Le Dow Jones a chuté de 312 points supplémentaires vendredi. Lundi matin, les actions continuaient de chuter en Asie. Et en Europe. "Le Dow Jones à 5 000", voilà notre prédiction. Non pas que nous ayons la moindre information sur ce sujet. Mais quand nous observons une courbe à long terme du Dow Jones, nous remarquons qu’il monte et qu’il descend. Il a tendance à descendre très bas après être monté très haut – par vagues, sur 15 à 20 ans
chômage
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les investisseurs sont dans l’ensemble d’assez bonne humeur. Après tout, Warren Buffett est haussier sur le cours des actions… Warren mise son argent et ses paroles sur un seul cheval — les actions. Il dit être convaincu qu’elles vont faire mieux que les liquidités dans les dix prochaines années. A la Chronique Agora, nous ne sommes pas assez riches pour contredire le Grand Sage des Plaines. Qui plus est, nous pensons qu’il a raison. Du moins en partie
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Il se passe de drôles de choses. Et pas uniquement dans les banques. Les autorités US ont fermé quelques établissements bancaires dans l’Illinois et le Michigan. Les grandes banques ne vont pas fermer ; elles seront "recapitalisées" — et partiellement reprises par le gouvernement. Ce processus est déjà en cours en Grande-Bretagne. Les dirigeants européens se sont réunis et ont déclaré qu’ils feraient la même chose
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Le prix des maisons continue de s’effondrer, les emplois continuent de disparaître et le crédit continue de se retirer de l’économie. Ces trois difficultés auraient pu être surmontables, si ce n’est que le prix de la nourriture et de l’énergie atteignent en ce moment des sommets. Le coût de la vie explose au moment même où les sources de liquidités et de crédit des consommateurs s’assèchent.
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Cette semaine, le pétrole a grimpé. Les marchés asiatiques ont chuté, le Japon enregistrant hier sa plus grande baisse en six semaines. Et le dollar a faibli. Les spéculateurs commencent à parier que la Fed baissera ses taux une huitième fois ; telle est la rumeur qui circule. Comme nous l’avions prévu, les sept premières baisses ont fait des merveilles pour les prix du pétrole, de l’or et des matières premières… mais pas grand’chose pour l’économie. Le pétrole a grimpé de 60% en six mois… mettant sous pression le budget des ménages
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Epargne
Malgré l'incertitude des marchés, nous allons dans le bon sens !
par raphaelgaraud 21 mai 2008En France et en Europe nous avons, semble-t-il, plutôt bien résisté aux secousses et bouleversements du premier trimestre. Les publications de résultat de part et d’autre de l’Atlantique sont plutôt conformes aux attentes — voire moins mauvaises que prévues, bancaires mises à part. Alors ça y est ? La crise est finie ? Nous repassons à l’achat ?
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Les investisseurs n’ont pas jubilé en découvrant hier matin les chiffres de la croissance en Europe : elle aurait connu une accélération inattendue au premier trimestre 2008 et atteint 0,7% contre 0,4% au quatrième trimestre 2007 — le consensus tablait sur 0,5%
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Notre cher Jean-Claude — oui, il nous coûte décidément très cher, il n’y a qu’à constater la chute des commandes de l’industrie allemande, la chute de la consommation dans toute l’Europe et le recul des exportations depuis le début de l’année, pour cause d’euro fort — n’a jamais été aussi clair dans son diagnostic et ses recommandations. Face à la poussée de l’inflation, le sacrifice sans état d’âme du pouvoir d’achat des ménages est absolument impératif
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Talons hauts, talons plats… il nous a été plus facile d’obtenir ces renseignements que des indications sur l’évolution prévisible des marchés et des indices boursiers au Salon de l’Analyse Technique. Le consensus que nous avons recueilli au fil des conférences auxquelles nous avons assisté était du type "p’têt ben d’la hausse, p’têt ben d’la baisse", et les plus inspirés votaient pour le scénario de la consolidation latérale
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Epargne
Un 29 février de ce calibre tous les quatre ans, cela suffit largement !
par Philippe Béchade 3 mars 2008Difficile de trouver la semaine dernière des conditions plus difficiles pour travailler sur les marchés financiers ; dans un premier temps, ils ont en effet véhiculé le sentiment de vouloir résister à toutes les mauvaises nouvelles macro-économiques
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Les actions US ont perdu environ 1 500 milliards de dollars depuis leur sommet en octobre 2007. Dans le monde entier, ce sont 5 000 milliards de dollars environ qui ont disparu des marchés. Les financières… les constructeurs… les sociétés de logistique… les détaillants… l’un après l’autre, les secteurs tombent. Et les nouvelles sont quasiment toutes mauvaises : saisies, ventes de maisons, chômage, confiance des consommateurs, inflation… pertes… déclins…