Où l’on apprend avec apaisement que le droit de propriété n’est pas fait pour les puissants, mais pour les pauvres…
libéralisme
-
-
Il n’y a pas de gentil libéralisme politique et de vilain libéralisme économique…
-
Il n’y a pas de gentil libéralisme politique et de vilain libéralisme économique…
-
Les signes de faillite de l’interventionnisme se multiplient un peu partout. Pourtant, nos maux sont attribués à tort à une mondialisation libérale…
-
Le libéralisme est une philosophie du Droit, une doctrine permettant aux hommes de vivre en société…
-
Davos 2017 a confirmé que ce rassemblement était celui d’un groupe de pouvoir interventionniste, bien loin du libéralisme du capitalisme…
-
Le Brexit a bon dos. Il va falloir à nouveau noyer les banques italiennes sous une montagne de fausse monnaie.
-
EpargnePolitique et vie quotidienneSimone Wapler
Le vrai libéralisme, c’est quoi ?
par Simone Wapler 2 juin 2016Dans le domaine économique, le degré de libéralisme d’un pays peut assez bien se mesurer en comparant la taille du secteur privé et celle du secteur public. Tout sur le secteur privé, c’est l’anarchie, avec zéro Etat et aucune police ni justice. Le tout-Etat, c’est le communisme avec zéro secteur privé…
-
▪ Eh bien ! Votre correspondante a mis les pieds dans le plat ! Ma chronique du week-end dernier a suscité remous et réactions jusqu’au sein de notre réaction.
-
La royauté de droit divin était une théorie politique qui se tenait. Mais encore fallait-il croire en Dieu. Il fallait aussi croire qu’Il distribuait les tâches. Il fallait croire qu’Il se souciait peu que Ses employés et agents fassent n’importe quoi… voire contredisent carrément Ses ordres.
-
Parmi les Américains qui se retrouvent au chômage, ils sont plus nombreux à être sans emploi, et pendant plus longtemps, qu’à aucun autre moment depuis 1948. Ils sont également plus nombreux à épuiser leurs allocations chômage avant de retrouver un nouvel emploi. Et s’ils sont assez chanceux pour trouver du travail, ce sera pour faire les heures les plus courtes depuis 1951. En d’autres termes, les baby-boomers n’ont jamais vu des temps si difficiles
-
Le patron de Lehman Brothers, Richard Fuld, accuse les spéculateurs à découvert d’avoir précipité la chute de sa banque. Ne serait-ce pas fuir ses responsabilités que de chercher un coupable afin de masquer sa faute ? Heureusement, certains ne sont pas dupes : la grogne contre "Dick" monte. Les offres des Coréens ou autres fonds asiatiques à 25 $ l’action semblent bien alléchantes aujourd’hui alors que le cours est tombé à 0,10 $. Dick a péché par orgueil
-
Cela ne fait aucun doute : la faillite de Lehman va en entraîner d’autres. Alan Greenspan, qui est le mieux placé pour évaluer les conséquences de l’éclatement de la bulle du crédit qu’il a si activement contribué à créer, accuse maintenant les banquiers — les principaux partenaires de la Fed qui n’a rien vu — d’avoir détourné et perverti le système, sous-entendu, le sien