récession

Les « bonnes mauvaises nouvelles » sur l’activité économique ont eu un impact intéressant sur le marché obligataire, qui pourrait représenter un bon investissement d’ici la fin de l’année.

Les rebonds du marché actions et les chiffres de l’emploi sont les seules choses dont parlent les médias… Faut-il s’y fier pour évaluer l’économie américaine ?

Les secteurs de l’immobilier et de la finance donnent déjà des signes de faiblesse, et l’industrie exportatrice chinoise pourrait très bien trébucher à son tour vers la récession.

Les marchés sont repartis à la hausse, sous l’influence d’« audacieux » investisseurs. Le même genre d’investisseurs qui était extatique début 1930… avant la rechute.

Tout semble aller très bien… à en croire les marchés. Pourtant, le remboursement de la dette et la guerre commerciale contre la Chine pèsent de plus en plus lourd sur l’économie américaine.

Pour résorber leurs dettes, les gouvernements vont se lancer dans une sournoise répression financière.

Dans un monde de maisons soit offertes soit trop chères, et d’actions ignorant la hausse des taux d’intérêt… A quand la baisse de tous les actifs ?

De nombreux investisseurs baissiers prévoient une récession et chute des actions pour bientôt, mais qu’en est-il vraiment ?

Quand la Chine ralentit, ce qui devient inéluctable, les économies américaine et européennes souffrent d’autant plus.

Si les ventes diminuent, les prix baissent et les taux d’intérêt réels augmentent… Il y a récession.

Il est ultra mince et, pour une bonne cuisson, il faut le retourner en permanence !

Qu’il y ait eu un accord sur le plafond de la dette aux Etats-Unis règle certains problèmes, mais d’autres risques demeurent qui n’étaient pas précédemment envisagés.

Le second l’emporte toujours, et la récession qu’il annonce se confirme par d’autres indicateurs…

Une récession imminente, des entreprises zombies, des problèmes immobiliers et des courbes de rendement inversées…

Les banques centrales se retrouvent toujours face au même dilemme, mais elles peuvent encore changer la direction apparemment choisie.

Qu’est-ce qui pourrait bien attendre les économies occidentales, après tant d’interventions étatiques…

Et, si ce n’est pas le cas, la grave récession qui se profile pourrait-elle pousser quelqu’un à couper les ailes de la Fed ?

On n’en retrouve pas beaucoup dans les chiffres du PIB, le F-35 américain et un pronostic médical menant à un demi-siècle de repos sur une petite île grecque…