Oracle, OpenAI, Nvidia : l’euphorie de l’IA masque un gouffre financier
La révolution de l’IA alimente une bulle d’investissements sans précédent. Mais si les fortunes flambent, les bilans, eux, virent au rouge.
La révolution de l’IA alimente une bulle d’investissements sans précédent. Mais si les fortunes flambent, les bilans, eux, virent au rouge.
Des promesses d’immortalité biologique aux tentatives de sauver les marchés d’eux-mêmes, l’homme lutte contre les lois naturelles du cycle.
La prospérité en papier finit toujours par s’évaporer… et l’or reste, lui, le dernier refuge de la valeur réelle.
Entre intérêts politiques, financiers et énergétiques, l’intermittence des énergies renouvelables révèle ses limites.
Des marchés en apesanteur, une économie artificielle… et un succès plus illusoire que jamais.
Le Vieux Continent semble avancer, boitillant, vers un avenir incertain, entre dogmes écologiques et impuissance industrielle.
L’or signe une performance historique en 2025. Mais est-ce encore le moment d’en acheter ?
Alors que les constructeurs chinois grignotent des parts de marché, les groupes européens révisent leurs ambitions.
Le S&P 500 a atteint 6 666,66 points ce vendredi, un sommet aussi marquant que l’était son plancher historique à 666 points en mars 2009.
L’IA ne profitera pas seulement aux géants de la tech, mais à des centaines d’entreprises « ordinaires » qui verront leur productivité exploser.
Les dirigeants sont forcés de recourir à la faillite pour se protéger des créanciers et des syndicats.
La note de la France a été dégradée, le CAC40 gagne +1 %, les Cassandres ridiculisées : encore un coup des Russes !
Wall Street caracole de record en record. Cette euphorie s’appuie en partie sur le retour des SPAC. Faut-il y voir le signe avant-coureur d’une correction ?
Entre signes de surchauffe boursière, contradictions économiques et excès de valorisation, le risque d’un retournement se précise.
Les entreprises annoncent des rachats d’actions records. Un cadeau aux actionnaires ou une stratégie coûteuse et trompeuse ?
Les géants américains de la tech injectent des centaines de milliards dans l’intelligence artificielle.
Plus de la moitié de la capitalisation américaine repose sur du vent. Et la démocratie elle-même semble glisser vers un modèle autoritaire.
Dans un univers où moins de 4 % des actions génèrent à long terme des rendements supérieurs, la discipline est essentielle.
