La phase d’expansion économique achetée par les politiques monétaires non-conventionnelles se termine. Qu’est-ce qui nous attend au coin du bois ? Avec le blocage institutionnel sur lequel ont débouché les…
stagflation
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Defaut américainDetteInflation et récession
Combien de temps avant la prochaine récession ?
par Nicolas Perrin 29 novembre 2018Selon différents modèles, une récession a entre 14% et 28% de probabilité de se produire en 2019. Mais quelle foi attacher à ce genre de prévisions ? C’est bien gentil de…
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Banques CentralesDefaut américainInflation et récession
Stagflation nous voilà !
par Bill Bonner 19 novembre 2018Le cocktail hausse généralisée des prix et absence de croissance échappe aux théories économiques récentes. C’est normal, ces théories sont fausses… « Ce que j’ai appris à la Réserve fédérale, c’est…
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Banques CentralesInflation et récession
Préparez-vous à la « Stagflation »
par Jim Rickards 29 mai 2018La Réserve fédérale n’est pas indépendante. Elle pratique la politique monétaire qui arrange le pouvoir en place ou favorise sa réélection…
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Inflation et récessionPhilippe Béchade
Hausse du pétrole : attention
par Philippe Béchade 17 novembre 2011Nous sommes à 48 heures la journée des « Trois sorcières » qui marquera le basculement des positions à terme vers le mois de décembre, celui du traditionnel rally de fin d’année.
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Inflation et récession
Bulle des subprime en Chine… fausses économies aux Etats-Unis
par Bill Bonner 22 septembre 2011▪ Il ne se passe pas grand-chose sur les marchés américains en ce moment. En gros, le Dow stagne. L’or a grimpé. Les investisseurs aurifères semblent avoir du mal à se décider. L’économie est-elle bonne ou mauvaise pour l’or ?
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Inflation et récessionOr & Matières Premières
Tout le monde a besoin d'or…
par Bill Bonner 20 septembre 2011▪ « Stagnation inattendue des ventes au détail aux Etats-Unis », titrait un article de Bloomberg la semaine dernière. Inattendue ? Ils ne doivent pas lire la Chronique Agora. Une stagnation des ventes, c’est ce qu’on obtient lors d’une Grande Correction. C’est ce que nous disons depuis quatre ans.
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Qui a dit que la crise des subprime était finie ?" se demande La Tribune ce matin (paraphrasant ainsi Frédéric Laurent qui nous en dit plus, ci-dessous, sur les subprime et leurs conséquences). Pas nous, en tout cas… et nous avions raison. Regardez un peu qui fait sa réapparition sur le devant de la scène : oh, Lehman Brothers et des rumeurs de pertes spectaculaires au troisième trimestre
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Epargne
Notre sélection de l'été : 10 raisons pour une baisse des marchés jusqu'en 2010
par Simone Wapler 7 août 2008Les raisons que je vais avancer paraîtront très américainesà l’investisseur européen. Mais les Etats-Unis ont été jusqu’à présent le moteur de la croissance et de la dynamique boursière mondiale. Le dollar reste encore une monnaie étalon et le doute plane toujours sur le régime des moteurs auxiliaires que sont la Chine, l’Inde et le Brésil et leur faculté à ne pas caler
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Epargne
La BCE fait ce que les autres auraient dû faire depuis longtemps ! (1)
par Isabelle Mouilleseaux 10 juillet 2008Chute des marchés actions, retournement de l’immobilier, baisse des exportations du fait d’un euro fort, contraction du crédit… nous n’échapperons pas à un sérieux ralentissement économique, même en Europe
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La dégringolade du billet vert n’incite pas vraiment à investir sur le dollar. Que tous les créanciers détenant cette devise se mettent à la vendre car elle vaut de moins en moins, et l’effondrement sera total ! Investir sur l’euro ? Pour le moment, le potentiel me paraît limité
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Beaucoup de commentateurs évoquent la période des soldes sur les marchés financiers. Nous trouvons la métaphore particulièrement pertinente car ce à quoi nous assistons depuis 10 jours coïncide à merveille avec le canevas marketing et la rhétorique qui s’appliquent au déstockage des boutiques et des grands magasins
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Prêts au combat, les deux adversaires se scrutent, s’étudient, se dévisagent. La tension monte. L’euro est près à affronter le dollar. Ces dernières années, le premier a largement pris l’ascendant sur le second, mais quelques coups d’éclats récents du dollar redonnent une lueur d’espoir à son camp, qui redresse la tête. Derrière eux, les entraîneurs Trichet et Bernanke dopent leur poulain à coup de petites phrases et messages subliminaux, dont les répercussions s’entrechoquent
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Le prix des oeufs a grimpé de 30% au cours des 12 derniers mois. Pourquoi une telle augmentation ? Parce que les choses nécessaires pour produire un oeuf ont grimpé en flèche — nourriture pour les poules, chaleur, lumière, transport. Il en va pour la poule comme pour l’oeuf… et pour toute la chaîne des produits de consommation constituant le coût de la vie. Tout grimpe
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Les raisons que je vais avancer paraîtront très américaines à l’investisseur européen. Mais les Etats-Unis ont été jusqu’à présent le moteur de la croissance et de la dynamique boursière mondiale. Le dollar reste encore une monnaie étalon et le doute plane toujours sur le régime des moteurs auxiliaires que sont la Chine, l’Inde et le Brésil et leur faculté à ne pas caler
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A la Chronique Agora, nous sommes moins pressés de prononcer un jugement sur le plan de sauvetage de Bernanke pour l’économie US. Nous n’en avons pas besoin. Nous savions que c’était une erreur dès le début. Nous ne savions pas exactement comment les marchés réagiraient, mais l’idée de secourir des gens trop endettés en leur prêtant plus d’argent nous semblait un peu comme de servir des martinis à une réunion des Alcooliques Anonymes ; cela ne pouvait qu’engendrer des problèmes
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Les analystes ne savent pas quoi penser des marchés boursiers. Avec autant de mauvaises nouvelles, on pourrait penser que le Dow réagirait à la baisse. Mais les commentateurs, dans leur ensemble, tirent les mauvaises conclusions : les marchés nous disent de ne pas nous inquiéter ; l’économie se remettra "au deuxième semestre"
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Jusqu’à présent, les banques centrales pouvaient s’en sortir avec des politiques d’argent facile parce que les Chinois compensaient les augmentations de la masse monétaire par d’immenses augmentations de la main d’œuvre. Des millions de Chinois sont passés de la ferme à l’usine — diminuant les coûts de main d’œuvre partout dans le monde… et, avec eux, les prix des produits de consommation. Mais il y a de nombreuses choses que la main d’oeuvre bon marché ne peut pas produire