Les gesticulations de M. Trump masquent une réalité inquiétante pour les Etats-Unis… et pour l’économie dans son ensemble.
Mexique
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Guerre CommercialePolitique et vie quotidienne
Donald Trump a-t-il perdu les pédales ?
par Bill Bonner 5 juin 2019Donald Trump édicte de nouvelles sanctions contre le Mexique et la vague de crainte avance un peu plus : surveillez l’or…
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Guerre CommercialePolitique et vie quotidienne
Washington contre les tomates
par Bill Bonner 13 mai 2019Des tomates aux télévisions, le libre-échange n’a plus cours : désormais, ce sont les accords gagnant-perdant qui s’imposent… et le perdant, c’est vous.
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Croissance, pays émergentsEpargne
Pays émergents : le Mexique devient un investissement intéressant
par Cécile Chevré 24 février 2014Je m’intéresse aux pays émergents, essayant de faire une distinction entre les plus fragiles et ceux disposant encore d’une véritable capacité de croissance. Je me concentre en ce moment sur l’Amérique latine…
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EpargneInflation et récession
De la crise au Mexique à la crise en Asie
par La rédaction 9 décembre 2013En 1994, la Fed a augmenté le taux des fonds fédéraux de 3% à près de 6%, provoquant une débâcle du marché obligataire. Les bons du Trésor US à 10 ans ont grimpé de moins de 5,5% fin 1993 à plus de 8% en novembre 1994. A leur tour, les marchés actions et obligations des émergents se sont effondrés…
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Malgré un même point de départ, ‘le Chili est revenu à une tendance d’il y a une dizaine d’années et depuis, le pays connaît une croissance plus rapide même que la tendance. En comparaison, la production au Mexique n’a jamais entièrement récupéré et même deux décennies plus tard, elle est encore 30% inférieure à la tendance’. La différence ? Le Chili a laissé ses entreprises faire faillite et les marchés opérer des purges
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Une chute du PIB de 0,3% seulement, voilà l’effet qu’a eu la crise sur le Brésil l’année dernière. C’est la première fois que le gouvernement brésilien est en réelle mesure de réagir face à une crise et de ne pas la subir. Pour preuve, sa maîtrise des taux, ou le budget qu’il a consacré à ses plans de soutien à l’économie. La situation actuelle est le résultat, pour beaucoup, des réformes mises en place à la fois par le président Lula, mais aussi par son prédécesseur, Fernando Henrique Cardoso (1995-2002). Ils ont encouragé la croissance, en soutenant les entreprises. Surtout, ils ont assaini les finances du pays, lui assurant un confortable matelas de devises qui a permis au Brésil de s’adapter dans la crise
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Les républicains et les démocrates s’échauffent pour une grande bataille contre l’économie de marché. Les deux partis semblent penser qu’il serait honteux de voir les prix des actions et des obligations chuter à leur véritable niveau — c’est-à-dire celui que des acheteurs seraient prêts à payer. Le programme de 700 milliards de dollars qu’ils ont mis en place le week-end dernier permet aux autorités politiques d’acheter quasiment tous les rebuts que les investisseurs ne veulent pas