Le Grand Prix de Wall Street : jusqu’où ira le rallye post-élection de Trump ?
La barre des 36 000 Mds$ de dette est franchie alors que la Fed se réunit.
La barre des 36 000 Mds$ de dette est franchie alors que la Fed se réunit.
La hausse forcenée des cours de Bourse est tout sauf une coïncidence.
La baisse des taux de la Fed met en lumière des problèmes jusqu’alors sous-jacents, notamment aux Etats-Unis.
La Fed soutient les marchés avec de nouvelles baisses de taux, masquant une montée préoccupante de l’endettement des ménages.
Wall Street devient si nerveux que certains se demandent si Buffett n’a pas eu encore raison.
Ce sera le « pire » qui envoie le Nasdaq au septième ciel.
Wall Street ne fera pas office de « refuge » encore très longtemps.
Quatre baisses de taux se sont évaporées en quatre mois, mais le S&P ou le Nasdaq se payent 11 à 12% plus cher que le 1er janvier.
Alors que Wall Street est en forme (merci Apple), les Etats-Unis et la Chine font face à une menace grandissante qui appauvrit leur population…
On fonce vers le platane, klaxon hurlant !
Tenter d’anticiper le futur n’est pas la bonne stratégie.
Wall Street surferait-il sur une désinflation d’origine migratoire ?
Il n’y a Pâques les records… il y a aussi la manière !
Et ça ne va pas forcément nous faire rire !
Les marchés réagissent avec agilité face aux signes d’inflation, tandis que des stratégies complexes émergent pour minimiser ses effets perçus.
Pourra-t-on compter sur notre « Petit Papa Powell » en 2024 ?
Il n’existe plus aucun problème sur Terre qui ne puisse être résolu par un algo et quelques baisses de taux !
Les nuages s’accumulent de tous côtés, mais Wall Street « tient » toujours.