Les « bonnes mauvaises nouvelles » sur l’activité économique ont eu un impact intéressant sur le marché obligataire, qui pourrait représenter un bon investissement d’ici la fin de l’année.
obligataire
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Inflation et récession
La plus grande bulle financière de l’histoire a-t-elle été percée en 2022 ? (2/2)
par Bruno Bertez 9 janvier 2023Que retenir de 2022 ? Qu’un épisode de désendettement mondial a été lancé, mais qu’il a dû être interrompu quand il a commencé à produire ses effets.
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La dette, la dette… On peut toujours s’en sortir en créant de l’argent, pensent les gouvernements. Mais créer du temps leur est impossible. Nous sommes actuellement à Berlin pour une…
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Nous avons assisté ce jeudi à un scénario boursier constituant le parfait symétrique de celui observé la veille : une banque américaine (JP Morgan) avait dévoilé mercredi des trimestriels supérieurs aux estimations (une divine surprise en ces temps de crise du subprime !). Cela avait fait bondir le CAC 40 de 0,2% à 0,8% en quelques minutes peu après 13h… Or ce jeudi, l’annonce d’une chute de 32% des profits de Bank of America a fait dévisser le CAC 40 de -0,2% vers -0,9% en moins d’un quart d’heure (peu après 13h10).
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Nous avons été rapidement convaincu que le CAC 40 parviendrait sans trop de difficultés à préserver le support des 5 750 points — même si l’indice affichait jusqu’à 1,2% de repli en milieu d’après-midi et un niveau plancher de 5 739 points dans le sillage d’Alcatel-Lucent. La société a été sévèrement impactée par le profit warning de son concurrent suédois Ericsson (-25% à Stockholm). La moitié des pertes ont été comblées au cours de la dernière heure. Pendant ce temps, Wall Street s’employait à montrer le bon exemple après une entame de séance placée sous le signe d’un petit flight to quality (fuite vers la sécurité) au profit des marchés obligataires.