Budget 2025 : une tromperie pas suffisamment gigantesque pour être censurée ?
Les oppositions viennent de laisser passer un budget où tout empire par rapport à 2024.
Les oppositions viennent de laisser passer un budget où tout empire par rapport à 2024.
A mesure que les artifices masquant l’insolvabilité de la France s’effritent, l’illusion d’un Etat aux ressources illimitées s’efface.
A mesure que l’endettement public progresse, la question de la soutenabilité de la dette devient incontournable. Quels sont les signaux d’alerte ?
Toujours s’attaquer aux « profits », jamais aux dépenses inutiles !
Il n’y a pas que nos économies qui sont malades, notre démocratie l’est plus encore.
La France a beau avoir été épargnée par Standard & Poor’s, elle doit faire face à une série d’événements majeurs qui pourraient mettre à mal le pays.
Des géants comme Auchan annoncent des suppressions massives d’emplois.
Alors que l’incertitude politique et fiscale continue de peser sur l’avenir des entreprises, la recrudescence des faillites inquiète.
Le problème auquel fait face la France n’est pas l’extrême droite, mais plutôt le socialisme…
Il doit toujours exister dans un petit coin de notre tête le risque de nationalisation implicite de l’épargne privée…
Dégager des excédents budgétaires pour réduire cette dette et éviter une crise financière est devenu primordial.
La crise politique actuelle en France, issue de décennies d’échecs économiques, pourrait déclencher une crise financière inédite.
Nos OAT annoncent des temps plus difficiles pour le refinancement de notre dette.
S’agirait-il d’un scénario cousu de fil blanc ?
Nos PME déposent le bilan à un rythme qui se rapproche de 500 par mois… et ce sont celles-là qui devraient constituer le principal moteur des créations d’emplois en France.
Un reconfinement ne serait pas seulement un événement sanitaire majeur ; ce serait surtout un événement économique décisif, car il tordrait le cou au mythe nourri par Bercy et par son ministre Bruno Le Maire, d’un retour rapide à la normale et d’une reprise foudroyante de l’activité. Les épargnants doivent d’ores et déjà préparer le jubilé de la dette qu’une nouvelle interruption de la vie du pays annoncera.
Progressivement, la pandémie devrait céder la place dans l’actualité au coût de la crise et à l’impossibilité de financer un modèle social onéreux et peu efficace. Le premier combat sera celui des retraites : attention aux classes moyennes qui devraient trinquer rapidement au nom de la solidarité.
Les conditions objectives semblent désormais réunies pour qu’une rupture majeure intervienne en France dans les prochains mois. Jamais depuis l’arrivée de la gauche au pouvoir en 1981, les tensions n’ont été aussi élevées… et l’explosion de la dette pourrait mettre le feu aux poudres.