BRICS : Une nouvelle confédération souveraine face à la domination du dollar ?
Les BRICS ressemblent davantage aux Etats-Unis d’origine qu’à la version plus moderne des Etats-Unis.
Les BRICS ressemblent davantage aux Etats-Unis d’origine qu’à la version plus moderne des Etats-Unis.
Les autorités fédérales doivent gonfler la masse monétaire. Et elles ne peuvent le faire que tant que les gens acceptent leur fausse monnaie.
Les BRICS ne cessent de gagner en puissance sur la scène internationale. Alors, le dollar est-il menacé ?
La guerre paie, du moins pour ceux qui travaillent dans l’industrie de la puissance de feu. Pour tous les autres, c’est une malédiction.
Il n’est pas étonnant que les métaux précieux pulvérisent les dernières résistances, elles aussi historiques…
En août 1971, les autorités ont introduit leur nouveau dollar en monnaie de crédit. Un an plus tard, les investisseurs en or avaient doublé leur mise.
Les républicains comme les démocrates sont favorables à un fonds souverain, qui ne ferait que transférer davantage de pouvoir et d’argent vers l’élite de Wall Street et de Washington.
Dans un système monétaire honnête, les gens gagnent de l’argent en fournissant des biens et des services (souvent du travail) à d’autres.
Les sociétés évoluent. Les choses changent. Les élites se disputent le pouvoir et l’utilisent pour déplacer les richesses dans leur direction.
Le Japon se retrouve le premier à faire face au mur de sa dette ; les épargnants semblent maintenant comprendre que la valeur du yen ne sera plus garantie.
Des billions de dollars de dettes seront dévalués ou radiés. La fausse richesse disparaîtra. Les électeurs, déjà agités, aiguiseront la guillotine.
Le nouveau dollar, basé sur le crédit, a créé une économie basée sur le crédit, qui s’est développée grâce à l’emprunt d’argent qui n’existait pas.
Folle spéculation baissière sur le yen… gare au retour de bâton !
Si Ford voulait gagner plus d’argent, il devait produire plus de voitures (de meilleures voitures) et les fabriquer plus efficacement. C’est ainsi que fonctionne une économie capitaliste honnête.
Le gouvernement de la nation la plus prospère du monde – les Etats-Unis – ne peut pas se financer lui-même ; il finance près d’un tiers de ses dépenses à crédit.
Le nouvel argent est né sous une forme de crédit accordé par les banques, et non sous forme d’un actif. Il a été emprunté, à des taux absurdement bas, au lieu d’être gagné.
Les banques se sont enrichies. Le Congrès s’est enrichi. Les lobbyistes se sont enrichis. Et vous ?
L’or et les cryptomonnaies se redressent, alors que le monde cherche des substituts à l’ancien et puissant billet vert…