banques centrales

Les banques centrales sont contraintes de colmater un nombre croissant de brèches de plus en plus larges ; tôt ou tard, l’inondation sera visible.

Tous les risques monétaires, économiques et financiers sont désormais rassemblés, canalisés, redirigés… vers le dollar US.

La reprise qui a suivi la crise de 2008 est faible – en dépit des mesures exceptionnelles déployées par les autorités. A présent, les populations se sentent exclues… et escroquées.

Depuis 1987, le monde économique et financier a connu un profond changement – et désormais, la nature même du risque a changé.

Une récession aurait dû se produire depuis longtemps dans nos économies affaiblies. Comment avons-nous réussi à l’éviter ?

Les liens entre gouvernements et banques centrales sont complexes – et il convient de les comprendre pour mieux s’en protéger.

Les générations actuelles se moqueront des folies actuelles – surtout lorsqu’il s’agit d’économie et de finance.

La politique des banques centrales en général – et de la BCE en particulier – est un échec total et retentissant.

La dette explose, à tous les niveaux – et ce n’est pas la seule « solution de survie » dont le système dépend actuellement. Les points de vulnérabilité se multiplient.

Est-ce qu’il existe un « arbre à pognon » permettant de créer de l’argent à partir de rien… et de s’en sortir sans conséquences ?

Une armée de zombies envahit l’économie mondiale… et les ressources des autorités ne suffiront sans doute pas à endiguer leur assaut.

Les banques centrales ou l’art de transformer l’eau d’égout en eau claire… et de dépouiller les contribuables par la même occasion.

BRI ; FMI, banques centrales, paradis fiscaux… Le XXIème siècle a vu l’émergence de multiples entités supranationales : pourquoi ?

L’hyperinflation a des racines profondes – et lorsqu’elle se déclare, c’est déjà trop tard. Il est temps d’envisager d’acheter de l’or…

Même les hautes autorités commencent à douter des taux négatifs, et cela mènera à la prochaine phase de la crise – la plus grave…

Petit à petit, des voix s’élèvent contre les taux négatifs – et elles viennent du sein même des institutions financières.

Les conditions actuelles – sociales, économiques, monétaires, politiques – changeront tôt ou tard. Lorsque ce sera le cas, tout est en place pour qu’une catastrophe se déclenche.

Les valorisations boursières actuelles sont insensées ; les matières premières donnent la vraie mesure de la situation économique.