▪ L’or a dépassé les 1 600 $ : est-il temps de vendre ? Non, de loin pas. Il devrait atteindre 2 500 $ rien que pour toucher le sommet — ajusté à l’inflation — fixé il y a 30 ans.
crise
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Inflation et récession
Les couleuvres des plans de relance donneront naissance à l'inflation
par Simone Wapler 15 juillet 2011▪ Depuis Bear Stearns et Lehman Brothers en 2008, nous en avons avalé des couleuvres. Vous avez une indigestion de couleuvres, que ce soit à la sauce verte du dollar ou à la sauce bleue de l’euro ? Vous avez bien raison. Désinformé, vous êtes tenté de prendre de mauvaises décisions dans la gestion de vos finances.
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Inflation et récession
Marché obligataire : la dette des Etats-Unis ne vaudra pas mieux que celle de la Grèce
par Eric J. Fry 15 juillet 2011▪ Les marchés financiers européens sont en train de se casser la figure plus vite encore que la campagne présidentielle de Donald Trump. La plupart des places boursières du Vieux Continent ont chuté de 2 à 3% avec l’explosion des rendements obligataires. La baisse de 151 points du Dow Jones n’est rien du tout, en comparaison.
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Inflation et récession
Tim Geithner a-t-il changé d'avis sur la récession et la reprise ?
par Bill Bonner 12 juillet 2011▪ La lutte pour la reprise est terminée. Les autorités ont levé le drapeau blanc. Peut-être…
Le département du Travail US a révélé les derniers chiffres de l’emploi la semaine dernière. Ils étaient atroces. Un cinquième seulement de ce que le consensus avait prévu. Ce qui démontre trois choses.
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Or & Matières Premières
Déséquilibres et turbulences : quelle attitude avoir face aux dangers ? (2)
par Jean-Claude Perivier 30 juin 2011Nous avons abordé hier les troubles qui affectent le Moyen-Orient, à commencer par l’Egypte et Israël entre autres. Ci-dessous, la suite et fin de notre tour d’horizon dans la région… et ce que cela implique pour vous en tant qu’investisseur.
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Inflation et récession
Les obligations et le dollar US, un dangereux abri contre la crise de la dette souveraine
par Bill Bonner 30 juin 2011Dans le Wall Street Journal, Lindsey livre des pensées qui pourraient venir directement de la Chronique Agora. Il note d’abord que les problèmes budgétaires auxquels est confronté le gouvernement américain sont plus vastes qu’on le déclare en général. Les taux de croissance ont été surestimés, dit-il, tandis que les coûts des intérêts et les déficits ont été largement sous-évalués.
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Or & Matières Premières
Déséquilibres et turbulences : quelle attitude avoir face aux dangers ? (1)
par Jean-Claude Perivier 29 juin 2011Dans de nombreux domaines, le monde est en ébullition. Insurrections, révolutions, catastrophes naturelles ou industrielles, crise de la Grèce, crise des déficits abyssaux, dettes souveraines hors de maîtrise, notre environnement est en train de changer brutalement. Sans être excessif, je crois que l’on peut dire que nous sommes tous touchés, de près ou de loin, par ces bouleversements. Ces derniers ne peuvent que vous concerner en tant qu’investisseur.
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Indices, marches actions, strategies
La récession pèse sur les prix et sur la main-d'oeuvre aux Etats-Unis
par Bill Bonner 23 juin 2011Clive Crook, écrivant dans le journal de lundi, voit que les Etats-Unis prennent la direction du Japon. Après une récession, les Etats-Unis se reprennent généralement rapidement, note-t-il. Mais cette fois-ci, quelque chose ne va pas.
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Inflation et récession
Une "décennie perdue" pour les Etats-Unis… et une autre s'annonce
par Bill Bonner 22 juin 2011Un article du Financial Times nous annonçait lundi que les Américains sont peut-être confrontés à « une décennie perdue », comme les Japonais dans les années 90. Quoi ? Nous avons perdu un week-end ou deux. Mais comment peut-on perdre toute une décennie ?
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Inflation et récession
Entre l'immobilier et le chômage, la classe moyenne américaine est en crise
par Bill Bonner 7 juin 2011Le prolétariat américain est bien à plaindre. Les investisseurs ont épongé la majeure partie de leurs pertes de 2008-2009, mais le malheureux travailleur yankee continue de subir une volée de bois vert. Il n’a pas d’actions. Il a une maison. Et l’immobilier ne fait que baisser.
Ses revenus baissent aussi.
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Ni l’immobilier ni l’emploi ne montrent de signes de reprise. Près de quatre ans après l’effondrement de Countrywide — le plus grand prêteur subprime des Etats-Unis — l’immobilier continue de baisser. Jusqu’où ira-t-il ? Gary Shilling déclare qu’il faudra une nouvelle chute de 20% des prix de l’immobilier pour qu’ils reviennent en ligne avec leur tendance historique
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Les Etats-Unis ont désormais un taux de chômage supérieur à celui de la Russie… de la Grande-Bretagne… de l’Allemagne… ou du Japon. En termes de chômage, les Etats-Unis font partie des meilleurs au monde. Pourquoi donc ? Les économistes n’arrivent pas à comprendre. Selon l’économiste de Harvard Lawrence Katz, c’est "authentiquement déroutant"
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La majorité des investisseurs reste extrêmement optimiste et ne voit rien venir. Au contraire des insiders, qui sont vendeurs nets depuis des mois. La fête ne devrait plus durer car elle repose sur l’effet de levier frénétiquement utilisé, en fin d’année, pour obtenir une performance positive, quitte à détruire de la valeur
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Le contexte social apparaît au moins aussi déprimé en France, en Angleterre et aux Etats-Unis qu’en janvier 2010. Et les références aux politiques d’austérité budgétaires (avec leur cortège de hausses d’impôts plus ou moins déguisées) sont beaucoup plus explicites. Nos politiques préviennent déjà qu’il n’est pas question de lever la garde avant 2015, voire 2018, le temps de résorber les déficits que la crise de 2008 a engendrés
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On ne s’en rend pas compte lorsqu’on lit la presse ou qu’on parle à ses voisins, mais nous sommes toujours en crise. Nous en parlons uniquement parce que pas mal de gens semblent l’avoir oublié. Ils voient des gains à deux chiffres pour les actions US en 2010. Ils voient des matières premières à des prix record et des rendements obligataires en hausse
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Les journaux racontent que l’extension des baisses d’impôts de Bush pourrait être tout ce dont l’économie a besoin. Il n’y aura peut-être pas besoin d’autres mesures de relance. Parce que si les riches peuvent s’attendre au même taux d’imposition l’an prochain… … que vont-ils faire exactement ? Investir plus d’argent ? Oui… en Inde ! Et en Chine ! Et dans les matières premières ! Et même dans l’or
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Pourquoi l’Irlande essayait-elle si désespérément de sauver ses banques ? Pourquoi les Etats-Unis se sont-ils précipités pour sortir Fannie Mae et Freddie Mac du pénitencier ? Pourquoi mettre en danger le système financier planétaire pour essayer de faire passer le chômage américain de 9% à 6% ? Nous en concluons que les gens ont une crainte profonde du capitalisme
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Il faut s’attendre à un miracle. Ou à une fraude. Pour de l’argent imprimé — de l’argent créé à partir de rien –, il est impossible de générer de la richesse réelle. Ce n’est que du papier. Ou même moins. Ces jours-ci, ce n’est rien de plus qu’une bribe de l’imagination d’internet. Un guichetier tape un chiffre sur son clavier. Et hop ! Une banque à des milliers de kilomètres de là reçoit un milliard de dollars. Le monde en est-il un centime plus riche ? Bien sûr que non