▪ Le CAC 40 a fini vendredi sur un gain de 1,65% — non loin du zénith intraday des 3 461 points. Cela lui permet d’afficher une performance hebdomadaire de 3%, laquelle rattrape partiellement les 5% perdus la semaine précédente. Les chartistes y voient un retracement classique de 61% de la correction amorcée sous 3 580 points.
BRIC
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Croissance, pays émergentsIndices, marches actions, strategies
L’Afrique, un BRIC à elle toute seule ?
par Jean-Claude Perivier 28 mars 2012▪ L’Afrique du Sud fait depuis peu partie des BRICS, le « S » ayant été ajouté au « BRIC » pour l’inclure. Mais l’Afrique toute entière ne serait-elle pas elle-même un simple BRIC ?
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Croissance, pays émergentsIndices, marches actions, strategies
L’Afrique est un BRIC à elle toute seule : ne manquez pas le coche ! (la suite)
par Jean-Claude Perivier 8 mars 2012L’Afrique reste à la traîne pour ce qui est de sa place dans le commerce mondial. Mais le commerce entre la Chine et l’Afrique a atteint 100 milliards de dollars en 2008 et a dépassé le commerce entre l’Afrique et les Etats-Unis, tandis que l’Europe reste son premier partenaire. Toutefois, les autres pays émergents augmentent leurs échanges avec le continent noir.
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Inflation et récession
2001-2011 : une décennie perdue pour les investisseurs ? (1)
par Jean-Claude Perivier 30 novembre 2011Pour un investisseur, la crise c’est voir son portefeuille fondre comme neige au soleil. Bien sûr, les marchés montent et descendent. L’investisseur espère toujours qu’ils vont monter, et c’est heureusement souvent le cas. Mais à l’inverse, il est toujours exaspérant de voir s’évaporer des gains difficilement gagnés.
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Il se confirme que l’économie américaine n’irait pas loin sans son injection quotidienne d’adrénaline (la poche de goutte à goutte indique "QE2 – Taux 0,25%") pour soutenir son rythme cardiaque. Avec tout ce que le docteur Bernanke a injecté comme produits dopants dans ses veines à raison de cinq milliards de dollars par jour depuis début décembre, il y aurait de quoi faire repartir le coeur d’une baleine bleue échouée depuis trois jours sur une plage glacée de l’Alaska
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Peu importe quand — dans un, trois, cinq, sept ou dix ans — les marchés émergents battront à plate couture leurs homologues des pays développés. "On a beaucoup écrit sur le sujet des marchés émergents contre les marchés submergés", a noté Joel Bowman, "et à raison. Selon le stratégiste de Goldman Sachs, Timothy Moe, la valeur de marché des actions des marchés émergents va quintupler au cours des deux prochaines décennies, pour atteindre les 80 000 milliards de dollars d’ici 2030. La Chine aura d’ici là pris la place des Etats-Unis sur la première marche du podium, et sera devenu le marché le plus puissant du monde
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On le sait, crise mondiale oblige, les indices boursiers occidentaux sont à la peine mais, rassurons-nous, toutes les places financières ne sont pas pour autant dans le même cas. Je vous vois venir. Vous pensez que nous allons parler BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine) car tout comme moi vous savez que l’investissement via des trackers sur ces marchés émergents offre un intérêt évident tant en raison de leur potentiel que pour la diversification. Eh bien non. Aujourd’hui, je vous propose d’étudier d’autres pays tout aussi intéressants. Parmi eux, et proche du Vieux Continent, figure la Turquie
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Les marchés émergents représentent désormais près de la moitié de l’économie mondiale. Il n’est donc pas surprenant que ces marchés émergents représentent aujourd’hui 10 des 20 plus grosses économies du monde. L’Inde est aujourd’hui plus imposante que l’Allemagne. La Russie est plus importante que le Royaume-Uni. Le Mexique pèse plus lourd que le Canada. La Turquie est plus grosse que l’Australie
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Il y a peut-être une dépression en Occident… mais elle n’a pas ralenti le mouvement de l’argent et du pouvoir, qui passe des économies mûres et développées vers les marchés émergents. Ces derniers se développent plus rapidement ; tout le monde sait ça. Selon une étude de Goldman, près de la moitié de la croissance économique mondiale se produit désormais dans seulement quatre pays. Aucun pays développé n’est sur la liste : il s’agit des BRIC… le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine. Ils ont été bien aidés par la Fed
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Epargne
Royaume-Uni et Etats-Unis, prochains sur la liste des agences de notation ?
par Dan Denning 14 décembre 2009Vous avez entendu parler des "BRIC". Ce sont ces économies qui se développent à un rythme galopant : le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine. Nous avons désormais les "PIIGS" : Portugal, Irlande, Italie, Grèce et Espagne (Spain, en anglais). Ce sont les pays européens dont les finances nationales sont le plus en détresse. Les trois agences de notation, Standard & Poor’s, Moody’s et Fitch, n’y sont pas allées de main morte sur les PIIGS cette année
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Il est devenu courant, quand on parle d’économies émergentes, de se concentrer sur les pays appelés BRIC. Mais on oublie souvent de parler d’une autre région très importante. En réalité, cette région a même une économie plus importante que le Brésil, la Russie ou l’Inde. Et en termes de croissance, elle se développe plus vite que n’importe lequel de ces pays
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Au début de la crise, à l’été 2008, la Russie disposait de 600 milliards de dollars de réserves de change et le pétrole flirtait avec ses plus hauts. Le pays semble donc bien armé pour affronter le marasme qui s’annonce. C’était sans compter les aléas des cours des matières premières et, surtout, sans tenir compte d’un élément capital : la gestion politique en temps de crise
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Après la mini-tempête du début de semaine, qui a vu le CAC 40 chuter de 6% pratiquement sans le moindre rebond intermédiaire (-200 points entre 3 340 et 3 140 points), voilà qu’une belle éclaircie se manifeste suite à la publication des indicateurs avancés du Conference Board. Ces derniers affichent au mois de juin l’un des plus forts rebonds de la décennie […] Malgré cela, les BRIC sont pas prêts de se laisser séduire
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Contrairement à ce que nous redoutions, le billet vert n’a que très peu réagi au communiqué final des dirigeants des quatre pays composant l’acronyme BRIC réunis à Ekaterinbourg depuis ce week-end. Les présidents russe Dimitri Medvedev et brésilien Lula da Silva, le Premier secrétaire chinois Hu Jintao et le Premier ministre indien Manmohan Singh ont réclamé sans surprise une plus grande diversification du système monétaire international avec l’intégration du rouble et du yuan comme monnaies de réserve
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Le taux de déclin, c’est la vitesse à laquelle la production d’un puits de pétrole baisse après avoir atteint son maximum de production (pic de production). Le taux de déclin moyen "officiel" est de l’ordre de 4% par an, mais cela semble s’avérer un peu trop optimiste. Pour résumer la situation, les techniques utilisées pour produire plus et plus vite ont eu pour conséquence une baisse beaucoup plus rapide que prévue
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Selon BP, la consommation de pétrole dans le monde en 2007 était de 85,2 millions de barils par jour et la production annuelle de 81,5 millions de barils par jour — ce qui donne une consommation mondiale annuelle de 31,1 milliards de barils par an. Pour vous donner un ordre de grandeur, cela correspond à une fois et demie les réserves de pétrole d’Exxon
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Il y a des termes que les économistes n’emploient qu’avec des pincettes, et seulement quand il n’y a pas un politicien à proximité ! On nous a d’abord parlé de ralentissement économique, puis de crise, enfin de récession… Quel est le prochain mot sur la liste… "dépression"
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Epargne
Un nouveau drapeau d'alerte flotte en haut du mât de la Chronique Agora !
par Bill Bonner 28 octobre 2008Le Dow Jones a chuté de 312 points supplémentaires vendredi. Lundi matin, les actions continuaient de chuter en Asie. Et en Europe. "Le Dow Jones à 5 000", voilà notre prédiction. Non pas que nous ayons la moindre information sur ce sujet. Mais quand nous observons une courbe à long terme du Dow Jones, nous remarquons qu’il monte et qu’il descend. Il a tendance à descendre très bas après être monté très haut – par vagues, sur 15 à 20 ans