L’irrationalité des marchés rejoindra-t-elle celle de Trump ?
Après une année 2024 marquée par des excès boursiers, 2025 pourrait voir les tensions géopolitiques redessiner l’équilibre mondial…
Après une année 2024 marquée par des excès boursiers, 2025 pourrait voir les tensions géopolitiques redessiner l’équilibre mondial…
L’écart de performance historique avec l’Europe, combiné à des indicateurs économiques divergents, soulève des inquiétudes sur la pérennité de la surévaluation des marchés US…
Wall Street vivait un rêve éveillé. Mais en une intervention, Jerome Powell, président de la Fed, a brisé l’ambiance festive.
Le combat pour juguler les déficits est un défi des deux côtés de l’Atlantique.
L’économie de Trump est assise sur les pentes d’un volcan de dettes qui gronde.
La barre des 36 000 Mds$ de dette est franchie alors que la Fed se réunit.
La hausse forcenée des cours de Bourse est tout sauf une coïncidence.
La baisse des taux de la Fed met en lumière des problèmes jusqu’alors sous-jacents, notamment aux Etats-Unis.
La Fed soutient les marchés avec de nouvelles baisses de taux, masquant une montée préoccupante de l’endettement des ménages.
Wall Street devient si nerveux que certains se demandent si Buffett n’a pas eu encore raison.
Ce sera le « pire » qui envoie le Nasdaq au septième ciel.
Wall Street ne fera pas office de « refuge » encore très longtemps.
Quatre baisses de taux se sont évaporées en quatre mois, mais le S&P ou le Nasdaq se payent 11 à 12% plus cher que le 1er janvier.
Alors que Wall Street est en forme (merci Apple), les Etats-Unis et la Chine font face à une menace grandissante qui appauvrit leur population…
On fonce vers le platane, klaxon hurlant !
Tenter d’anticiper le futur n’est pas la bonne stratégie.
Wall Street surferait-il sur une désinflation d’origine migratoire ?
Il n’y a Pâques les records… il y a aussi la manière !