Les découvertes de pétrole et de gaz en Mer du Nord dans les années 50 ont mené à une soudaine prospérité pour les Pays-Bas, nous disait hier Emmanuel Gentilhomme… Aujourd’hui, il nous explique pourquoi cette aubaine s’est transformée en malédiction
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Pour l’économie d’un pays, bénéficier d’un surcroît de ressources financières n’est pas forcément une bonne affaire. Une étrange maladie de pays riches connue sous le nom de "syndrome hollandais" retrouve aujourd’hui une certaine actualité. Nous ne pouvions pas passer à côté
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Nul n’ignore que la Russie est le plus grand pays du monde. Elle représente 11,3% des terres émergées, soit le Canada et les Etats-Unis réunis, ou encore l’équivalent de 25 fois la France ! Pas étonnant, de ce fait, que la Russie détienne l’un des plus importants réservoirs de matières premières au monde : numéro un mondial en gaz naturel, nickel et diamants, numéro deux en pétrole et titane, numéro trois en or, uranium et charbon
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Puisque les marchés américains étaient clos ce lundi pour cause de Présidents’ Day, l’occasion était idéale pour élargir notre réflexion sur les matières premières. Nous allons donc aborder une thématique qui nous est chère, à savoir le basculement pétro-stratégique — qui englobe le gaz — du Proche-Orient (contrôlé de façon de plus en plus chaotique par les Américains depuis 2003) vers la Russie et l’Asie Centrale
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"L’exploitation sous-marine" est la mode la plus sexy du moment dans le monde de l’extraction pétrolière. Selon les chiffres présentés par l’Agence internationale de l’énergie, les méthodes "non-traditionnelles" joueront un rôle important dans le remplacement de la production de pétrole actuelle. Et beaucoup de ces méthodes non-traditionnelles vont se faire à plus de 300 mètres sous la surface de l’océan.