Desinformation

Les démocrates n’ont pas compris pourquoi les électeurs n’appréciaient pas la formidable économie qu’ils leur avaient façonnée. Voici pourquoi…

L’idéologie impose ses normes au détriment du bon sens économique.

A l’ère de la modernité et de l’intelligence artificielle, les arnaques financières sont toujours plus nombreuses et toujours plus subtiles.

Donald Trump l’accuse d’avoir contribué à l’explosion des dépenses publiques pendant la pandémie de COVID-19.

La dette s’élevait à 20 000 milliards de dollars en 2017 et à 27 000 milliards de dollars en 2021.

Barnier redoute un risque de « chaos ». Qu’il ouvre les yeux, on y est déjà depuis le 9 juin.

Entre accusations de fascisme, de dictature et de collusion avec la Russie, l’ex-président est décrit comme une menace pour la démocratie.

A l’approche des élections présidentielles américaines, les débats politiques s’intensifient autour des fusions d’entreprises.

La baisse des taux de la Fed met en lumière des problèmes jusqu’alors sous-jacents, notamment aux Etats-Unis.

Les « maîtres du monde » peuvent décider quand bon leur semble de « mettre hors-jeu » quiconque devient une gêne au lieu de constituer un avantage.

Il existe une technophobie de désinformation qui nuit à l’innovation et à l’industrie européennes, aux dépens des consommateurs.

Comment un jeune de 20 ans a-t-il pu déjouer un dispositif de sécurité qui représente des milliards de dollars pour tenter d’assassiner Donald Trump ?

La dérive des médias démocrates US, vers le journalisme le plus vil.

Les médias minimisent l’attentat et provoquent un tollé.

Après un bref engouement pour les fausses promesses des véhicules électriques, la nouvelle arnaque verte est déjà en train de s’essouffler.

L’enseignement de l’économie n’est plus que de la désinformation.

Demain le chaos ? Et pourquoi pas un retour à l’envoyeur ?

Le PIB américain indique que l’économie US fonctionne bien, mais peut-on faire confiance à ces chiffres ?