J’ai un conseil à vous donner, cher lecteur. Restez loin des actions et des obligations. A la place, recherchez des choses dont la valeur est réelle : de l’immobilier rentable, des antiquités, des choses qui vous rapportent de l’argent, des choses agréables à posséder
obligations
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EpargneInflation et récession
Le franc suisse est-il vraiment un refuge ?
par Simone Wapler 12 juillet 2012▪ Pourquoi donc des gens sains d’esprit paient-ils des Etats pour garder leur argent à trois mois, alors qu’il existe des banques pour ça ? Voyons, c’est très simple : parce ces gens ont peur des banques et que les banques ont peur les unes des autres.
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Inflation et récessionPhilippe Béchade
Les OAT se détendent, le VIX prend peur
par Philippe Béchade 25 mai 2012▪ La rechute de 2,7% des indices boursiers mercredi appartient à la catégorie des « cygnes noirs » : un scénario sans véritable précédent, sinon partiellement comparable à un contrepied techniquement imprévisible survenu fin février 2003, dans un contexte de capitulation psychologique peut-être identique à celui observé ce 23 mai.
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Inflation et récession
Qu’est-ce qui rend une correction « grande » ? (1)
par Bill Bonner 17 mai 2012▪ Tout baisse, en ce moment. Même l’or.
Attendez une minute. Dans la mesure où nous savons, grâce à Einstein, que tout est relatif, tout ne peut pas baisser. Si tout baissait, tout serait immobile. Il faut qu’autre chose grimpe, comme point de référence.
Quoi donc ?
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Les actions ont perdu du terrain. Même l’or… cet ami si fidèle… nous a tourné le dos la semaine dernière, passant sous les 1 600 $ l’once. Oh, très cher lecteur… tout fiche le camp. A quoi nous raccrocher ?
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Indices, marches actions, strategies
Or et obligations : nous ne sommes pas de l’avis de Warren Buffett
par Bill Bonner 16 février 2012Buffett explique pourquoi il n’aime pas l’or. Il souligne que depuis 1965, le rendement total de l’or (sans tenir compte de l’inflation) était de 4,455%. Mais le rendement total sur les actions était plus élevé, à 6,072%.
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Inflation et récession
Pour sauver la Zone euro, la BCE va-t-elle oublier les règles ?
par Bill Bonner 25 novembre 2011▪ Les marchés sont fermés aux Etats-Unis pour cause de Thanksgiving. Et l’Europe, comme prévu, part en vrille. La dette française ne semble plus très sûre. Et l’Allemagne ne parvient pas à vendre ses obligations.
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Or & Matières Premières
L'or pourrait baisser plus encore dans cette crise économique atypique
par Bill Bonner 27 septembre 2011▪ Nous pensons avoir découvert une chose énorme. ENORME. La correction actuelle vise haut… Elle va mettre à bas la structure des économies développées du monde entier. Les actions… les obligations… l’immobilier — faites attention… tous vont chuter.
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Ca va mal sur le front de la Chine — ce qui est très dangereux pour la croissance mondiale aujourd’hui essentiellement tirée par les pays émergents. Ceci tombe à un très mauvais moment puisque l’Europe et les Etats-Unis sont simultanément dans de sales draps.
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Les obligations américaines ont chuté la semaine dernière. Les autorités ont emprunté plus. Le déficit de janvier atteignait près de 50 milliards de dollars. Cela met les Etats-Unis sur la voie d’un déficit record. Attendez une minute. Nous sommes dans la cinquième année depuis le début de la crise. On pourrait penser que les finances fédérales seraient en train de revenir à la normale.Que se passe-t-il
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Dans la famille des obligations d’entreprises, je voudrais le high yield. Ne vous laissez pas rebuter par ces titres, sous prétexte que les agences de notation les estampillent comme plus risqués. Votre risque, au contraire : des gains plus sûrs et plus élevés qu’avec les actions
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Pour l’instant, le marché de la dette gouvernementale n’a pas explosé. Mais même lorsque se produisent des choses que nous attendions, elles n’arrivent pas forcément comme nous le pensions, ni au moment que nous avions prévu. Nous avons eu la crise que nous prédisions. Puis les autorités ont versé du bon argent pour rattraper le mauvais… comme on pouvait s’y attendre. Elles ont dit que l’économie se "remettrait". Bien évidemment, ça n’a pas été le cas. L’économie n’a fait que commencer sa "Grande Correction" — avec un chômage en hausse, des prix immobiliers en chute et des marchés d’actifs dangereux. Et voilà qu’Obama et le Congrès US sont paralysés par les futures élections
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Est-ce que les paroles ou les actions d’un président de la Réserve fédérale — même s’il est intelligent et bien intentionné, comme l’est sans doute Ben Bernanke — ont la moindre chance de contrecarrer les forces naturelles de l’entropie économique ? Ou pour poser la question différemment, un homme peut-il réellement changer le cours d’une économie de 13 000 milliards de dollars
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Durant les prochaines années, les actions américaines ne rapporteront probablement pas grand-chose. Le marché boursier est entré dans une phase baissière en janvier 2000. Depuis, les investisseurs boursiers ont gagné de l’argent et perdu de l’argent. Certains ont une petite longueur d’avance. D’autres ont un petit retard. La plupart ont stagné
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La surprise de cette semaine a été l’annonce de la Chine, qui mettait fin à son lien avec le dollar. L’autre surprise, c’est que ça n’a fait aucune différence. La nouvelle a surexcité les investisseurs… qui ont passé la journée à se préparer à faire grimper les prix. Et rien n’est arrivé. Aucune différence sur les marchés boursiers. Même le marché des devises s’est contenté de bâiller
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Epargne
Criquets, tremblements de terre, boule de feu… et puis quoi encore ?
par Bill Bonner 28 avril 2010Un sondage de Barron’s nous dit que les obligations sont désormais la classe d’actifs la plus détestée. Franchement, nous n’aimons pas les obligations non plus. Mais la Grande Correction finira par administrer une volée de bois vert aux prix des actions… et de l’immobilier… et des matières premières… les obligations pourraient être les seuls actifs à s’en tirer ! Elles pourraient grimper à mesure que le désendettement se poursuit
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Le CDS grec à cinq ans évolue désormais non loin des 5%, voyions-nous hier. En d’autres termes, l’écart de rendement entre les obligations grecques et celles de l’Allemagne atteint près de 5%, le papier allemand étant considéré comme le moins risqué en Europe
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Après plusieurs semaines de tergiversations, le 11 avril, l’Europe annonce s’être mise d’accord sur les modalités financières de l’aide accordée à la Grèce. En pratique, l’enveloppe est comprise entre 40 et 45 milliards d’euros dont environ 10 à 15 milliards apportés par le FMI. Le taux de financement tourne lui autour des 5%. Le 12 avril, le problème semble alors résolu et les rendements sur le marché obligataire retombent autour des 6% dès le lundi matin