Gaz russe banni : les Européens grelottent, leur industrie s’enfuit !
Face à l’arrêt programmé des importations de gaz russe, les coûts explosent et fragilisent les ménages comme les industries déjà sous pression.
Face à l’arrêt programmé des importations de gaz russe, les coûts explosent et fragilisent les ménages comme les industries déjà sous pression.
La France s’est laissée glisser dans la dépendance et l’endettement. Pourtant, un homme avait tracé la voie inverse : Charles de Gaulle.
La France dépense pour vivre, et vit pour dépenser ; près d’un euro sur deux versé aux ménages vient de l’Etat ou de la Sécurité sociale.
Sous des airs de rigueur budgétaire, le gouvernement Lecornu II poursuit en réalité la fuite en avant…
Derrière les chiffres du déficit et de la dette, c’est la confiance même des marchés qui s’effrite. Est-elle désormais irréversible ?
La qualité de crédit de l’Etat français rejoint désormais celle de pays autrefois jugés moins vertueux.
Officiellement, le déficit semestriel atteint 6,8 % du PIB. En réalité, la France dépense 44 % de plus que ses recettes – un gouffre budgétaire qui place désormais notre pays au même niveau de risque que la Grèce sur les marchés obligataires.
Entre Paris et Washington, les dettes explosent, les promesses pleuvent… et les ballons d’essai s’envolent. L’un d’eux finira par éclater – sur nos têtes.
Si les Français refusent l’austérité maintenant, elle leur sera imposée demain, par les marchés ou – pire – par le FMI.
La réforme des retraites peut être menée – encore faut-il qu’elle soit correctement conçue et honnêtement présentée aux Français.
Peut-on financer la transition vers la capitalisation sans augmenter les cotisations ?
Face à l’essoufflement du système de retraite par répartition, des économistes défendent la mise en place d’un régime mixte – combinant capitalisation et répartition.
Alors que les partenaires sociaux peinent à s’accorder sur l’avenir des retraites, l’idée d’un recours à la capitalisation refait surface.
Les oppositions viennent de laisser passer un budget où tout empire par rapport à 2024.
A mesure que les artifices masquant l’insolvabilité de la France s’effritent, l’illusion d’un Etat aux ressources illimitées s’efface.
A mesure que l’endettement public progresse, la question de la soutenabilité de la dette devient incontournable. Quels sont les signaux d’alerte ?
Toujours s’attaquer aux « profits », jamais aux dépenses inutiles !
Il n’y a pas que nos économies qui sont malades, notre démocratie l’est plus encore.
