Le Paraná est l’un des 27 Etats du Brésil, classé sixième avec ses 9,5 millions d’habitants répartis sur près de 200 000 kilomètres carrés. Il tire son nom du fleuve Paraná qui le traverse avant de pénétrer en Argentine. Il est limitrophe de l’Etat de São Paulo (au nord et au nord-est). Construits sur le fleuve Paraná, à proximité des chutes d’Iguaçu, le barrage et la centrale hydroélectrique d’Itaipu, qui est la plus grande centrale hydroélectrique du Brésil, sont partagés entre le Brésil et le Paraguay. Et là, je suis impressionné… Le barrage hydroélectrique d’Itaipu est le deuxième plus grand au monde, derrière celui des Trois Gorges, en Chine
énergie
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Qu’en est-il de l’offre d’uranium — maintenant et à venir, nous demandions-nous hier. Tenant compte du fait que le métal est abondant dans la croûte terrestre et relativement réparti dans le monde, beaucoup de compagnies junior se lancent dans l’exploration. Inutile de dire que même pour celles qui sont listées sur un marché boursier, ce sont des investissements risqués : beaucoup capitulent, soit sur des échecs, soit qu’elles n’ont pas les moyens financiers suffisants et qu’elles sont vite rachetées
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Epargne
La Chine sécurise ses approvisionnements en uranium sur au moins 10 ans : investissez comme elle (1)
par Jean-Claude Perivier 1 septembre 2010Le mois dernier, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) rapportait que la Chine a consommé l’an dernier 2,252 milliards de tonnes équivalent pétrole en énergie issue de différentes sources (charbon, pétrole, gaz naturel, électricité nucléaire et hydraulique), soit 4% de plus que la consommation des Etats-Unis, alors qu’il y a 10 ans la consommation de la Chine n’était que de la moitié de celle des Etats-Unis !
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Je reçois beaucoup de courrier concernant mon fanatisme pour l’or, l’argent et le pétrole, qui sont selon moi les meilleurs investissements à faire quand votre gouvernement fait des dépenses déficitaires et autorise la création de quantités hallucinantes de devises, dans notre cas par la Réserve fédérale, mais surtout pour le pétrole, que je vous conseille d’acheter, ce qui signifie bien évidemment acheter des actions d’entreprises pétrolières
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Epargne
Secteur solaire : trois raisons de s'intéresser de très près à ce secteur aujourd'hui (2)
par Isabelle Mouilleseaux 28 juillet 2010Aujourd’hui, tous ceux qui ont investi dans le solaire en 2007/2008 sont partis. Ecoeurés. Le marché effraie, les investisseurs hésitent à revenir. Ils ne voient que le problème de l’Espagne et de l’Allemagne et de l’impact qui en découle sur la demande mondiale de photovoltaïque. D’un autre côté, les cartes sont totalement redistribuées
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Au cours de mon intervention durant la conférence financière Agora à Vancouver, j’ai parlé du manque d’imagination qui a provoqué l’explosion et le naufrage du Deepwater Horizon (DWH) et l’énorme fuite pétrolière dans le golfe du Mexique. J’ai mentionné le fait qu’en mai, lorsque j’étais à Houston pour une conférence sur la technologie offshore, j’ai discuté avec des personnes appartenant au secteur de l’assurance maritime. L’un d’eux m’a dit qu’avant que le DWH n’explose et ne coule, le secteur des assurances évaluait à zéro le risque que ce genre d’événements ne se produise. Zéro ? Comme si aucune de ces énormes plates-formes de forage en haute mer ne risquait d’exploser ? "Nous pensions que ça n’arriverait jamais", a-t-il dit. "Jamais"
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Epargne
Secteur solaire : trois raisons de s'intéresser de très près à ce secteur aujourd'hui (1)
par Isabelle Mouilleseaux 27 juillet 2010Un marché survendu, où règne la peur, offre bien souvent des opportunités inouïes. Encore faut-il s’y intéresser. Et prendre un peu de recul pour analyser la situation fondamentale, hors excès émotionnels des marchés. "Find out ‘the Big Picture’", comme disent les Américains. A savoir, qu’en est-il de la réalité et des perspectives, très concrètement. C’est ce que nous allons voir avec le solaire. Ou plus précisément avec le photovoltaïque. Petit historique du secteur
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Epargne
Tout le monde a horreur des Bleus… et surtout du bleu pétrole !
par Philippe Béchade 23 juin 2010Les médias n’en font plus leur Une, mais des dizaines de milliers de barils de pétrole continuent de s’échapper chaque jour du fond du golfe du Mexique. Ils vont venir pendant des mois, et même probablement des années, souiller les côtes américaines. Le calvaire de l’équipe de France, de ses supporters et de ses sponsors s’est achevé par une ultime humiliation. Le calvaire des riverains de la Louisiane et de la Floride, en revanche, est loin d’être terminé
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Dans les années à venir, les experts s’attendent à ce que de 75 à 90% des nouvelles réserves de gaz qu’utiliseront les Etats-Unis soient issus de la découverte de nouveaux gisements de gaz bitumineux. Dès 2020, ce gaz non conventionnel devrait représenter la moitié du gaz utilisé en Amérique du Nord
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L’explosion de l’exploitation américaine des shale gas a commencé avec une histoire de prix, de coût, bien entendu. A mesure que les prix du gaz flambaient — ils n’ont pas toujours reculé et traditionnellement ils sont corrélés au cours du pétrole — les coûts du forage pour exploiter les shale gas ont commencé à devenir raisonnables, intéressants même. C’est exactement ce qui s’est passé avec le pétrole : une fois que les réserves "faciles à exploiter" ont été épuisées, les prix ont monté, ce qui a permis de nouveaux investissements, et donc d’aller chercher du pétrole moins accessible
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Beaucoup d’encre a coulé au sujet du Peak Oil au cours des années précédentes. Même si le problème a été récemment mis de côté en faveur de la crise financière mondiale, la situation n’est pas pour autant moins inquiétante qu’elle ne l’était quand le brut a atteint les 147 $ le baril. Malgré la baisse temporaire de la demande mondiale en énergie, l’avenir est peut-être encore moins encourageant aujourd’hui qu’il ne l’était auparavant
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Epargne
Uranium, géothermie, deux secteurs d'investissement pour le long terme
par Chris Mayer 15 février 2010Le mois dernier, je suis parti en voyage à l’autre bout du monde, en Australie et en Nouvelle-Zélande, pour faire des recherches sur un de mes thèmes d’investissement préférés : la pénurie grandissante de ressources telles que l’eau, les terres arables et l’énergie. L’un des moments les plus intéressants de mon voyage a été d’emmener un groupe d’adhérents rencontrer l’un des meilleurs investisseurs matières premières au monde — Rick Rule — dans sa ferme, près d’Auckland en Nouvelle Zélande. Après avoir déjeuné ensemble, nous nous sommes penchés sur la question du marché
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Gorgon est un projet GNL conventionnel. Dans le Queensland, en Australie, on trouve plus de gaz "non-conventionnel" — mais ces projets se portent bien également. Selon une dépêche Dow Jones, "une personne au courant de la situation" déclare que Tokyo Gas va acheter du GNL extrait de veines de charbon au Queensland, "si les prix sont assez bas"
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Pétrole : triplerons-nous encore notre mise grâce à la stratégie Xerox de l'Arabie Saoudite ?
par La rédaction 21 décembre 2009Depuis de nombreuses années, l’Arabie Saoudite fait pression pour que, s’il y a abaissement à terme de la consommation de brut en faveur d’énergies alternatives, le Royaume soit compensé financièrement. Les premières discussions sur ce sujet ont d’ailleurs été formalisées dans le traité de Rio en 1992
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C’est peut-être réconfortant de croire que la production de pétrole mondiale peut augmenter. De fait, de nombreux dirigeants aux Etats-Unis et en Europe rêvent tous les soirs de la façon dont le volume de pétrole actuel, d’environ 85 millions de barils par jour, pourrait atteindre les 95 millions de barils par jour. Oui, bien sûr. Sauf que l’industrie pétrolière mondiale n’est pas ce modèle d’efficacité rêvée
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Le coût marginal moyen pour produire 84 millions de barils de pétrole par jour — la demande actuelle — est de 70 $ par baril. En d’autres termes, si le prix du pétrole passe au-dessous de ce niveau et y reste un certain temps, la production marginale devient coûteuse… ce qui signifie que la production va certainement chuter
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Je discutais récemment avec un ami des émissions de CO2, de l’effet de serre qui en découle et des changements climatiques que tout ceci pourrait bien engendrer pour notre planète. Ceux d’entre vous qui me lisent régulièrement le savent : toutes ces problématiques me tiennent à coeur. Travaillant dans l’industrie automobile, mon ami n’en finissait pas de me parler de la voiture hybride, dont le marché croît actuellement à toute vitesse
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Le gaz naturel broie du noir. Et c’est une bonne raison pour en posséder un peu. Les cycles s’auto-corrigent, et en ce qui concerne le gaz naturel, le processus d’auto-correction est déjà en marche. Les prix bas du gaz naturel ramènent une demande fraîche de la part du secteur des utilities. Le gaz est en effet une alternative au charbon