J’ai récemment fait l’acquisition du dernier livre de Steve Hoffmann, Planet Water: Investing in the World’s Most Valuable Resource, qui me semblait passionnant […] Pour commencer, il s’agit d’un secteur incroyablement vaste. L’eau est la troisième plus grande industrie du monde, derrière le pétrole, le gaz et l’électricité. Ensuite, certains des éléments majeurs de l’utilisation de l’eau deviennent de plus en plus importants
mondialisation
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Tôt chaque matin, votre correspondant se joint à un groupe d’analystes et de journalistes financiers pour discuter des nouvelles du jour. "Qu’arrive-t-il au prix du cuivre ? Pourquoi les actions asiatiques chutent-elles ? Vont-ils vraiment baisser les taux aujourd’hui ?" Les réponses ne sont pas toujours satisfaisantes, mais les questions continuent d’arriver. Et la question du jour, c’était : qu’est-ce qui a vraiment changé ?
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Un investisseur à Bombay parle le même langage qu’un investisseur à New York. Pourtant, ce sont les particularités des investissements qui font la différence entre les échecs et les succès financiers — les choses mêmes dont les médias financiers mondiaux ne se soucient pas : le genre de connaissance précise, détaillée, particulière, locale dont on a vraiment besoin pour des investissements réussis. Au lieu de cela, on obtient les nouvelles standardisées et imprécises diffusées dans les médias. Et l’investisseur ne sait pas grand’chose… tout en pensant qu’il sait tout
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Il est presque de bon ton, en France, de fustiger la mondialisation, censée être responsable de tous les malheurs ou quasi. Le "capitalisme mondial" (qui n’est pas sans rappeler la bonne vieille notion de "judéo-capitalisme cosmopolite" des années 1930) est pêle-mêle coupable des délocalisations, du chômage, de la faillite de la Sécurité Sociale, de l’endettement de la France, et j’en passe. Au lieu de chercher les vrais responsables, il est si commode de désigner des coupables à l’extérieur de nos frontières !