Un marché survendu, où règne la peur, offre bien souvent des opportunités inouïes. Encore faut-il s’y intéresser. Et prendre un peu de recul pour analyser la situation fondamentale, hors excès émotionnels des marchés. "Find out ‘the Big Picture’", comme disent les Américains. A savoir, qu’en est-il de la réalité et des perspectives, très concrètement. C’est ce que nous allons voir avec le solaire. Ou plus précisément avec le photovoltaïque. Petit historique du secteur
Des véhicules particuliers de plus en plus chers
Et si c’était fait exprès ? Des données apparemment contradictoires se télescopaient, ce mardi 30 avril… et nous résistons difficilement à la tentation de recourir à la figure stylistique humoristique qui consiste…
La pauvreté à feu doux
Faut-il stocker son or à Londres ?
Lorsque l’on évoque le Royaume-Uni, on pense tout de suite « démocratie » et « liberté ». Les qualités britanniques font-elles de notre voisin un bon candidat pour assurer le stockage de vos métaux…
Retour de l’or, après 53 ans d’absence
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Epargne
Apprenez à exploiter les plus belles marges… d’erreur !
par Philippe Béchade 27 juillet 2010Le CAC 40 aligne une quatrième séance de hausse consécutive. La tendance a été longtemps indécise mais les acheteurs ont repris la main vers 16h grâce au spectaculaire rebond des ventes de logements neufs aux Etats-Unis au mois de juin
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Avez-vous entendu parler de ces lingots d’or de 400 onces remplis de tungstène ? (Le poids du tungstène est quasi identique à celui de l’or, alors l’illusion est facile si le lingot n’est pas correctement examiné). Ou de cette histoire de trader en métaux londonien qui affirme que JP Morgan Chase étouffe le prix de l’or ? Et comment il a été blessé dans un mystérieux accident ? (Ses blessures sont sans gravité). Ou comment le dirigeant du Gold Anti-Trust Action Committee a témoigné au sujet de la manipulation de l’or face à la Commission américaine d’opération sur les futures sur matières premières et que la caméra n’a — comme par hasard — pas fonctionné ce jour-là
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Frappant découplage que celui qui divise l’Europe. Le sud fait naufrage et multiplie les efforts pour écoper. Au nord, les vagues financières ont à peine ralenti le rythme de croisière. Entre la débandade de -8% de la Bourse de Paris et l’envol de 22% de son homologue danoise depuis le début de l’année, le choix est évident. Cap au nord ! La Scandinavie : refuge dans la tempête, comme s’en est fait l’écho la presse anglo-saxonne. Voyez le Danemark : sa croissance est attendue en hausse de 1,4% en 2010 et de 1,7% en 2011, selon les chiffres du gouvernement
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La hausse de vendredi à Wall Street s’est jouée sur un coup de dés. Le "double six" salvateur, le véritable catalyseur du rebond fut en fait l’explosion à la hausse du titre Genzyme : +20% en quelques secondes vers 19h, suite à une information parue sur l’édition en ligne du Wall Street Journal faisant état de discussions informelles avec le laboratoire français Sanofi-Aventis en vue d’un rapprochement. Voilà que la fièvre des OPA réveillait soudain Wall Street qui somnolait depuis l’ouverture et ne s’enthousiasmait guère pour l’actualité du jour
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Vous vous rappellerez que M. Bernanke est celui qui avait prévenu le Congrès US qu’on "n’aura peut-être plus d’économie d’ici lundi" si le Congrès n’approuvait pas une loi fournissant renflouages et secours. Et maintenant qu’il a doublé la masse monétaire américaine à la Fed… et encouragé le gouvernement à mettre en danger 10 000 milliards de dollars dans divers renflouages, garanties et projets de dépenses… il est perplexe. Où est la reprise
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Le billet vert n’est plus un refuge. Et l’euro ne monte pas uniquement grâce au retour de l’appétit pour le risque". "Il semble que la mentalité des citoyens américains ait changé ; pénalisant inéluctablement le mode de consommation et de croissance outre-Atlantique. Les Américains qui le peuvent épargnent, c’est nouveau et c’est très inquiétant. 70% du PIB américain venant de la consommation"… "Si les plus gros consommateurs de la planète se mettent à épargner alors même qu’ils gagnent moins, l’impact sur la croissance américaine, et mondiale par ricochet, va être démultiplié
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Dame météo n’a guère été clémente avec les champs de blé du monde entier, comme nous l’avons vu hier — mais ce n’est pas le seul facteur de soutien du cours… Le fort repli du dollar depuis un mois a soutenu la tendance haussière. En renforçant le pouvoir d’achat des importateurs hors zone dollar, qui en profitent pour acheter du blé à bon compte
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Epargne
Plus cela paraît impossible, moins le marché y échappe !
par Philippe Béchade 23 juillet 2010Les investisseurs n’avaient pas bronché lors de la parution des inscriptions hebdomadaires au chômage américain. Elles ont pourtant grimpé de 37 000, à 464 000, alors que le consensus tablait sur 445 000. Il est difficile d’invoquer le fait accompli car ces chiffres sont vraiment mauvais, quelle que soit l’interprétation que l’on en fasse. Le nombre d’heures travaillées — l’une de nos principales références "dures" — aux Etats-Unis n’a pas progressé et stagne autour de 34 heures par semaine. Il faudrait aller bien au-delà des 35 heures (rendons-les obligatoires, les travailleurs américains y gagneront 3% de salaire !) et même des 40 heures pour que les entreprises recommencent à embaucher
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Epargne
Les réductions de dépenses gouvernementales provoquent des déficits
par Bill Bonner 23 juillet 2010Rob Parenteau et John Mauldin ont tous deux mentionné le danger des restrictions budgétaires. Resserrer les dépenses semble être le bon choix. C’est le bon choix. Mais ça engendre de plus gros déficits. "Cela met en marche un cercle vicieux", a expliqué Rob. Le secteur privé corrige déjà. Si le secteur public tente de corriger sa dette en même temps, la pression s’accentue sur les ménages et les entreprises. Leurs revenus baissent (moins de dépenses gouvernementales) et leurs impôts augmentent. Ils réduisent donc leurs dépenses. Des emplois se perdent. Les recettes fiscales baissent. Le déficit du gouvernement augmente donc, et il doit réduire ses dépenses encore plus
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Le 9 juin dernier, le blé cotait 4,25 $ le boisseau sur le CBOT. Le 15 juillet, il cotait 5,98 $. Résultat des courses : +40,7% en un peu plus d’un mois. Mais la météo impose au blé ses caprices, et le cours flambe. La tendance va-t-elle se poursuivre ? Petit tour d’horizon
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A Wall Street, les investisseurs ont bu le calice jusqu’à la lie — le S&P 500 a chuté au final de 1,3% — parce que les vieilles formules magiques ne fonctionnent plus. Ben Bernanke a eu beau réaffirmer devant la commission bancaire du Sénat US que les taux resteront "très bas très longtemps", cela ne suffit plus à restaurer la tendance haussière dans les secondes qui suivent. Ce discours était plaisant en 2009 : la reprise s’amorçait et les marchés faisaient le pari qu’elle serait auto-suffisante dès 2010, au plus tard en 2011. Mais Ben Bernanke affirme désormais qu’il n’en est rien et que les incertitudes sur le niveau de la croissance sont "exceptionnellement élevées"
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Est-il temps de vendre votre or ? Si nous étions spéculateur, nous envisagerions de vendre. Mais à la Chronique Agora, nous ne sommes pas des joueurs. Nous détenons de l’or parce qu’il représente de la véritable richesse, pas parce que nous pensons que son prix va grimper. Nous ne savons pas vraiment quelle direction va prendre le métal jaune — c’est bien pour ça que nous en avons. Nous ne savons pas quelle direction va prendre quoi que ce soit. L’avantage de l’or, c’est que ça n’a pas d’importance. L’or ne va nulle part. Il reste juste là sans bouger
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"La reprise économique a été favorisée en grande partie par les dépenses des personnes les plus aisées. A présent, même les riches semblent se serrer la ceinture". "A la fin de l’année dernière, les ménages aux revenus les plus élevés ont commencé à dépenser avec plus de confiance, tandis que d’autres consommateurs restaient sur la réserve. Mais leur confiance a reflué depuis, selon les rapports sur les ventes de détail et certaines analyses économiques"
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De nombreux articles fleurissent dans la presse économique, évoquant le danger d’une déflation. La décrue de la masse monétaire M3, qui mesure la monnaie fiduciaire en circulation et la masse des emprunts contractés par les agents économiques, étaye cette hypothèse qui tétanise les marchés… mais les détenteurs d’or ne bronchent pas
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Un article intitulé "Les mystérieux échanges d’ordre de la BRI serviraient au renflouage d’une banque bullion", écrit par Adrian Douglas de chez MarketForceAnalysis.com, fait référence aux comportements étranges de la Banque des règlements internationaux au sujet de 380 mystérieuses tonnes d’or, impliquées dans un mystérieux échange avec des banques commerciales
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Puisqu’elles n’avaient rien appris au début des années 2000, les autorités se sont remises au travail en 2008-2009, répétant et multipliant leurs erreurs. Au lieu d’accumuler des déficits de 500 milliards de dollars, elles sont passées à des déficits de 1 500 milliards de dollars. Au lieu de faire passer les taux sous l’inflation, elles les sont mis aussi bas que possible — à zéro, dans les faits. En plus, elles ont nationalisé des secteurs entiers, renfloué des grandes entreprises et se sont mises à ajouter d’immenses engagements financiers que personne ne comprenait vraiment
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De l’éolien au photovoltaïque, en passant par les centrales thermiques, Séchilienne-Sidec bénéficie de l’intérêt grandissant des investisseurs pour l’énergie renouvelable. Alors que le titre culminait à 63 euros avant le krach 2008, il a touché fin mai un point bas à 20 euros et rebondit depuis systématiquement sur ce support. Penchons-nous sur la configuration technique du spécialiste de l’énergie renouvelable