Retraites : arrêtons de tergiverser, passons à la capitalisation ! (4/4)
La réforme des retraites peut être menée – encore faut-il qu’elle soit correctement conçue et honnêtement présentée aux Français.
La réforme des retraites peut être menée – encore faut-il qu’elle soit correctement conçue et honnêtement présentée aux Français.
Peut-on financer la transition vers la capitalisation sans augmenter les cotisations ?
Face à l’essoufflement du système de retraite par répartition, des économistes défendent la mise en place d’un régime mixte – combinant capitalisation et répartition.
Alors que les partenaires sociaux peinent à s’accorder sur l’avenir des retraites, l’idée d’un recours à la capitalisation refait surface.
Les oppositions viennent de laisser passer un budget où tout empire par rapport à 2024.
A mesure que les artifices masquant l’insolvabilité de la France s’effritent, l’illusion d’un Etat aux ressources illimitées s’efface.
A mesure que l’endettement public progresse, la question de la soutenabilité de la dette devient incontournable. Quels sont les signaux d’alerte ?
Toujours s’attaquer aux « profits », jamais aux dépenses inutiles !
Il n’y a pas que nos économies qui sont malades, notre démocratie l’est plus encore.
La France a beau avoir été épargnée par Standard & Poor’s, elle doit faire face à une série d’événements majeurs qui pourraient mettre à mal le pays.
Des géants comme Auchan annoncent des suppressions massives d’emplois.
Alors que l’incertitude politique et fiscale continue de peser sur l’avenir des entreprises, la recrudescence des faillites inquiète.
Le problème auquel fait face la France n’est pas l’extrême droite, mais plutôt le socialisme…
Il doit toujours exister dans un petit coin de notre tête le risque de nationalisation implicite de l’épargne privée…
Dégager des excédents budgétaires pour réduire cette dette et éviter une crise financière est devenu primordial.
La crise politique actuelle en France, issue de décennies d’échecs économiques, pourrait déclencher une crise financière inédite.
Nos OAT annoncent des temps plus difficiles pour le refinancement de notre dette.
S’agirait-il d’un scénario cousu de fil blanc ?