Assouplissement quantitatif : réponse à une énormité (1/2)
Les économistes s’étonnent que l’assouplissement quantitatif n’ait pas relancé la croissance. Les raisons à cela sont pourtant évidentes…
Les économistes s’étonnent que l’assouplissement quantitatif n’ait pas relancé la croissance. Les raisons à cela sont pourtant évidentes…
Les prévisions de croissance baissent pour la Zone euro et tous ses membres… mais selon la Commission européenne, c’est de la faute des autres.
Les évolutions des investissements et des salaires ne signalent aucune expansion économique. Les dépenses publiques augmentent tandis que les recettes fiscales baissent.
Les marchés actions font la une des medias mais les choses sérieuses se passent sur le marché obligataire qui va continuer à broyer du noir. Les Echos du jour reviennent…
Les statistiques officielles sont trompeuses. Les trois quarts des comtés américains sont en réalité en dépression économique…
Les nouvelles technologies font irruption dans nos vies… mais finalement est-ce un tel bouleversement ?
La mesure de l’activité économique globale paraît simple et évidente. Pourtant chacun peut avoir un point de vue différent…
En réalité, l’économie américaine est en dépression puisque le déficit public excède la croissance américaine depuis quelques années déjà…
La croissance moyenne de l’économie américaine depuis 1980 (une période très favorable pour le développement) a duré 77 mois. A ce jour, l’économie américaine connaît une expansion depuis 76 mois…
Nous avons décrit comment et pourquoi les autorités et leurs compères du capitalisme de copinage ont fait grimper les prix des actions. Mais les cours ne sont pas les seuls à être truqués — c’est le cas du système tout entier ! Quasiment personne ne s’en rend compte…
Le dernier acte en date de la tragédie grecque — certainement pas le dernier — se joue « en extérieur » dans d’autres pays qui eux aussi voient naître des manifestations contre l’austérité et la « mort sociale ». Comme en Grèce, ces manifestations ont pour toile de fond le surendettement des finances publiques de ces dernières années.
Les Etats-Unis traversent une crise économique qui a débuté en 2007. Cette crise fait partie d’une crise mondiale plus vaste, la première depuis les années 1930. Cette Nouvelle Crise continuera indéfiniment, à moins que ne soient apportés des changements de politique dans les années à venir…
Le discours ambiant du style « vous allez voir ce que vous allez voir, les banques centrales et les autorités reprennent les choses en main, des actions inédites et inouïes vont être entreprises, 2008 ne sera pas 1929 » est progressivement remplacé par un constat incrédule d’échec…
Les commentateurs ont affirmé que la chute du PIB était un coup du hasard. Les consommateurs dépensent toujours plus (même s’ils ne gagnent pas plus)… la météo était mauvaise… bla bla bla…
Le produit intérieur brut de l’EU28 exprimé en standard de pouvoir d’achat, représente 18,6% du PIB mondial. Les Etats-Unis, deuxième plus grande économie, représentent 17,1% et la Chine, en troisième position…
On a tendance à trop évoquer le possible ralentissement chinois alors que la croissance dans l’Empire du Milieu tournera autour des 7,5% cette année. Le Brésil, par contre, est bien loin de cette configuration…
Au début des années 80, Michael Milken soulignait que les junk bonds pouvaient être plus profitables que les obligations présentant une note AAA. Milken avait fondamentalement raison, comme le prouvèrent les événements par la suite…
Je crois que je vais bien m’amuser avec ce nouveau concept promu par les élites de Bruxelles : « la prospérité par le vice ». Il s’agit simplement de prendre en compte le PIB fantôme généré par l’économie souterraine dans la comptabilité de la richesse nationale de chaque pays membre…