Dans ces colonnes, nous soutenons que les manoeuvres des banques centrales sont vaines et que la prospérité ne s’achète pas en fabriquant de la fausse monnaie, en rajoutant de la dette à la dette, en feignant de croire que les mauvaises créances seront un jour payées…
Wal-mart
-
-
EpargnePhilippe Béchade
La Fed prépare ses cadeaux de Noël pour Wall Street
par Philippe Béchade 16 novembre 2012▪ Les indices boursiers de l’Eurozone vont basculer les uns après les autres — le dernier sera le CAC 40 à 16h — vers l’échéance décembre sans avoir commis de faux pas irréparables.
-
Epargne
Rendement : les obligations d’Etat ne sont plus ce que l’on croit
par Eric J. Fry 29 juin 2012▪ « Le monde a raison d’avoir peur », déclare James Grant dans une récente édition du Grant’s Interest Rate Observer. « Toutefois, nous semble-t-il, les prétendus refuges eux-mêmes figurent parmi les plus grands périls ». Par conséquent, ajoute Grant, « nous sommes généralement haussier sur ce qui est déclaré peu sûr et baissier sur ce qui est déclaré sûr (en supposant toujours que les prix sont justes) ».
-
Inflation et récessionPhilippe Béchade
La soudaine flambée de l’or trahit l’anticipation d’un QE3
par Philippe Béchade 26 janvier 2012Ah, quel merveilleux symbole de l’inventivité et de la prospérité à l’américaine que la réussite d’Apple… mais cette impression est largement factice et ne résiste pas à l’analyse.A part un effet image positif, les Etats-Unis ne tirent guère avantage des 13,5 milliards de dollars de profit et des 46,5 milliards de dollars de chiffre d’affaires engrangés d’octobre à décembre — la période la plus faste de l’année avec Thanksgiving et Noël.
-
▪ J’aime les changements de saisons, cela me met toujours dans une humeur méditative. Je pense que c’est parce que cela me rend plus conscient du temps qui passe, chose que l’on peut facilement perdre dans le train-train des occupations de la vie courante.
-
▪ Le chômage va-t-il continuer à augmenter aux Etats-Unis ? Pour le savoir, il suffit peut-être d’examiner le cours de l’action Wal-Mart, la première chaîne américaine de supermarchés. Depuis deux ans,…
-
Epargne
Aux Etats-Unis comme en Europe, la consommation reste l'épine plantée dans la chair de la reprise économique
par Philippe Béchade 26 novembre 2010En Espagne ou en Irlande, les parkings des centres commerciaux de taille secondaire sont de plus en plus clairsemés le week-end, tandis que les plus grands malls surnagent à coup d’opérations "super promo" et "prix cassés". A Dublin, il existe au moins un parking qui connaît une affluence inhabituelle depuis quelques mois : il s’agit de l’ère de stationnement longue durée de l’aéroport international de la capitale
-
Epargne
Jusqu'où Wall Street peut-il perdre le contact avec le réel ?
par Philippe Béchade 22 octobre 2009La principale inquiétude de Wall Street semblait provenir mercredi soir du niveau de la consommation aux Etats-Unis. Wal-Mart s’est montré prudent lors d’une réunion avec les analystes : la période cruciale de Thanksgiving puis de Noël se profile sur fond de chômage massif — et Wal-Mart sait à quel point les statistiques de l’emploi du gouvernement sont éloignées de la réalité du terrain
-
Wall Street a subi sa seconde plus sévère correction de l’année 2009 mais surtout la plus lourde de conséquence : le Dow Jones plonge de 3,8% à 7 552 points et pulvérise ainsi son plancher annuel 2009. L’indice phare rejoint ses plus bas absolus de l’année 2008, mais ce n’est pas le pire […] Tous les indices américains qui ont tenté de limiter la casse à une demi-heure de la clôture n’ont en fait repris de la hauteur que pour mieux rechuter
-
Epargne
Recherche praticien courageux sachant guérir la pétoche…
par Philippe Béchade 9 janvier 2009Mercredi matin, nous nous attendions à une sévère rechute du thermomètre boursier, à une baisse de 3% comparable à celle de Wall Street mercredi soir ou de 3,75% comme à Tokyo au cours de la nuit… et les justifications n’auraient pas manqué. Le CAC 40 n’a cédé pas plus de 2% en cours de séance avant de réduire ses pertes des deux tiers entre 16h30 et 17h35, pour clôturer sur un modeste repli de 0,65% qui n’empêchera personne de dormir
-
Durant le boom immobilier, le prix des maisons a augmenté dans quasiment tous les coins des Etats-Unis, offrant un cadeau merveilleux aux propriétaires : l’augmentation de la valeur de leurs biens immobiliers. Les Américains, épargnants malins, on su profiter de ce cadeau du marché et ont continué à avancer sur le chemin de l’indépendance financière en remboursant leurs emprunts en avance, tout en continuant à mettre de l’argent de côté. C’est ça, non ?
-
Les résultats commerciaux du Black Friday — la fameuse orgie consumériste qui ponctue les célébrations de Thanksgiving aux Etats-Unis — étaient attendus par les marchés avec une fébrilité et une appréhension au moins aussi grande que le prochain plan de licenciement massif anticipé de façon imminente chez Citigroup. C’est tout dire !