Le cours du métal jaune est en train de reculer… et il est inutile de paniquer. C’est même une assez bonne nouvelle pour les investisseurs de long terme.
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Guerre des monnaies
La deuxième guerre du rouble sera-t-elle la dernière?
par Edouard Fréval 28 avril 2022Des velléités d’indépendance monétaire, la Russie en avait déjà eu en 2014. Mais en huit ans, de l’eau a coulé sous les ponts.
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actu géopolitique
Les leçons de l’échec des unions monétaires en Europe
par Nick Hubble 24 septembre 2018L’euro n’existe que par une volonté politique. Par conséquent, il n’éclatera que par une volonté politique, peu importe qu’il soit « trop gros pour faire faillite ». Dans un article précédent, nous…
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La monnaie est une abstraction humaine. C’est une idée liée à certains critères. Les archéologues nous disent par exemple que les sociétés primitives utilisaient des pierres colorées, des coquillages ou des morceaux d’os en tant que monnaie. Ensuite, pendant une bonne partie de l’histoire humaine, l’humanité a utilisé l’or, l’argent et le cuivre comme monnaie.
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Au début de la crise, à l’été 2008, la Russie disposait de 600 milliards de dollars de réserves de change et le pétrole flirtait avec ses plus hauts. Le pays semble donc bien armé pour affronter le marasme qui s’annonce. C’était sans compter les aléas des cours des matières premières et, surtout, sans tenir compte d’un élément capital : la gestion politique en temps de crise
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Contrairement à ce que nous redoutions, le billet vert n’a que très peu réagi au communiqué final des dirigeants des quatre pays composant l’acronyme BRIC réunis à Ekaterinbourg depuis ce week-end. Les présidents russe Dimitri Medvedev et brésilien Lula da Silva, le Premier secrétaire chinois Hu Jintao et le Premier ministre indien Manmohan Singh ont réclamé sans surprise une plus grande diversification du système monétaire international avec l’intégration du rouble et du yuan comme monnaies de réserve
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La Russie est actuellement dans une situation dramatique. Les capitaux ont déserté les grandes steppes. Une véritable hémorragie : 10 milliards de dollars chaque semaine, selon Michel Santi, de gestionsuisse.com. La Bourse accuse la plus lourde perte d’Europe : 72% de sa valeur en dollars