Pourquoi n’acquérir que quelques titres et ne jamais les vendre
Chris Mayer a réussi à tirer une leçon d’investissement de Tom Russo, le gérant du fonds Semper Vic Partners qui bat le S&P 500 depuis 30 ans. Au cours d’une…
Chris Mayer a réussi à tirer une leçon d’investissement de Tom Russo, le gérant du fonds Semper Vic Partners qui bat le S&P 500 depuis 30 ans. Au cours d’une…
Les medias grand public ont fait couler beaucoup d’encre sur la durée exceptionnelle de ce marché haussier. Prenez du recul… Vous avez probablement beaucoup entendu parler récemment du fait que…
Les ETF sont un investissement très populaire. Trop populaire. Il n’y a rien à gagner à arriver sur une position déjà encombrée par la foule…
Les indices dits « pondérés » ne sont pas les plus performants même s’ils accordent plus de poids aux valeurs à la mode…
Depuis le Lundi noir d’octobre 1987, le marché boursier américain n’a quasiment jamais cessé de gonfler. A cette époque, le nouveau président de la Fed, Alan Greenspan, avait paniqué et avait ouvert les vannes de la liquidité.
Reconnaissons-le, pendant des mois, la pire chose à faire a été de vendre à découvert des actions. Parier contre les actions a été le moyen le plus rapide de perdre de l’argent (beaucoup d’argent) au cours de cette période de forte hausse en bourse…
Alors que l’ambiance s’alourdissait franchement à Wall Street et par la force des choses sur l’EuroStoxx 50, une interview sur BFM Business nous a rempli d’allégresse et d’hilarité : figurez-vous qu’il existe encore des gérants pour penser que le CAC 40 a encore 25% à 30% à reprendre avant de retrouver ses niveaux de l’été 2007…
Les robots-traders ont été réalimentés en liquidités et ils n’ont pas fait de quartier au cours des deux dernières heures de cotation. Ils nous ont régalés d’une splendide démonstration de « hausse invincible » qui écrase toute velléité de consolidation sur son passage — un scénario vu et revu une bonne centaine de fois cette année…
Bon, Thanksgiving c’est demain et le Black Friday c’est dans 48 heures… alors on arrache tout. Orgie de records à Wall Street, tous les indices au zénith, les PER au taquet et les robots traders à plein régime…
Après le formidable surgissement d’euphorie de mardi et une hausse de près de 1% des places européennes, les opérateurs s’attendaient à une cascade de records historiques, motivée par la conviction que la Fed allait publier un diagnostic économique strictement identique à celui du 18 septembre et conclure à la poursuite quasi éternelle du QE3…
Après le cinq sur cinq à la hausse de l’indice EuroStoxx 600 la semaine passée et sept séances de hausse consécutives, il était inconcevable que cette marche triomphale s’interrompe ce lundi — d’où une huitième progression à 319,5 points. Cela après un week-end vierge de toute mauvaise nouvelle. Comment cela, nous oublions la dégradation du commerce extérieur japonais…?
Il y avait eu beaucoup d’étincelles et de fumée jeudi dernier — avec notamment des indices boursiers en surchauffe sur l’anticipation d’une résolution imminente du shutdown… qui ne s’est pas produite ce week-end. Et puis vendredi, plus rien, mais alors vraiment plus rien…
Très symboliquement, Wall Street est revenu au contact de ses records absolus un 11 septembre, 12ème anniversaire des tragiques évènements qui précipitèrent l’Amérique dans la plus coûteuse guerre de son histoire…
Beaucoup de commentateurs invoquaient jeudi soir le très bon ISM manufacturier aux Etats-Unis (il bondit de 50,9 à 55,3… c’est inespéré). Toutefois, les indices étaient déjà en « mode rally » bien avant sa publication à 16h…
Quelle étrange fin de séance sur les places européennes, quelle singulière fin de mois calendaire à Wall Street ! Les évolutions du CAC 40 au cours de la dernière demi-heure de la séance d’hier sont totalement incompréhensibles pour le commun des mortels…
Wall Street semble plafonner depuis la dernière séance des « Trois sorcières » — c’était il y a tout juste une semaine. Pendant ce temps, un florilège d’études bidon et manifestement très orientées — à la hausse comme de bien entendu — tente de venir à la rescousse des sherpas de Wall Street…
Les médias préfèrent nous parler du 24ème record historique du S&P 500 cette année : ils ont tous été inscrits depuis le 10 avril dernier, donc en l’espace trois mois… En revanche, ils préfèrent passer sous silence l’absurdité d’une telle performance…
Le scénario est bien rôdé depuis maintenant plus de quatre ans. Lorsque les indices américains semblent hésiter à franchir des seuils clé à une demi-heure de la clôture, les sherpas de Wall Street mettent en marche le « bulldozer algorithmique » qui arrache tout sur son passage…