Il s’agit de cette époque magique de l’année qui fait dire aux investisseurs, « j’aurais dû vendre hier ». Des comptes de résultats déplorables ou une orientation générale médiocre peuvent faire couler les titres, casser les tendances et rapidement ruiner votre semaine.
Wells Fargo
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Inflation et récessionPhilippe Béchade
Moody’s dégrade encore la note de la dette souveraine grecque
par Philippe Béchade 3 juin 2011Moody’s a une nouvelle fois dégradé la note de la dette souveraine de la Grèce à Caa1 mercredi soir. C’est pratiquement le pire niveau de la catégorie junk bond, il indique un risque de défaut quasi certain. Cet épisode arrive au moment même où le FMI fait savoir qu’il ne versera pas les sommes prévues dans le plan de sauvetage au mois de juin, parce que la Grèce est incapable d’apporter la preuve de sa capacité à rembourser à un horizon de 12 mois.
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Epargne
Et de 100 ! Le nom du lauréat d'octobre est Partners Bank
par Philippe Béchade 27 octobre 2009Les paris allaient bon train au sujet du nom de la 100ème banque américaine à faire faillite cette année. Pas moins de sept établissements se disputaient le triste privilège d’être le numéro 100. La FDIC a finalement tranché en faveur de Partners Bank. Cette toute petite entité régionale est située en Floride ; ses actifs sont évalués à 65,5 millions de dollars — à peine la surface financière d’un hedge fund de taille moyenne
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La semaine dernière, Wells Fargo (WFC) a inscrit un bénéfice plutôt sympathique de 3,2 milliards de dollars, doublant ainsi son compte depuis le même trimestre de l’année dernière. Alors, quand la cloche a sonné l’ouverture, les investisseurs exubérants se sont rués sur le marché et ont fait grimper les actions de WFC. Mais il s’est ensuite passé une chose étrange
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Ouf ! Quel soulagement ! Nous avions peur que l’opération stress test ne débouche sur des conséquences négatives… pour notre crédibilité. Mais nous voici pleinement rassuré : comme nous l’avions écrit à de nombreuses reprises, le stress test de l’équipe Geithner, c’était du flan. Le Wall Street Journal et le Financial Times révèlent en effet que les 19 grandes banques américaines participant aux "tests de résistance" ont négocié comme des marchands de tapis pour faire baisser les chiffres officiels concernant le montant de capital requis en cas d’aggravation de la crise
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Dans l’histoire moderne, on ne trouve que deux exemples de dépressions comme celle-ci — les années 30 aux Etats-Unis et les années 90 au Japon. Dans les deux cas, les autorités ont fait des idioties. Mais cette fois-ci, le gouvernement américain les bat toutes. Il a engagé 13 000 milliards de dollars dans des programmes qui n’ont aucun sens en théorie… et n’ont jamais fonctionné en pratique
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Epargne
Selon votre profil d'investisseur, vous avez quatre solutions
par La rédaction 17 avril 2009Simone Wapler était hier à une conférence donnée par Carmignac. Raisonnablement, les gérants interviewés étaient pessimistes quant à l’avenir des marchés, et de l’économie en général. Pour eux, les marchés occidentaux sont… agonisants. Mais la Chine, principalement, tirera sont épingle du jeu à force de volontarisme et de plan de relance
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Tous les opérateurs ont pressé presque en même temps le bouton "achat" et ils ont continué de presser dessus sans faiblir jusqu’à la clôture. Le restant de la séance n’a constitué qu’un énorme bouquet final de trois heures et demi dont les vendeurs à découvert sont ressortis lessivés, hagards… et abasourdis de voir l’indice sectoriel des valeurs bancaires américaines gagner 20% au bout d’une demi-heure de cotations, c’est-à-dire deux heures après la publication des trimestriels de Wells Fargo
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Epargne
Etats-Unis et Europe en ordre dispersé : marchés disloqués
par Philippe Béchade 6 octobre 2008La dernière lueur d’espoir d’un rebond in extremis pour Wall Street semble avoir été soufflée par l’appel d’air provoqué par l’adoption du plan Paulson. Sitôt approuvé à une large majorité (263/171) par le Congrès américain, le "fait accompli" a commencé à se manifester dès que sont retombées les clameurs de satisfaction des opérateurs opérant sur le floor du New York Stock Exchange. Le Dow Jones, qui grimpait de 310 points peu avant la conclusion du vote, a vu son avance fondre de moitié en une poignée de minutes, puis s’évaporer en moins d’une heure
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Hier, alors que les baromètres boursiers dégringolaient au fond de véritables gouffres indiciels, nous écrivions que la noirceur des scénarios macroéconomiques créaient les conditions d’un rebond, que nous jugions imminent