Le marché des bons du Trésor US est devenu si énorme qu’il faut désormais le soutenir indéfiniment : la Fed suffira-t-elle à la tâche ?
krach obligataire
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InvestissementKrach boursier
Krach obligataire ou krach des marchés actions : quel sera le premier ?
par Etienne Henri 23 janvier 2018Tout est détraqué par les banquiers centraux apprentis sorciers ; les marchés actions et obligataires envoient maintenant des signaux incompatibles. TARP, quantitative easing, taux négatifs… nous naviguons depuis quelques années dans…
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Banques Centrales
Banques centrales : la dette, c’est tout ce qui importe
par Nick Hubble 12 mai 2017Le plus grand changement économique et financier est en train de se produire. Il conditionnera vos investissements durant 10 ans…
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InvestissementSimone Wapler
L’effondrement silencieux du marché obligataire se poursuit
par Simone Wapler 19 décembre 2016Pour le moment, les pertes du marché obligataires ne sont que latentes. Elles ne seront matérialisées que si les épargnants veulent en sortir. D’où l’intérêt de les en empêcher…
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Epargne
Aux Etats-Unis comme en Europe, la consommation reste l'épine plantée dans la chair de la reprise économique
par Philippe Béchade 26 novembre 2010En Espagne ou en Irlande, les parkings des centres commerciaux de taille secondaire sont de plus en plus clairsemés le week-end, tandis que les plus grands malls surnagent à coup d’opérations "super promo" et "prix cassés". A Dublin, il existe au moins un parking qui connaît une affluence inhabituelle depuis quelques mois : il s’agit de l’ère de stationnement longue durée de l’aéroport international de la capitale
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Le spectre de la crise bancaire, symptomatique de la crise des subprime, resurgit en force. Les banques grecques puis du Portugal, de l’Espagne, de l’Italie, de l’Irlande et même de la Grande-Bretagne vont se retrouver "piégées" ! Incapables de se refinancer sur le marché interbancaire. Coincées entre la hausse des taux et la défiance des consoeurs qui ne veulent plus prêter : l’effondrement des unes entraînant l’effondrement des autres… Un jeu de domino géant
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Les marchés grimpent, tout va parfaitement bien dans le meilleur des mondes ! Non vraiment, il n’y avait pas de quoi se plaindre. Les résultats d’entreprise ont été meilleurs que prévus côté américain, avec en plus des statistiques encourageantes pour l’activité économique. Alors quoi ? Fini, la Grèce ? On renfloue et on oublie toute l’histoire ? Balayés sous le tapis, les problèmes de l’Espagne, de l’Italie, du Portugal… et de tous les autres ?
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la Grèce a fait parler d’elle la semaine dernière. Ce qui a fait baisser les actions et les obligations en début de semaine. A la fin, ça les faisait remonter. Que s’est-il passé ? Eh bien, les autorités européennes ont fait en sorte qu’on croie qu’elles allaient faire les mêmes bêtises que les autorités américaines. Elles ont dit qu’elles allaient rétablir la situation. Exactement comme les Etats-Unis ont secouru Fannie Mae et AIG
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Nous savons tous que la Grèce va être sauvée des eaux. Ce n’était qu’une question de timing. Nous pensons que la BCE attendait juste que l’euro soit à un niveau approprié pour donner son feu vert à l’Allemagne, chargée du montage financier de l’opération. La BCE ne peut pas racheter directement de la dette grecque (comme la Fed qui accumule les créances douteuses de la Californie). En revanche, elle peut soutenir les banques qui vont acheter les prochaines émissions du Trésor proposées par Athènes ! Ce n’est qu’un petit tour de passe-passe qui ne trompe personne
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Il existe un risque de krach obligataire sur les emprunts d’Etat. Aussi est-il préférable de reporter son choix vers des obligations d’émetteurs privés, qui, mieux rémunérées, permettent d’amortir le choc de l’éventuel krach […] que vous subirez de façon moins violente si vous possédez déjà un contrat d’assurance-vie. La plupart des contrats sont composés d’une majorité d’emprunts d’Etat, qui, ayant été acquis depuis de nombreuses années, ont chacun une maturité différente