Quelle quantité d’or détient (vraiment) la Banque centrale de Chine ?
La Chine serait le deuxième plus grand pays détenteur de réserves officielles d’or après les Etats-Unis…
La Chine serait le deuxième plus grand pays détenteur de réserves officielles d’or après les Etats-Unis…
La BCE crée de véritables « armes atomiques » qui menacent l’existence même du secteur bancaire.
Les emprunteurs doivent se méfier d’une chute de la valeur de leurs actifs acquis à crédit en dessous de la valeur des prêts ayant servi à les financer.
Les obligations mondiales chutent, les actions s’effondrent et… des craquements se font entendre.
Nous sommes arrivés au bout de la phase qui a commencé en 2009… Mais attention, nous ne pouvons pas nous permettre de le dépasser !
Les politiques de la Fed provoquent une dynamique mondiale déstabilisatrice.
A des taux en hausse, des prix en hausse, de la corruption et du chaos…
Ce qui pourrait provoquer l’effondrement de notre monnaie… c’est qu’on s’en serve !
Dans le monde financier des maîtres de la monnaie, tout n’est qu’illusion, jeux de miroirs et tours de passe-passe.
Le point commun entre les constructeurs de pyramides, chasseurs de sorcières et gouverneurs de la Fed…
Le quatrième trimestre vient réellement de commencer et, suite à l’annonce de la Fed, il prend la forme d’un automne boursier.
La mission de la BCE, contrôler l’inflation, semble en train d’être accomplie. Pour en arriver là, elle aura seulement poussé à la destruction de l’économie réelle.
Insensible à la marée montante des dettes, déficits et défauts, l’Humanité titube vers le désastre…
Une théorie qui n’a pas grand-chose de moderne et pas beaucoup plus de monétaire, mais que les Argentins peuvent au moins apprécier depuis des années.
Les banques centrales espèrent ralentir l’économie en montant leurs taux directeurs. Le résultat n’est pas vraiment au rendez-vous pour l’instant…
Cette théorie ne tient pas la route pour deux raisons bien simples. Mais les banquiers centraux continuent de l’utiliser, comme elle leur est bien utile.
Ils ne manquent pas de ressources pour fausser les calculs, quand ils ne sortent pas juste de leur chapeau les chiffres qui les arrangent.
Leurs rendements atteignent des niveaux plus vus depuis 2008. C’est le signe d’un changement plus profond qu’une seule hausse temporaire des taux d’intérêt.