La hausse des prix n’est pas réservée au panier de la ménagère
Un prix auquel nous sommes tous confrontés augmente bien plus vite que l’inflation depuis des décennies. A qui la faute ?
Un prix auquel nous sommes tous confrontés augmente bien plus vite que l’inflation depuis des décennies. A qui la faute ?
Comme le krach de 1987, la crise actuelle n’est probablement pas le dernier soubresaut avant l’effondrement du capitalisme. C’est toutefois un signe que quelque chose vacille.
Règles d’antan, stupidités fatales et folie des « économies de commandement » …
L’augmentation des prix de l’énergie n’a pas commencé en 2022. Depuis l’an 2000, les prix de l’électricité ont grimpé, petit à petit, de 71%. C’est 90% pour le gasoil. Et les raisons ne sont pas à chercher que du côté des crises mondiales…
Que ce soit par la politique monétaire, les milliards distribués sans contrepartie pendant les crises récentes, la fiscalité, les réglementations… Un acteur est au centre de tous les facteurs qui font accélérer l’inflation.
Des décennies de subventions ont complètement faussé les marchés des produits agricoles. Quand l’illusion disparaît, ce sont les agriculteurs qui paient les pots cassés…
Elle est très utile pour réduire les dettes des gouvernements. Alors l’inflation perdurera « un certain temps »…
Les industriels allemands sont assis sur un petit pactole. Tout ce qu’ils ont à faire, c’est arrêter leurs usines…
La fausse monnaie et la livre sterling sont les grands perdants des politiques récentes.
La banque centrale américaine n’a que deux options : encore plus accentuer l’inflation… ou la mort des zombies.
Les investisseurs cherchent à soulager leur douleur alors que la gueule de bois de l’après-bulle se fait ressentir.
Alors que la chute des Bourses se poursuit, certains médias se demandent jusqu’où elle ira. Pour nous, ce n’est qu’une partie de la question…
D’un côté, la smart money a déjà prévu la crise. De l’autre, les banques centrales, Fed en tête, annoncent une récession. Les deux cherchent ainsi à préserver la même chose.
Les premiers peuvent survivre à leur défaite et en sortir grandis. Les seconds risquent bien souvent de ne rien apprendre, même si cela les conduit droit dans le mur.
L’euro est l’un des grands perdants de la guerre des devises qui fait rage depuis le début de l’année. Si des théories économiques expliquent que cela profitera à nos exportations, la réalité pourrait bien s’avérer moins réjouissante.
Les signaux indiquant que l’économie réelle est en train de basculer se multiplient. Peut-on encore vraiment espérer s’en sortir sans en passer par la case « récession » ?
Le cours de l’or augmentera-t-il suffisamment pour compenser entièrement la hausse des coûts ?
La seule raison qui empêche les marchés de dégringoler, entraînant toute l’économie dans leur chute…