La vérité du système ne se voit pas dans ce qu’il voudrait vous faire croire, mais dans ses défaillances : un principe indispensable pour qui souhaite investir en connaissance de cause.
George Soros
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Croissance, pays émergentsEpargne
George Soros et le choix de la Chine
par Dan Denning 15 janvier 2014Peut-on avoir réellement une crise financière dans un pays ayant une économie dirigée ? Cette question est apparue plusieurs fois au cours des dernières années…
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Les investisseurs expérimentés peuvent eux aussi faire des erreurs. Actuellement, ils semblent vendre l’or. Oui, cher lecteur, notre métal préféré subit une volée de bois vert…
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Or & Matières Premières
Warren Buffett, le seul milliardaire qui dédaigne l’or
par Addison Wiggin 3 avril 2012▪ Warren Buffett n’aime pas l’or. Cette année, dans sa lettre aux actionnaires de Berkshire Hathaway, Warren Buffett a critiqué l’or comme étant un actif « éternellement stérile ». Il a raison sur ce point… Mais les investisseurs n’achètent pas l’or dans l’espoir de le voir produire quelque chose. Ils achètent de l’or parce qu’ils savent que personne ne peut en produire
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Quand le grand George déclare au récent Forum de Davos que l’or est "la bulle ultime", on peut légitimement commencer à avoir envie de prendre ses distances vis-à-vis du métal jaune ; sauf que Soros n’a pas tout dit… En effet, il s’est bien gardé de révéler qu’il avait plus que doublé sa position dans le SPDR Gold Trust, l’ETF qui s’est fixé pour devise d’"apporter le marché de l’or à l’investisseur"
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Pendant que nous traversons nous existences à toute vitesse — ballottés par les situations extrêmes d’amour et de rejet. C’est ce que nous offre l’adversité de la vie… des chances de trouver mieux. En réalité, presque toutes les facettes de la vie se déroulent entre des extrêmes — entre le déluge et la sécheresse ; entre la guerre et la paix ; entre la fortune et la pauvreté ; entre oui et non ; entre Non ! Non ! et Oui ! Oui ! ; entre la prospérité et la récession
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Georges Soros, milliardaire et grand spécialiste de la finance, vient de prendre une position étonnante. Alors que le baril cotait encore 137 $, il s’est mis à shorter (vendre) massivement le baril de pétrole sur les marchés à terme. Il anticipait donc une baisse. Plus étonnant maintenant : au moment même où il initiait sa position vendeuse sur le brut, il s’est mis à acheter l’or dont il anticipe donc la hausse
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"Comment est-ce qu’on appelle le fait de voir les actions de la cinquième plus grande banque d’investissement [des Etats-Unis] s’échanger 50 $ le jeudi et 3 $ le lundi suivant ?" demande Jim Cramer. "Moi, j’appelle ça un plancher". Bien entendu, tout le monde affirme avoir vu le plancher des cours, sur les places américaines, en janvier… et le plancher du secteur financier lorsque les propriétaires de Bear Stearns ont paniqué et accepté de vendre la société pour 2 $ l’action… un prix ensuite revu à la hausse