La prochaine législature risque d’être placée sous le signe de la chasse aux épargnants.
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Vous avez aimé les taux zéro, et l’impact dramatique sur l’économie réelle que cause toute tentative de normalisation ? Vous adorerez les achats d’actifs, qui sont un piège encore plus redoutable.
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Discuter avec ChatGPT ou pouvoir recharger votre voiture électrique ? Une chose est certaine : il faudra choisir.
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En jouant la carte de la protection des anciens acteurs, le gouvernement français fait un pari dangereux qui va étouffer l’innovation.
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Indices, marches actions, strategies
Mines, matières premières, production d’énergie : la France néglige-t-elle l’économie réelle ?
L’Hexagone devrait prendre au sérieux l’importance de l’industrie lourde.
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Si les taux bas privilégient les emprunteurs, les taux hauts sont du pain bénit pour les épargnants.
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Lorsque les anciennes SCPI n’alimenteront plus le marché en biens soldés, que se passera-t-il pour les néo-SCPI ?
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C’est dans le marché obligataire que réside actuellement le plus grand réservoir de richesse.
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Cette opportunité, qui ne s’est pas présentée depuis plus de 20 ans, constitue la meilleure assurance anti-krach !
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Les signes supplémentaires de déclin de l’industrie énergétique européenne se multiplient.
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Les anticipations optimistes de baisse des taux d’intérêt sont remises en question, ce qui augmente le risque de correction des prix des actifs.
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En matière de transition énergétique, sujet éminemment politique, les discours simplistes sont inadaptés.
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La hausse des prix de l’électricité en France est principalement motivée par les besoins budgétaires de l’Etat, pour compenser les pertes de recettes fiscales dues à la diminution de la consommation de carburants fossiles.
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La nouvelle augmentation significative des tarifs de l’électricité reflète une tendance inflationniste durable, contrairement à ce que prône le gouvernement…
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Les épargnants ont tout intérêt à se tourner vers d’autres vecteurs pour faire fructifier leur épargne.
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Pourquoi l’Etat affaiblit-il les propriétaires, en augmentant le poids de la fiscalité ?
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Des droits garantis… mais juste pour les ministres ?
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Cette nouvelle donne monétaire signera la fin de comportements que nous tenions pour acquis.