L’entreprise de M. Winterkorn, Volkswagen, fournit des véhicules à moteur au reste du monde — des millions de machines qui fonctionnent au moins aussi bien que les autres. Nous avons l’une de leurs petites camionnettes diesel au ranch. Elle nous sert beaucoup…
Fannie Mae
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Inflation et récession
Les inégalités ne sont pas celles qu’on croit…
par Bill Bonner 24 janvier 2013Stiglitz, selon ce qu’en dit Nassim Taleb dans son livre Antifragile, s’est intéressé à Fannie Mae alors même que la bulle du crédit de 2005-2007 atteignait des sommets. Dans son rapport, il déclarait que « sur la base de l’expérience historique, le risque d’un défaut potentiel sur la dette garantie par le gouvernement est, dans les faits, de zéro ». Les probabilités d’un défaut de Fannie étaient « si réduites qu’elles sont difficiles à détecter ».
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Inflation et récession
Le FMI et la Fed ne réussiront pas à empêcher la douleur des dettes souveraines
par Bill Bonner 25 mai 2011« Un an après le renflouage de 110 milliards d’euros versé par l’UE/FMI, la Grèce lutte contre des revenus faibles et une profonde récession, nourrissant les spéculations sur le fait qu’elle devra restructurer sa dette pour se tirer du pétrin budgétaire qui a déclenché une crise dans la Zone euro ».
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Epargne
Entre la magie du 7 et la fin tragi-cosmique de Fannie Mae
par Philippe Béchade 17 juin 2010Nous ne sommes pas surpris d’avoir vu le CAC 40 plafonner sous les 3 690 points : l’indice parisien vient d’effacer très précisément 50% du terrain perdu entre 4 090 et 3 290 points — la correction ayant atteint -19% du 16 avril au 25 mai. Le même constat peut être établi au niveau des indices américains. L’espoir de hausse supplémentaire des investisseurs repose presque tout entier sur la capacité de l’euro à déborder les 1,2350 $ d’ici ce vendredi 18 juin, journée des "Quatre sorcières"
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Le marché a découvert que les maisons ne valaient finalement pas tant que ça… parce que l’industrie du prêt s’était entendue avec Wall Street et Washington pour faire grimper les prix bien au-delà de ce que les gens pouvaient se permettre de payer. Le propriétaire moyen ne pouvait plus se permettre d’acheter la maison moyenne. Fannie Mae et Freddie Mac, par exemple, soutinrent tous les plans hypothécaires, jusqu’au plus crétin. Et ensuite — quelle surprise ! — les gens se sont retrouvés avec des mensualités hypothécaires qu’ils ne pouvaient rembourser
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Une reprise sans volume : pas bon, ça. Mais les plus perspicaces d’entre vous me feront remarquer que les volumes se sont nettement repris au cours du mois de septembre sur le S&P 500. Mais la remontée des échanges repose sur une poignée de titres, comme le relève William Hester, analyste auprès des fonds de placement Hussman. Et des titres bien connus de nos services :Fannie Mae, Freddie Mac, Citigroup, AIG et Bank of America, pour ne citer que les plus illustres –ainsi que les plus pourris, mais je ne souhaite pas gâcher l’ambiance
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Aujourd’hui, tout est simple quand on est une grosse institution : quand on a un problème de trésorerie, on demande une rallonge. Ainsi, Fannie Mae va demander jusqu’à 16 milliards de dollars au Trésor américain — rassurez-vous, il s’agit juste de rééquilibrer son bilan. Freddie Mac, un peu plus gourmand, a redemandé 30 à 35 milliards de dollars au Trésor après avoir déjà obtenu une première tranche de 13,8 milliards
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Puisque j’en ai la place, permettez-moi de rassembler les arguments que je développe dans les pages de ma lettre, Matières à Profits, depuis des mois, pour vous donner mon opinion sur les tribulations des marchés. La "nationalisation de fait" de Freddie Mac et Fannie Mae visait à restaurer la confiance dans le système financier américain — et, par voie de conséquence, dans l’économie nationale
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Epargne
Nous assistons à un effondrement généralisé des actifs (1)
par Isabelle Mouilleseaux 18 septembre 2008Serions-nous à présent en train de passer d’un excès d’inflation à son contraire ? Depuis quelques semaines, tout baisse ! Bourses occidentales, bourses émergentes, prix de l’immobilier (même en France !), matières premières… on ne sait plus à quoi se raccrocher
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Maintenant que Fannie Mae et Freddie Mac sont devenus pupilles de l’Etat, les investisseurs en mal d’anticipation vont vouloir savoir combien d’orphelins de plus le département du Trésor US va pouvoir adopter. Mais ces investisseurs vont surtout vouloir savoir comment le Trésor va réussir à nourrir et habiller Fannie et Freddie, avant même qu’il ne puisse envisager d’adopter d’autres garnements financiers
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Le brouillard de la guerre — c’est-à-dire de la guerre entre l’inflation et la déflation — se dissipe. Nous commençons à voir plus clairement de quel côté penche la bataille. Le Monde de lundi dernier parlait de la nationalisation de Fannie Mae et Freddie Mac, en la décrivant comme le plus grand sauvetage de l’histoire. Mais qu’est-ce que cela signifie lorsque le gouvernement le plus libéral au monde nationalise son plus grand secteur financier
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La Chronique Agora avait raison depuis le début — c’est du moins l’angle que nous prenons aujourd’hui. Nous avons dit que le marché haussier avait atteint son sommet en 2000 — et qu’il serait suivi par un marché baissier géant de long terme. Mais ces huit dernières années, ce marché baissier a été retardé… et déguisé. Il a été retardé par la plus grosse inondation de liquidités fiscales et monétaires depuis le Déluge
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La trajectoire du CAC 40 depuis dix jours s’apparente à une bille d’acier lancée sur le plateau d’un vieux flipper mécanique des années 60, avec des tours à ressort qui font des étincelles, accompagnées de jolis "clings" cristallins, et des embouts caoutchoutés commandés par des tringles désolidarisées de leur axe à force de subir des "fourchettes" à la volée
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Epargne
Des milliers de milliards de dollars en plus pour les contribuables américains
par Bill Bonner 10 septembre 2008"Les contribuables [américains] endossent des milliers de milliards de dollars de risque", titrait USA Today cette semaine. "On peut appeler ça un renflouage, on peut appeler ça un filet de sécurité ou on peut appeler ça un sauvetage", déclarait le journal, citant un directeur de recherche chez Argus Research, "mais en fin-de-compte, c’est au contribuable américain de payer la facture"
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Epargne
Le budget américain est "Fannie" avec la nationalisation la plus chère de l'Histoire !
par Philippe Béchade 9 septembre 2008La nationalisation de Fannie Mae et Freddie Mac s’impose ni plus ni moins comme la plus massive de l’histoire du capitalisme : 5 000 milliards de dollars d’actifs sont concernés, et le Trésor américain s’engage sur le principe d’une recapitalisation à hauteur de 200 milliards de dollars "en cas de pépin". Cela équivaut à plus de 12 fois le coût final du sauvetage du Crédit Lyonnais et à 25 fois le "Kerviel" — une unité baroque qui représente environ huit milliards de dollars — pour situer ces montants qui défient notre imagination sur l’échelle du désastre financier
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USA Today avait le blues vendredi. Un journaliste vient de se rendre compte que la baisse des prix des matières premières n’était pas nécessairement une bonne nouvelle. "Les investisseurs craignent que l’effondrement des prix du pétrole, du charbon et du platine signale une tendance bien plus sinistre : un ralentissement économique sévère à l’étranger qui pourrait freiner l’économie [aux Etats-Unis] et entraver les profits des entreprises américaines"
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Les promesses présidentielles n’engagent que ceux qui comptent dessus — la formule est attribuée à un précédent premier magistrat de la Cinquième république. Cette maxime s’avère plus que jamais d’actualité avec la proposition du gouvernement de financer le RSA (revenu de solidarité active) par l’instauration d’une nouvelle taxe sur les revenus du capital
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La saison des tempêtes a commencé ; pour le moment, elle a relativement épargné le Golfe du Mexique et les Etats-Unis… mais c’est au-dessus de Wall Street que les nuages arrivent une fois de plus. La rumeur de recapitalisation de Fannie Mae et Freddie Mac est persistante et n’augure rien de bon. En effet, elle aurait pour conséquence directe une dilution très importante pour les actionnaires, la valeur des actions pouvant tomber à des niveaux extrêmement bas, voire quasi nuls d’après certains analystes.