Les investisseurs ont maintenant compris qu’un grand bol de punch était proposé en même temps que la paie mensuelle remise à chaque début de mois à Wall Street. Dans ces conditions — très particulières pour une période de récession –, aucun fait troublant, aucun discours critique ne saurait avoir la moindre conséquence négative sur les indices américains, asiatiques ou européens
J.P.Morgan
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Epargne
Selon votre profil d'investisseur, vous avez quatre solutions
par La rédaction 17 avril 2009Simone Wapler était hier à une conférence donnée par Carmignac. Raisonnablement, les gérants interviewés étaient pessimistes quant à l’avenir des marchés, et de l’économie en général. Pour eux, les marchés occidentaux sont… agonisants. Mais la Chine, principalement, tirera sont épingle du jeu à force de volontarisme et de plan de relance
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Depuis la mi-juillet, nous assistons à une amélioration des divers indices planétaires. Ainsi en ce qui concerne notre référence hexagonale, le CAC 40, il est passé de 4 040 à 4 400 points ce qui représente un rebond de 9%. Ne boudons pas notre plaisir mais regardons avec circonspection ce changement de situation
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A présent, l’humeur de Wall Street se fait de plus en plus morose… sans aucun signe d’amélioration. Des milliers de licenciements. Un déclin continu des actions.
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J.P. Morgan a rédigé une note déconcertante pour ses clients positionnés sur les matières premières. Entre autres, il prétend que "le statut de refuge de ce secteur a, de façon ironique, augmenté son profil de risque en faisant de sa performance relative un produit dérivé des conditions du marché financier". Depuis quand les valeurs du secteur des matières premières sont-elles un refuge ? En ont-elles jamais été un ?
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Il y a une dizaine de jours, les actionnaires de Bear Stearns ont perdu beaucoup d’argent ; paniqués, ils ont accepté de vendre leurs actions 2 $ l’unité. Nous nous sommes demandé comment ces comptables, avocats et traders affûtés avaient pu se tromper à ce point sur la valeur de leurs détentions. Lorsque le marché a fermé, un vendredi, ils avaient encore des milliards. Lorsqu’il a rouvert le lundi suivant, ils n’avaient quasiment plus rien. Comment était-ce possible
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Le moins que l’on puisse dire, c’est que le week-end de Pâques aura fait du bien aux marchés. Quatre jours (trois, dans le cas des places américaines) de repos, et hop ! Tout le monde en selle pour une hausse spectaculaire. Le CAC 40 enregistrait ce matin une hausse de 3,09%, à 4 673,76 points à l’ouverture, tandis qu’à Londres, on était à 3,19% pour le FTSE. Francfort n’était pas en reste, avec une hausse de 3,03% dans le même temps sur le DAX
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La crise du subprime remonte maintenant à près d’un an et pourtant, le choc final est sans doute à venir. Malgré toutes les tentatives des banques centrales qui démontrent chaque fois leur inefficacité, les marchés financiers sont poussés vers le bas, et purgent leurs excès commis. Ce n’est qu’autour des 4 300 points — ou même des 3 900 points –, qu’ils auront expurgé leurs vices
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Les Ides de mars, c’était samedi dernier. Une fois terminées, il y avait un nouveau cadavre ensanglanté sur le sol : celui d’un des plus grands acteurs de Wall Street — Bear Stearns. Hier, nous parlions d’une rumeur selon laquelle une grande société de Wall Street était en difficulté — la véritable raison, apparemment, des 200 milliards de dollars de prêts supplémentaires de la part de la Fed. La nouvelle a éclaté au grand jour : Bear Stearns a reçu "l’Appel de Marge de l’Enfer"
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Loin de subir une érosion de ses bénéfices, la banque d’affaires JP Morgan fait état d’un résultat net de 3,4 milliards de dollars au troisième trimestre, contre 3,3 milliards un an plus tôt. Avec un score de 97 cents par action, les profits dépassent très largement le consensus de Wall Street, situé autour de 90 cents… mais en matière de provisions pour créances douteuses, qui fixe les montants ?
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Epargne
Une nouvelle définition de l’investissement éthique !
par Françoise Garteiser 15 octobre 2007Fin de semaine en demi-teinte sur les marchés — même si la plupart ont terminé dans le vert, grâce à de bons chiffres économiques publiés vendredi, la semaine a été difficile et les investisseurs semblent bien nerveux. Le CAC 40 a fini vendredi sur une baisse de 0,32% le mettant à 5 843,95 points — sur la semaine, il emmagasine au final une toute petite avancée de 0,01%. Les places de Londres et Francfort étaient à égalité, quant à elles, avec une hausse de 0,09% sur la journée pour le FTSE comme pour le DAX.