Tout va très bien dans le monde de l’argent factice et de la spéculation assistée par ordinateur… à trois détails près. Le rebond des marchés financiers se poursuit et le…
Citigroup
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A la uneBanques CentralesIndices, marches actions, strategiesSimone Wapler
La richesse savonnette – Marché actions
par Simone Wapler 29 janvier 2018La richesse créée par les marchés actions atteint des niveaux record en janvier 2018 mais Citigroup prévoit une chute de 50% à mi 2019…
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Inflation et récession
De Wells Fargo à Citigroup, les bancaires US sont à éviter
par Greg Guenthner 18 juillet 2014Il s’agit de cette époque magique de l’année qui fait dire aux investisseurs, « j’aurais dû vendre hier ». Des comptes de résultats déplorables ou une orientation générale médiocre peuvent faire couler les titres, casser les tendances et rapidement ruiner votre semaine.
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EpargnePhilippe Béchade
Le Dow Jones à 18 000, le S&P 500 à 1 800… c’est pour quand ?
par Philippe Béchade 15 mars 2013Lorsque le marché devient trop intelligent, trop subtil, il devient difficile de cerner la tendance. Nous lisons trop d’avis contradictoires… comment s’y retrouver…
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Inflation et récessionPhilippe Béchade
Investisseur, toi qui entre sur le marché, abandonne toute espérance
par Philippe Béchade 4 octobre 2011▪ ll y a des moments où l’on a envie de tout envoyer promener ; par exemple lorsque le niveau d’imbécilité de la sphère politique dépasse les limites du concevable.
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Inflation et récessionPhilippe Béchade
Moody’s dégrade encore la note de la dette souveraine grecque
par Philippe Béchade 3 juin 2011Moody’s a une nouvelle fois dégradé la note de la dette souveraine de la Grèce à Caa1 mercredi soir. C’est pratiquement le pire niveau de la catégorie junk bond, il indique un risque de défaut quasi certain. Cet épisode arrive au moment même où le FMI fait savoir qu’il ne versera pas les sommes prévues dans le plan de sauvetage au mois de juin, parce que la Grèce est incapable d’apporter la preuve de sa capacité à rembourser à un horizon de 12 mois.
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On a appris que la Fed a distribué des milliers de milliards de dollars sous le manteau en sauvetages d’entreprises et garanties au cours de la crise de 2008 et début 2009. Grâce à une habile clause dans la loi de réforme Dodd-Frank, la Fed a en effet été obligée de tout déballer sur ces détails embarrassants
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Le CAC 40 cédait ce mardi 1% à la mi-séance et 0,45% au final. Cela ne suffit certainement pas à invalider la tendance haussière en vigueur depuis fin août… mais deux mois, c’est long. Un indice comme le Nasdaq ou le S&P ont grimpé durant sept semaines sur une série de huit sans jamais reperdre plus de 2%. Ne cherchez pas dans ce genre de progression la moindre trace de "psychologie" : l’évolution des indices reste entièrement dictée par la liquidité disponible
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Vous connaissez l’impact et l’importance des changements de recommandations de brokers. Qu’ils s’agissent d’Exane, Cheuvreux ou encore Morgan Stanley, ils sont assurément un bon baromètre de l’évolution des cours à très court terme. Il en est un pour qui les choses sont radicalement différentes : Citigroup
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Soit la naïveté des analystes est confondante… Soit ils alimentent en toute connaissance de cause une hausse boursière factice destinée à endormir l’opinion alors que de nouveaux risques de krach boursier et monétaire menacent directement le système financier américain
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La journée d’hier donne à réfléchir. Parce que, comme l’expliquait Philippe Béchade, "les autorités boursières américaines, quoi qu’elles en disent, ont complètement perdu le contrôle de la situation entre 20h40 et 20h45. Les carnets d’ordres ont été totalement purgés en quelques secondes par les programmes informatiques à l’origine d’un déferlement sans précédent de stops vente, rééditant en quelques secondes le scénario du 19 octobre 1987"
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La séance du 6 mai à Wall Street restera dans les annales comme la synthèse de tous les travers, excès et absurdités d’une Bourse robotisée, où le trading à la milliseconde peut déboucher sur les pires catastrophes
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Une reprise sans volume : pas bon, ça. Mais les plus perspicaces d’entre vous me feront remarquer que les volumes se sont nettement repris au cours du mois de septembre sur le S&P 500. Mais la remontée des échanges repose sur une poignée de titres, comme le relève William Hester, analyste auprès des fonds de placement Hussman. Et des titres bien connus de nos services :Fannie Mae, Freddie Mac, Citigroup, AIG et Bank of America, pour ne citer que les plus illustres –ainsi que les plus pourris, mais je ne souhaite pas gâcher l’ambiance
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L’acte de décès du système financier dérégulé fut scellé avec la nationalisation de Morgan Stanley, de Citigroup et de Bank of America en janvier 2010. Goldman Sachs s’était tiré d’affaire en concluant une joint-venture avec la plus ambitieuse des banques d’un ex-pays communiste, la star chinoise Shanghai Imperial Trust — celle-là même qui avait dévoré, à l’issue d’une bataille juridique homérique, le groupe HSBC menacé de démantèlement six mois auparavant
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Ouf ! Quel soulagement ! Nous avions peur que l’opération stress test ne débouche sur des conséquences négatives… pour notre crédibilité. Mais nous voici pleinement rassuré : comme nous l’avions écrit à de nombreuses reprises, le stress test de l’équipe Geithner, c’était du flan. Le Wall Street Journal et le Financial Times révèlent en effet que les 19 grandes banques américaines participant aux "tests de résistance" ont négocié comme des marchands de tapis pour faire baisser les chiffres officiels concernant le montant de capital requis en cas d’aggravation de la crise
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"Nous ne voulons pas en faire une affaire publique". C’est ce qu’a déclaré l’ancien secrétaire au Trésor américain Hank Paulson au PDG de Bank of America, Ken Lewis, en décembre dernier. La remarque de Paulson venait en réponse à la requête de Lewis : une lettre du président de la Fed, Ben Bernanke, qui reconnaissait que le gouvernement insistait pour que Bank of America rachète Merrill Lynch, malgré les pertes de méga-milliards de dollars de la maison de courtage
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Richard Russell étudie "le langage des marchés" depuis plus d’un demi-siècle. Même si personne ne maîtrise entièrement le langage du marché, Richard peut au moins suivre une conversation avec lui. "La tendance primaire est à la baisse", dit-il. En fin de compte, continue-t-il, peu importe ce que font Obama et Bernanke, la tendance primaire fera ce qu’elle voudra. Le marché baissier se poursuivra jusqu’à ce qu’il se soit "pleinement exprimé"
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Epargne
Quand le bookmaker part avec la mise de ceux qui n'ont pas parié
par Philippe Béchade 18 mars 2009L’affaire des bonus que se sont attribués les hauts dirigeants d’AIG n’a pas fini de faire couler de l’encre (mélangée aux acides les plus corrosifs). Aucun chroniqueur ne trouve de mots assez durs pour condamner les "récompenses" contractuelles allouées aux fossoyeurs de l’assureur, lesquelles devraient théoriquement être réglées rubis sur l’ongle par le contribuable