Autant on nous reproche d’habitude de pécher par excès de vantardise… autant là, nous aurions peut-être dû insister : car nous vous l’avions bel et bien dit avant !…
GNL
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EpargneOr & Matières Premières
Gaz naturel et GNL : Shell innove grâce à de plus petites entreprises
par Byron King 18 novembre 2013A moins que vous viviez sur une île déserte, vous devez être au courant de la grande révolution énergétique qui a lieu en Amérique du Nord. Grâce aux nouvelles technologies, on tire à nouveau des bénéfices impressionnants d’anciens sites de forage. Oui, vous avez déjà entendu cette histoire…
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Or & Matières Premières
Les matières premières conventionnelles… et les autres
par Dan Denning 9 juillet 2012▪ Lorsque, au cours de votre carrière, il vous arrivera de vous heurter à une crise financière, voici ce qu’il vous faudra toujours garder à l’esprit : il ne s’agit que d’une crise financière, pas d’une crise personnelle. La vie continue même lorsque l’argent disparaît.
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Or & Matières Premières
Gaz : la bataille des tuyaux est engagée
par Jean-Claude Perivier 14 juin 2012Dans ma lettre, Défis & Profits, je parle régulièrement depuis plusieurs mois de l’investissement dans le secteur gazier. Nous avons déjà plusieurs titres de ce secteur industriel en portefeuille et je proposerai à mes lecteurs de se renforcer dans les mois qui viennent.
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▪ Il est dit que le XXI siècle sera asiatique ou ne sera pas. Mais les choses sont devenues bien compliquées, vous ne trouvez pas ? Les Etats-Unis sont-ils vraiment finis ? La Chine peut-elle libéraliser sa devise sans détruire son système bancaire ?
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Or & Matières Premières
Gaz naturel : positionnez-vous avant que la machine s'emballe (2)
par Jean-Claude Perivier 3 juin 2011Le gaz est une arme géopolitique. Pour l’Europe, les grands fournisseurs sont la Russie, et le MENA. Vous vous souvenez de l’épisode qui a vu le gaz russe se tarir lors d’un conflit entre la Russie et l’Ukraine. Le conflit avec la Géorgie et l’instabilité en Asie centrale ont conduit à la construction de pipelines au nord de l’Europe sous la Baltique, et au sud où la concurrence est exacerbée entre le pipeline sponsorisé par les Russes et un autre (Nabucco) plus indépendant.
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Dans les années à venir, les experts s’attendent à ce que de 75 à 90% des nouvelles réserves de gaz qu’utiliseront les Etats-Unis soient issus de la découverte de nouveaux gisements de gaz bitumineux. Dès 2020, ce gaz non conventionnel devrait représenter la moitié du gaz utilisé en Amérique du Nord
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L’explosion de l’exploitation américaine des shale gas a commencé avec une histoire de prix, de coût, bien entendu. A mesure que les prix du gaz flambaient — ils n’ont pas toujours reculé et traditionnellement ils sont corrélés au cours du pétrole — les coûts du forage pour exploiter les shale gas ont commencé à devenir raisonnables, intéressants même. C’est exactement ce qui s’est passé avec le pétrole : une fois que les réserves "faciles à exploiter" ont été épuisées, les prix ont monté, ce qui a permis de nouveaux investissements, et donc d’aller chercher du pétrole moins accessible
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Gorgon est un projet GNL conventionnel. Dans le Queensland, en Australie, on trouve plus de gaz "non-conventionnel" — mais ces projets se portent bien également. Selon une dépêche Dow Jones, "une personne au courant de la situation" déclare que Tokyo Gas va acheter du GNL extrait de veines de charbon au Queensland, "si les prix sont assez bas"
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Le marché du GNL dépend du prix du pétrole, mais pas de façon toxique, genre arme-de-destruction-financière-massive. Ce qui signifie que les prix du GNL vont probablement suivre les prix du pétrole sur leur montée, tant que les prix du pétrole continuent de grimper. Votre risque majeur avec ces actions c’est que le prix du pétrole s’effondre de nouveau
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"Dans les économies en pleine expansion du nord est de l’Asie, la ruée vers la sécurité énergétique a généré une formidable percée dans le marché — un contrat à long terme d’exportation de GNL entre Woodside et l’imposant CPC Corporation de Taiwan, qui pourrait participer à hauteur de 45 milliards de dollars", indiquait hier Nigel Wilson dans le journal The Australian. Quelqu’un a dit sécurité énergétique ?