Bill Bonner

Alors que le Dow Jones chute de près de 900 points, les espoirs placés en Donald Trump vacillent.

Face à une dette de 36 000 milliards de dollars, la mission de Trump de rétablir l’équilibre budgétaire semble une tâche titanesque.

Des Etats-Unis à l’Europe, en passant par les anciennes colonies, la démocratie s’est imposée comme le modèle politique dominant.

Droits de douane, inflation, endettement… Derrière le théâtre politique, une même réalité : ce sont les citoyens qui paient l’addition.

La dette doit être refinancée. Et plus le coût du service des dépenses passées est élevé, moins il y a de ressources disponibles pour le présent.

Bureaucratie tentaculaire : tout semble conçu pour complexifier un service pourtant essentiel. L’industrie des soins de santé a besoin non seulement de médecins et d’infirmières, mais aussi d’une armée d’administrateurs. Aux…

Personne n’a mieux compris comment tirer parti d’un crédit mal évalué que les grands argentiers de Wall Street.

Le problème, ce n’est pas que l’argent soit dépensé de manière inefficace, c’est qu’il soit dépensé tout court.

Alors que les Etats-Unis s’enlisent dans une « folie fiscale », la véritable question reste en suspens : jusqu’où les prix des actifs peuvent-ils croître sans que la réalité économique ne rattrape l’illusion ?

A l’heure où les marchés battent des records, une autre réalité se dessine : qui s’appauvrit pour que certains s’enrichissent ?

Alors que Donald Trump promettait jadis de « mettre une raclée à l’inflation », les Américains découvrent aujourd’hui une réalité bien différente…

Alors que les équipes de Musk s’infiltrent dans les rouages du Pentagone, la question se pose : qui contrôle vraiment la force militaire américaine ?

L’histoire se répète : un empire en déclin cherche son « homme fort », prêt à tout pour « sauver son pays ». Mais qui contrôle réellement le jeu ?

Trump a raison sur un point. Un tarif est une taxe. Mais il ne nous rend pas riches ; il nous rend pauvres, en frappant principalement nos ménages…

Les démocrates n’ont pas compris pourquoi les électeurs n’appréciaient pas la formidable économie qu’ils leur avaient façonnée. Voici pourquoi…

Entre inflation, manipulation des chiffres et transformation du travail, explorons les vérités économiques que l’on préfère taire…

En 1925, on pouvait acheter une maison moyenne pour 300 onces d’or. Aujourd’hui, il n’en faut plus que 175.

L’Homme est une espèce compétitive, toujours à la recherche de moyens de se mettre en valeur. Souvent, nous en payons le prix.