Nous sommes ravi de voir M. Obama passer à l’action… remontant ses manches et agissant directement pour redresser le secteur automobile américain. Dans un monde où les actifs s’écroulent et où la dépression règne, nous avions besoin de rire un peu. Et voilà que le gouvernement américain prend aussi le contrôle de l’automobile. Rick Wagoner a été contraint de quitter General Motors dimanche dernier, pour qu’Obama puisse mettre son propre homme au volant
"immobilier"
-
-
Epargne
Trammel Crow, un exemple dans le secteur de l'investissement immobilier
par Chris Mayer 23 janvier 2009Trammel Crow était un promoteur accompli et il est mort en homme riche. Le Wall Street Journal l’a un jour décrit comme "le plus grand propriétaire américain". Son entreprise, Trammel Crow Co., aurait construit près de 153 millions de mètres carrés de biens immobiliers. Mais la route a été longue pour en arriver là. Sa vie a été une de ces success stories à l’américaine
-
Epargne
Le thermomètre immobilier affiche des températures bien de saison
par Philippe Béchade 7 janvier 2009De belles hausses de salaires, voilà ce qu’il faudrait pour rendre solvables les candidats à un investissement immobilier en France ! La plupart d’entre eux ne recherchent en fait qu’à faire l’acquisition d’un logement sans projet d’en tirer un revenu immédiat ou une plus-value réalisable au moment de prendre sa retraite. Beaucoup d’agents immobiliers prennent maintenant leur air le plus sombre pour faire part de prévisions "alarmistes"
-
Les marchés de la Zone euro s’étaient assoupis depuis la mi-août dans une zone de cours très voisine de celle ayant fait office de résistance du 21 juillet au 8 août dernier. Ni la décrue du pétrole sous les 115 $ ni un euro retombé à son plus bas niveau depuis six mois contre le yen et le billet vert n’étaient parvenus à encourager des investisseurs rendus frileux par des perspectives économiques moroses et les menaces de récession qui planent de part et d’autre de l’Atlantique depuis fin 2007.
-
"Avis aux futurs acquéreurs : patientez, car les prix sont en train de chuter ! (Et les frais d’agence aussi)" "Avis aux propriétaires vendeurs : proposez vos prix de vente à des minima respectifs, car les prix sont en train de baisser !" Ces pancartes étaient placardées dans la vitrine d’une agence immobilière, en Alsace. Et vous je ne sais pas, cher lecteur, mais en ce qui me concerne, je trouve que de tels avis sentent un peu la désespérance, la détresse et la démotivation
-
Epargne
Notre sélection de l'été : L'immobilier commercial américain repose sur des fondations précaires
par Eric J. Fry 6 août 2008Quand le secteur de la finance est florissant, le quartier de Manhattan l’est aussi. Et quand Manhattan est florissant, les loyers des bureaux augmentent. En ce moment, le secteur de la finance n’est pas florissant aux Etats-Unis, au contraire, il coule. Et la seule raison pour laquelle il n’a pas encore complètement sombré, c’est parce que des centaines de milliards de dollars de renflouement venus de l’étranger l’ont maintenu à flots
-
Les problèmes de l’immobilier individuel deviennent les problèmes de l’immobilier commercial. Les consommateurs n’ont pas assez d’argent. Ils dépensent moins… et les détaillants souffrent
-
Epargne
Hausse du pétrole, baisse de l'immobilier : un couple mal assorti
par Bill Bonner 3 juin 2008Lorsque la Fed a commencé à réduire ses taux en septembre dernier, le prix du pétrole a grimpé en flèche. La hausse des prix du pétrole se propage désormais à l’économie entière… gonflant les prix de tout, des concombres jusqu’aux couches-culotte. Et les tendances qui ont maintenu les prix à la consommation au plancher pendant si longtemps les poussent à présent dans la direction opposée. Les coûts de la main d’œuvre ont été contraints de baisser lorsque des centaines de milliers d’Asiatiques sont arrivés sur le marché de l’emploi mondial, par exemple. Mais à présent, ces travailleurs cuisinent au gaz… conduisent des voitures… et mangent des repas réguliers — faisant ainsi concurrence aux Occidentaux pour la nourriture et l’énergie
-
La bulle de l’immobilier a mis tout le monde de bonne humeur. Les gens pensaient qu’ils étaient riches et croyaient pouvoir "retirer" un peu de cette richesse pour la dépenser. Une bulle pétrolière, c’est une toute autre histoire. Les gens se sentent plus pauvres chaque fois qu’ils remplissent leur réservoir d’essence. Et ils sont forcés de réduire leurs dépenses plutôt que de les augmenter
-
Alan Greenspan estime à 50% les risques de voir les Etats-Unis entrer en récession… comme s’il s’agissait d’une simple question académique de probabilités. Nous parlons de celles appliquées aux mécanismes du marché et qui sont enseignées par des chercheurs (et chercheuses) de renom aux polytechniciens qui s’apprêtent à faire carrière dans le secteur des produits dérivés. Mieux vaudrait lui demander à combien il estime les chances de voir son pays échapper à un désastre systémique après 18 ans de politique monétaire expansionniste et un encouragement permanent du secteur financier à créer des vecteurs d’addiction à la dette
-
Epargne
Baisse des prix immobiliers américains : Las Vegas décroche le jackpot !
par Philippe Béchade 30 avril 2008Nous ignorons si la spéculation se dégonflera rapidement sur le blé ou le riz car, ralentissement économique ou pas (en Chine ou aux Etats-Unis), les populations du Tiers Monde continueront d’avoir faim. En revanche, il y a de fortes chances que la demande de pétrole se modère de part et d’autre de l’Atlantique car les ménages de la classe moyennen’ont tout simplement plus les moyens de maintenir leur niveau de consommation de carburant et de fuel domestique
-
Les nouvelles sont à la fois bonnes et mauvaises — tout dépend du point de vue où l’on se place. Parmi les bonnes nouvelles, il y a eu la hausse du Dow et la baisse des obligations de long terme. Peut-être que ces actifs envisagent tous la croissance et la prospérité… ou simplement l’inflation. Nous n’en savons rien. Les rendements des bons du Trésor longs, par exemple, ont grimpé (ce qui arrive lorsque les prix baissent). Curieusement — et peut-être que ça en dit long — ils montent alors même que la Fed baisse les taux courts
-
Epargne
L'immobilier commercial américain repose sur des fondations précaires
par Eric J. Fry 11 février 2008Quand le secteur de la finance est florissant, le quartier de Manhattan l’est aussi. Et quand Manhattan est florissant, les loyers des bureaux augmentent. En ce moment, le secteur de la finance n’est pas florissant aux Etats-Unis, au contraire, il coule. Et la seule raison pour laquelle il n’a pas encore complètement sombré, c’est parce que des centaines de milliards de dollars de renflouement venus de l’étranger l’ont maintenu à flots
-
Epargne
Après l'immobilier individuel, l'immobilier commercial pourrait-il entrer en crise lui aussi ?
par Eric J. Fry 8 février 2008L’économie américaine est aussi instable qu’une relation commencée lors d’une soirée bien arrosée… et il en est de même pour le marché de l’immobilier commercial. Il se peut que ces deux beautés habillées de leurs plus belles toilettes se soutiennent mutuellement. Ou bien qu’elles trébuchent encore un petit moment sur leurs talons hauts avant de s’écrouler lamentablement l’une sur l’autre. Cette solution est d’ailleurs plus probable
-
Si vous avez suivi les calculs, vous aurez réalisé qu’environ 62% des actifs de BIP seront constitués de lignes de transmission, et 38% de forêts. Cela permet également de jouer l’Amérique du Sud, en quelque sorte, avec 48% de la valeur en Amérique du Sud et 52% en Amérique du Nord. Les actifs hydro-électriques (c’est-à-dire les barrages) resteront propriété de Brookfield Asset Management (BAM). Dans le futur, BIP sera le "véhicule" qu’utilisera Bruce Flatt, PDG de BAM, pour tous ses nouveaux investissements dans les infrastructures — comme les autoroutes, les pipe-lines, les ports, les lignes ferroviaires, les aéroports, les équipements pour l’eau et ainsi de suite.
-
En tant qu’investissements, les valeurs de l’infrastructure offrent un flux de revenus durable et de long terme, comme des arbres qui ne manquent jamais de porter leurs fruits. Les valeurs de ce secteur possèdent un certain nombre de caractéristiques extrêmement attrayantes : en général (pas toujours), elles ne requièrent qu’un minimum d’investissement en continu. Elles sont difficiles à mettre en place, ce qui limite la concurrence potentielle. Leur valeur s’apprécie souvent au cours du temps, fournissant une protection intéressante contre l’inflation.
-
Sans crédit facile — et en grande quantité — l’immobilier de la Californie n’aurait jamais atteint ces valorisations historiques. Le crédit n’a pas seulement permis aux accédants à la propriété de dépasser un peu leurs limites, il a également favorisé et enhardi les acheteurs spéculatifs, les acheteurs de résidences secondaires, les constructeurs de résidences secondaires et toute autre variable de participant/spéculateur immobilier.
-
Arrêtez les horloges, faites sauter les bouchons de champagne et hosanna au plus haut des cieux ! Le Dow Jones Industrials a atteint un nouveau record ! Pardonnez-nous de trouver cet événement assez décevant. Comme le disait succinctement l’un de mes collègues : "traduction : le Dow Jones a stagné pendant six ans, même sans tenir compte de l’inflation".