Si comme moi les variations court terme du cours du brut vous exaspèrent, vous devriez vous intéresser aux secteurs d’activités qui pourraient bénéficier de la tendance de fond de la hausse du cours du brut. Car il va bien falloir lui trouver des successeurs. Là où les choses deviennent intéressantes, c’est qu’il existe un outsider… Très discret. Personne n’en parle, mais il croît à son rythme, régulièrement, sûrement, inexorablement
énergie
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En juillet dernier, le pétrole se vendait 147 $ le baril. La semaine dernière, un baril de pétrole se vendait 43 $ et des poussières. Au cours des cinq derniers mois, le pétrole a donc baissé de 100 $. C’est une chute de 71%. Et j’ai vu les prévisions de divers secteurs liés à la vente de pétrole qui annonçaient le pétrole à 30 ou 25 $ le baril dans les mois à venir. Impressionnant. Que s’est-il passé
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Epargne
Ne ratez pas le potentiel inestimable de cette technologie énergétique ! (1)
par Isabelle Mouilleseaux 3 février 2009Beaucoup d’effervescence toujours autour des cours du brut… Pas étonnant, me direz-vous. Que ferions-nous sans lui ? Il est au coeur de nos économies, indispensable à notre vie de tous les jours et en plus il pèse lourd, voire très lourd, dans notre budget. Et par-dessus le marché, il nous en fait voir de toutes les couleurs. Un coup à 150 $, un coup à 35 $… Où en est-on aujourd’hui ?
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Le pétrole brut approchant de son niveau le plus bas en cinq ans, à moins de 35 $ le baril, les investisseurs entreprenants ont de bonnes raisons de supposer qu’un nouveau marché haussier est sur le point de commencer. Evidemment, il se peut que le prix du pétrole continue de chuter dans les jours et les semaines à venir. Mais ne vous laissez pas berner ; à long terme, le prix va monter
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Deux jours avant Noël, un conduit principal d’alimentation en eau d’1,5 mètre de diamètre a explosé sur River Road, près de l’endroit où j’habite, le matin à l’heure de pointe […] La force de l’eau a poussé les voitures comme de simples débris. Cet incident tombe à pic puisque j’écris précisément sur les dangers de ces choses depuis près de trois ans. Cela me donne donc une excuse parfaite pour revenir sur l’un de mes thèmes d’investissement favoris : l’eau
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On apprenait mardi matin que l’intégralité des livraisons de gaz russe transitant par l’Ukraine avaient été suspendues cette nuit-là. S’il fait -20°C à Dresde, combien fait-il à Sofia ? Certainement bien plus froid encore. Or ces pays n’ont pour ainsi dire pas de stock de gaz de réserve. Que se passera-t-il par ce froid glacial si le gaz est coupé d’ici quelques jours ? Essayez d’imaginer
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L’avancement des projets nucléaires dépend des volontés des gouvernements et, dans une certaine mesure, de l’état d’esprit des populations. Dans certains pays, comme l’Australie, la résistance reste farouche. Economiquement, le nucléaire serait également un pari risqué pour l’investisseur
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Il y a quatre mois, nous nous trouvions dans une situation de destruction de la demande avec des prix au sommet et un ralentissement de l’économie compromettant la croissance de la consommation globale de pétrole. Maintenant, l’AIE s’inquiète d’une destruction potentielle de l’offre, car les producteurs mettent en sommeil les projets coûteux. Or les décisions d’investissement prises actuellement sont d’une importance cruciale
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Epargne
Le bitume canadien sauvé par son intérêt géostratégique ? (2)
par emmanuelgentilhomme 1 décembre 2008La situation financière des pétrolières bitumineuses ne s’arrange pas avec un baril se traitant sous leurs coûts de production et des crédits bancaires évaporés. Tenez, récemment c’était au tour de Royal Dutch Shell de jeter l’éponge et de différer ses investissements canado-bitumineux. Misère… Alors, à quand un plan Paulson pour le bitume canadien ? Ne riez pas : ce pétrole est bel et bien une affaire d’Etat
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Epargne
Le bitume canadien sauvé par son intérêt géostratégique ? (1)
par emmanuelgentilhomme 25 novembre 2008Pas très propre et cher à produire : c’était, en substance, notre conclusion sur les sables bitumineux du Canada. D’un strict point de vue financier, l’état des marchés de l’or noir et celui du crédit n’incitent guère à l’optimisme pour le "pétrole sale". Pourtant, tout n’est peut-être pas perdu. Le pétrole canadien complexe pourrait bien être sauvé
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Epargne
L'AIE pessimiste sur le pétrole en dépit des manoeuvres de l'OPEP
par La rédaction 19 novembre 2008Selon l’AIE, même avec de très hauts niveaux d’investissement dans le secteur du pétrole, l’estimation la plus encourageante est celle qui dit que l’industrie pétrolière mondiale peut réduire le taux de diminution à un niveau proche des 6%. L’industrie mondiale de l’énergie va donc devoir courir plus vite pour éviter de tomber trop loin derrière les courbes de demandes
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Epargne
Marchés boursiers : les planchers de 2003, ce n'est pas pour tout de suite…
par Dan Denning 15 octobre 2008Les gouvernements ont agi ; ils ont mis en place des plans permettant de racheter des titres et d’injecter des capitaux directement dans les banques mises à mal et dans les valeurs financières. C’est une perfusion de capitaux destinée à sauver les banques. La prise de contrôle des gouvernements donne aux marchés l’impression que le plus dur est passé dans cette crise financière
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Si vous avez vendu toutes vos actions l’an dernier, inutile de lire plus loin. Accordez-vous une journée de repos. Mais si vous avez encore des sommes en jeu, examinons la situation d’un peu plus près. De toute évidence, le monde veut récupérer son argent. En fait, pas mal de gens veulent sortir du marché en ce moment. En faites-vous partie ? Avant d’appuyer sur le bouton "siège éjectable", réfléchissons un peu
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Pourquoi les terres rares ? Je vais être franche avec vous, c’est un peu par hasard… Je discutais récemment avec un ami des émissions de CO2, de l’effet de serre qui en découle et des changements climatiques que tout ceci pourrait bien engendrer pour notre planète. Ceux d’entre vous qui me lisent régulièrement le savent : toutes ces problématiques me tiennent à coeur
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Epargne
L'énergie solaire, élément indispensable à la survie de l'humanité ?
par La rédaction 28 juillet 2008Le pétrole est tombé à 125 $ le baril la semaine dernière, alors qu’on apprenait que l’ouragan tropical Dolly ne devrait pas avoir autant d’impact que prévu sur le Golfe du Mexique. Ce qui a surtout fait baisser le prix du pétrole, ce sont les commentaires de Hank Paulson sur le fait que le Congrès avait renfloué Fannie Mae et Freddie Mac
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Je vous l’ai dit et je le répète : en matière d’énergie, il y a de la place pour tout le monde. Face à la pénurie annoncée, la variété du mix devient une question de survie. La seule question à se poser pour évaluer les perspectives d’un secteur, c’est donc la compétitivité à court terme de sa technologie
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Si vous pensez que les applications de la géothermie se résument à des installations spectaculaires sur une poignée de sites très spécifiques, il est temps de réviser votre opinion. Je vous promets que nous allons parler de technologies beaucoup plus générales que cela… et potentiellement très lucratives
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A présent, les Américains reçoivent leurs desserts extra-larges. Non parce qu’ils n’ont pas été gentils… mais parce qu’ils n’ont pas été sages. C’est comme ça que fonctionne vraiment la libre entreprise ; elle récompense la vertu — le travail, l’épargne, l’investissement, l’apprentissage, la prise de risque, etc. Et ceux qui dépensent trop et n’épargnent pas assez — elle leur botte le train