Comment les nouvelles règles vertes de la SEC retardent réellement la croissance et entravent l’innovation ?
SEC
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Bitcoin & cryptomonnaies
La répression contre les cryptomonnaies continue
par James Altucher 21 juin 2023Les effondrements qui suivent les « mauvaises nouvelles » peuvent cependant présenter des opportunités d’achat convaincantes.
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Epargne
Le Congrès US a trouvé une solution à la falaise fiscale. Alléluia…
par Bill Bonner 4 janvier 2013▪ Le Dow a grimpé. Pourquoi ? Parce que la falaise fiscale a été évitée. C’est ce que disent les journaux. Tout ça sert simplement à démontrer pourquoi il vaudrait mieux ne pas lire les journaux, sinon pour trouver matière à un éclat de rire cynique.
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▪ Du point de vue de Barack Obama, quelle est la pire chose qui puisse arriver pour l’instant ? Une grosse chute du marché boursier. Cela inquiétera les gens… ils penseront que quelque chose ne va pas. Et ils auront raison.
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Epargne
Des tests sans stress malgré un secteur immobilier en détresse
par Philippe Béchade 20 juillet 2010Vendredi, le Congrès US a adopté une loi de réforme bancaire. Parmi les projets cruciaux étouffés dans l’oeuf, il y avait celui qui visait à créer un régulateur unique qui serait né de la fusion de la Securities and exchange commission (SEC) avec la Commodity futures trading commission (CFTC), le régulateur des marchés de dérivés. L’immense avantage aurait été de pouvoir recouper les informations en temps réel et d’avoir d’emblée une vision globale du risque. Mais le législateur a dû faire marche arrière face à la vive opposition manifestée par les professionnels
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Les cadres de Goldman Sachs étaient de bonne humeur pour une bonne raison : ils avaient parié contre le marché des prêts immobiliers. Bien entendu, c’était la seule chose raisonnable à faire. N’importe qui pouvait voir que le marché de l’immobilier traversait une bulle. Et tout le monde savait que la bulle immobilière éclaterait tôt ou tard. Personne ne le savait mieux que Goldman, parce que la firme avait contribué à créer la bulle… vendant ces titres adossés aux prêts hypothécaires délicieux… mais mauvais pour la santé… partout dans le monde
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Les détails de la plainte de la SEC accusent Goldman d’avoir omis de communiquer des "informations vitales" au sujet d’un titre adossé aux créances hypothécaires appelé Abacus. Selon la SEC : "à l’insu des investisseurs, Paulson & Co [un fonds de couverture]… qui devait faire des bénéfices si les [titres d’Abacus] faisaient défaut sur leurs obligations de paiement, a joué un rôle important dans le choix des titres qui devaient constituer le portefeuille… en résumé, Goldman Sachs a arrangé une transaction à la requête de Paulson, dans laquelle Paulson a lourdement influencé la sélection du portefeuille afin de satisfaire ses intérêts économiques"
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Les compagnies aériennes perdent des millions d’euros tous les jours ? Le tout-puissant "gouvernement Goldman" accusé par la SEC ? Qu’importe ! Hier, du côté américain on a préféré se concentrer sur les bons résultats d’entreprises… et reprendre la hausse.
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La panique s’est emparée des marchés sur l’annonce d’une enquête de la SEC à l’encontre de Goldman Sachs pour fraude. Ladite fraude aurait eu lieu au détriment des acheteurs de produits dérivés (RMBS) tandis qu’un de ses partenaires privilégié, le hedge fund Paulson & Co., vendait à découvert ces mêmes packages de crédits structurés par le biais de CDO, qui fonctionnent comme des options de couverture
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Epargne
Votre accès aux marchés des matières premières va-t-il être limité ? (2)
par sylvainmathon 16 septembre 2009Prenez cette déclaration remarquée du patron de la CFTC, Gary Gensler le 7 juillet dernier : "la commission veut réfléchir à imposer des limites de position […]" Sont visées par ces plafonds, entre autres, les grandes banques américaines : pas question de les renflouer à coups de milliards pour les voir ensuite tout miser au casinuméro pétrolier
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Tous les journaux semblaient ravis. "Enfermé pour la vie !" titrait l’un d’entre eux. Ses victimes voulaient qu’on n’ait aucune pitié pour lui — et le juge n’en a eu aucune : il a imposé la sentence maximum. Madoff est "extraordinairement néfaste", a-t-il déclaré. Justice est faite, non ? En faite, nous n’en sommes pas certain
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Bernard Madoff a écopé de 150 ans de prison. Les plaignants ne savent pas grand-chose ; ils n’en sauront donc probablement pas davantage sur les possibles complicités familiales… mais qui ne seront pas inquiétés. Idem sur la troublante complaisance de la SEC, qui a délibérément omis d’enquêter malgré l’envoi de renseignements très documentés mettant en évidence une arnaque pyramidale. Et LA question qui va continuer de tarauder les victimes reste la suivante : où est passé l’argent
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Les places européennes n’ont pas aligné une quatrième séance de baisse — mais les acheteurs, qui ont remporté la mise, n’ont pas eu la tâche facile. La journée avait très mal débuté alors que Wall Street menaçait de prolonger le violent mouvement de correction de mardi. Une perte de 1% à 1,3% supplémentaire était anticipée, mais les heures qui ont suivi ont démontré que les échanges en pré-ouverture sur les indices américains ne sont pas des précurseurs très fiables de la tendance
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José Manuel Barroso a exclu de priver Prague de la présidence de l’Union européenne ; cependant, Mirek Topolanek n’a plus de légitimité politique dans le cas où il continuerait d’assumer sa fonction, et ce à quelques jours de la visite de Barack Obama en République tchèque. Nous sommes convaincu que le président américain ne manquera pas d’interroger le ministre Mirek Topolanek sur les motifs qui l’ont conduit à déclarer mercredi que "le plan de relance de l’économie américaine, c’est le chemin qui mène à l’enfer".
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Non, ce n’était pas un phénomène de déjà-vu ni une version boursière du film Un jour sans fin : la séance d’hier a été un véritable bis de celle de mercredi — les applaudissements en moins, la crispation en plus. Elle a en effet clôturé en tout juste négatif de 0,05% malgré des gains résiduels au cours du dernier quart d’heure et des volumes d’échanges parfaitement identiques. Les opérateurs n’ont pas pu se consolider avec une volatilité de tous les diables
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Les pressions baissières qui s’exercent sur les marchés actions depuis 15 mois semblent avoir été gelées par la chute des températures dans l’hémisphère Nord… mais les investisseurs ne savent pas trop s’il faut s’enthousiasmer pour le plan de relance sur lequel planche Barack Obama — une promesse d’avenir à 800 ou 1 000 milliards de dollars, voire plus
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Epargne
Treize questions majeures au sujet d'un Tchernobyl financier
par Philippe Béchade 23 septembre 2008Le fait que vous connaissiez par coeur le processus qui vient de mener les Etats-Unis à un Tchernobyl financier — explosion d’une centrale économique basée sur la dette, la dérégulation, la dissimulation du risque et le transfert insidieux d’actifs toxiques à l’ensemble des acteurs du marché — va nous faire gagner un temps précieux. Nous allons le consacrer à poser une série de questions embarrassantes pour les autorités américaines (le Trésor, la SEC), la Fed, la BCE, les banques et les agences de notation
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Les indices boursiers ont aligné une quatrième séance de hausse consécutive ; le CAC 40 a affiché hier jusqu’à +1,5% en début d’après-midi, soit +9% sur ses planchers de mercredi, une performance inégalée depuis la période du 13 au 20 mars 2003