Vers d’autres vagues d’inflation
La Fed et la BCE sont confrontées à un choix : laisser les marchés financiers s’effondrer ou laisser leurs devises chuter.
La Fed et la BCE sont confrontées à un choix : laisser les marchés financiers s’effondrer ou laisser leurs devises chuter.
Beaucoup d’actions sont passées de « beaucoup trop cher » à « trop cher », mais la chute n’est pas terminée : trois éléments menacent encore les marchés.
L’un est très utilisé depuis 40 ans, tandis que l’autre a été abandonné. Les investisseurs pourraient cependant être forcés d’y revenir, si le premier termine dans un ravin.
Le krach attendu des marchés a été encore retardé par une série record de semaines de hausse. Pourtant, les ingrédients de la baisse semblaient tous présents dès septembre. Alors, pourquoi le mouvement s’est-il inversé depuis ?
Un enchaînement de décisions politiques depuis plusieurs années permet d’expliquer la chute des Bourses sur 2022, et pourquoi la situation ne va pas s’arranger de sitôt.
Sur une durée de temps suffisamment longue, toutes les bulles finissent par éclater.
Quel sort attend les producteurs de fausse viande, la dynastie de SBF, et bien d’autres sociétés ayant su plus ou moins profiter de l’ère de la bulle ?
L’univers cryptographique de SBF s’effondre. Certains investisseurs se réveillent avec de nouveaux trous dans leurs comptes.
L’implosion de la plateforme FTX place tout l’écosystème au bord du gouffre.
Quand la Fed intervient pour réduire l’inflation avec des hausses de taux, elle provoque une cascade de conséquences, dont la hausse du dollar et de nombreux dysfonctionnements sur les marchés.
Les récessions, on connaît, après tout… Ce qu’annoncent certains experts va en revanche bien plus loin dans les réactions en chaîne.
Les dettes de BlackRock, le pivot de la Banque d’Angleterre et la folie des faux taux…
Comme le krach de 1987, la crise actuelle n’est probablement pas le dernier soubresaut avant l’effondrement du capitalisme. C’est toutefois un signe que quelque chose vacille.
Si les banques centrales veulent vraiment aller au bout des choses, plusieurs solutions existent. Aucune ne sera très agréable pour les marchés…
Les marchés n’ont pas bien réagi aux dernières communications de la Fed. Les obligations d’Etat, en particulier, atteignent des rendements record. Pour l’ancienne présidente de la Fed, toutefois, aucune correction n’est à prévoir…
L’injection de liquidités par la Banque d’Angleterre a réussi à retarder le krach sur les marchés. Cela rappelle les grandes heures des interventions de la Fed, en 2007-2008.
Le Dow Jones passe sous la barre des 30 000 alors que les marchés vacillent et que les perspectives s’assombrissent : Jerome Powell ira-t-il jusqu’au bout ?
Les marchés vivent actuellement un krach, mais nous n’en sommes peut-être qu’au début des hostilités. La Fed pourrait très vite aggraver la situation.