Argent public
La source du financement des déficits américains voit son débit s’atténuer. Que se passera-t-il si elle s’assèche complètement ?
Argent public
La source du financement des déficits américains voit son débit s’atténuer. Que se passera-t-il si elle s’assèche complètement ?
Pour justifier la baisse de la note donnée aux bons du Trésor américain, une agence de notation a invoqué une « détérioration budgétaire » dans le pays…
Le château de carte peut tenir debout encore un temps… tant que personne ne se met à souffler dessus.
C’est autant que le montant accumulé durant les 209 premières années d’existence des Etats-Unis. Avec la hausse des taux, le poids des intérêts devient insoutenable.
Les hausses de taux d’intérêt ne sont qu’un aspect du dilemme de « l’inflation ou la mort ».
Après tout, pour les politiques il n’y a que ces deux possibilités pour tenter de pousser l’économie dans la direction qu’ils veulent. Sauf que les carottes commencent à manquer…
Les « stress tests » sensés mesurer la capacité des banques à résister aux crises ne sont pas toujours très crédibles. Ils passent en fait sous le tapis quelques problèmes.
Les finances des Etats-Unis continuent de se détériorer… mais à qui la faute ?
Pour résorber leurs dettes, les gouvernements vont se lancer dans une sournoise répression financière.
Le défaut des Etats-Unis, évité de justesse il y a un mois, semble tout à fait possible sur le long terme.
Pourquoi est-il si impensable de parier sur certaines faillites ou défauts ?
Qu’il y ait eu un accord sur le plafond de la dette aux Etats-Unis règle certains problèmes, mais d’autres risques demeurent qui n’étaient pas précédemment envisagés.
L’économie américaine a peut-être besoin d’emprunter plus, et d’une dette plus lourde ?
Avec le besoin absolu d’honorer les dettes, le système économique a confisqué le pouvoir politique.
Le débat (pas seulement américain) concernant la dette met dos à dos les partisans de toujours plus de dépenses, et ignore ceux qui paient les intérêts.
Le problème du plafond de la dette américaine aurait-il pu être résolu par un simple investissement ?
Le marché est serein et semble évaluer avec délectation les probabilités d’un futur accident, qui forcerait pour la énième fois la Fed à intervenir.
Un film d’horreur avec la fin la plus prévisible qui soit…