S&P 500 atteindrait les 1 300 "dès le mois de février". Le S&P est actuellement sous la barre des 1 100, et février est déjà là
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On pourrait penser — après 50 000 milliards de dollars de pertes — que les gens seraient un peu plus prudents dans leurs choix. Qui prendrait au sérieux les pensées d’Alan Greenspan, par exemple ? Pourtant, les journaux continuent de rapporter ses remarques avec le plus grand sérieux
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"Le secteur de la sécurité des entreprises est en plein boom", déclare le Herald Tribune. Jusqu’à présent, tout le spectacle des primes/salaires des dirigeants/renflouages n’était qu’une amusante diversion — distrayant l’attention des gens avec quelques petits millions tandis que la Fed leur faisait les poches et les dépouillait de milliers de milliards de dollars. A présent, les choses tournent mal
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Le successeur de Greenspan veut avoir son portrait en couverture du TIME tout autant que son ancien patron. Il est décidé à vaincre la crise. S’il y parvient, le TIME lui décernera probablement le titre d’Homme de l’Année. S’il échoue, nous lui décernerons probablement le titre de Crétin de l’Année. Il a essayé de baisser les taux. En fait, il les a plus baissés que Greenspan
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"Greenspan approuve la nationalisation", titre un journal. Eh bien, voilà qui règle la question, à la Chronique Agora. Si Greenspan est pour, nous sommes contre. Personne n’est plus responsable qu’Alan Greenspan de la crise financière mondiale actuelle et de la dépression qui s’annonce
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Epargne
Le jour où la planète financière faillit s'arrêter de tourner
par Philippe Béchade 27 octobre 2008La journée du vendredi 24 octobre s’est traduite par un rarissime phénomène de liquidation global de tous les actifs "à tout prix". Pour tenter de se rassurer, le CAC 40 est l’un des indices mondiaux qui a enregistré le plus spectaculaire rebond en l’espace de deux heures, après réouverture de Wall Street. Les pertes ont été réduites de pratiquement deux tiers à Paris par rapport au pic de panique survenu vers 11h30/11h45, lorsque le CAC 40 affichait jusqu’à 10,6% de baisse
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Face à la débâcle, la probabilité de voir les déposants se ruer aux guichets des banques n’est pas nulle. A tel point que les Etats-Unis, après l’Allemagne, pourraient garantir l’ensemble des dépôts bancaires et l’endettement des établissements bancaires. C’est tout simplement impossible
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Alan Greenspan est de retour en première page. Selon lui, "le risque était lourdement sous-évalué" l’été dernier. Dommage qu’il ait attendu un an pour en parler
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De nombreux marchés étrangers — dont la Chine, l’Inde, la Russie et le Brésil — ont profité de vrais booms. Ils ont construit des usines. Ils ont mis en place des aéroports et des autoroutes. Les salaires ont grimpé. Les PIB ont augmenté. Dans ces pays, les gens sont plus aisés aujourd’hui qu’il y a dix ans. Voilà pourquoi ils ont été des investissements si profitables ; voilà aussi pourquoi nous continuons à les recommander. S’ils continuent de se développer, leurs citoyens peuvent s’attendre à être un jour aussi riches que les Occidentaux — voire plus riches