E. Macron veut que vous achetiez des actions
Les autorités comptent sur le public pour répartir et disséminer le risque sur les marchés actions ; un pari risqué… mais qui peut être profitable pour vous.
Les autorités comptent sur le public pour répartir et disséminer le risque sur les marchés actions ; un pari risqué… mais qui peut être profitable pour vous.
Le système avance à l’aveuglette, en s’adaptant aux exigences de la finance… sans le moindre recul ni la moindre compréhension des enjeux. Les premières à en souffrir sont nos sociétés actuelles.
En Bourse, on ne voit désormais plus jamais au-delà d’un an. Le court terme règne en maître, les repères s’effacent… et rien ne vient prendre leur place.
Les apprentis sorciers qui nous gouvernent ont beau s’arc-bouter pour empêcher le système de bouger, l’évolution est inéluctable… et elle risque d’être douloureuse, notamment sur les marchés d’actifs.
Gabegies, allocations, favoritisme, renflouages… et ce n’est que le tableau macro-économique ! Côté micro, c’est folie, bulles et mauvais investissements…
Le système nage dans l’argent… mais n’est pas profitable : cela pose aussi des problèmes en termes de recettes fiscales – des problèmes dont l’issue pourrait être fatale pour les marchés actions.
La prochaine crise viendra d’une chute des valeurs boursières – ce n’est pas une certitude… mais c’est la possibilité la plus probable, précisément parce que personne n’y croit.
La Bourse n’a désormais plus qu’un très lointain rapport avec l’investissement – en fait, elle lui fait même concurrence, nuisant à l’économie réelle… et aux investisseurs eux-mêmes.
Croissance, inflation, rotation sectorielle, or… Les intervenants sont tous d’accord pour prédire la même chose – et ce n’est pas bon signe.
Qu’est-ce qu’une bulle boursière, réellement ? Comment en repérer les signes sur un marché ? A quels indicateurs se fier… pour mieux se protéger ensuite ?
Les Bourses continuent de grimper dans un cycle de reprise éclair, si rapide qu’il est propice à l’emballement. Prudence, cependant : comme tous les feux de paille, il se consume vite…
Le crédit et les politiques monétaires ultra-souples ont fondamentalement changé la Bourse. Des éléments comme GameStop, le bitcoin ou les NFT en sont le signe visible – et cela a de profondes répercussions pour l’investisseur particulier.
Le capitalisme financier est arrivé à un tel point que la hausse des Bourses mondiales ne dépend plus, désormais, que des banques centrales. Plus rien d’autre ne justifie les envolées actuelles.
Des conditions financières ultra-souples règnent – mais cela n’aide en rien l’économie réelle. En Bourse, en revanche, le capital fictif enfle et enfle… en même temps que la dette.
En Bourse, les dérèglements se multiplient et le « toujours plus » conduit à des excès sur les marchés : les autorités parviendront-elles à gérer l’emballement de la machine ?
Plus les cours des actions grimpent, plus leur future rentabilité se réduit : un « détail » que les investisseurs ont tendance à ignorer… mais qui va leur coûter très cher.
L’action de la Fed pousse les investisseurs à la recherche de rendements plus élevés sur des classes d’actifs de plus en plus risqués, conduisant à la formation de bulles.
Les spécialistes et les autorités nous répètent que les marchés boursiers ne vont pas chuter, que tout ira bien, que la hausse continuera ad vitam aeternam ou à peu près : c’est la méthode Coué…