La fin de l’Etat-actionnaire : un souffle nouveau pour l’économie
Le projet de budget 2025 réveille le débat sur le rôle de l’Etat comme actionnaire dans l’économie.
Le projet de budget 2025 réveille le débat sur le rôle de l’Etat comme actionnaire dans l’économie.
Les signes supplémentaires de déclin de l’industrie énergétique européenne se multiplient.
La multiplication des mesures punitives à l’encontre des banques et des énergéticiens, si contre-productives qu’elles soient en termes économiques, ne doit pas être ignorée.
EDF va coûter des dizaines de milliards aux contribuables, qui n’ont pas l’air… au courant !
EDF a récemment annoncé vouloir racheter Futuren. Nous soupesons les conséquences industrielles et financières de cette acquisition…
L’action EDF a pris 10% en deux jours. Selon une rumeur relayée par Reuters, Emmanuel Macron se propose de retarder l’arrêt du nucléaire. EDF produit et vend de l’électricité.…
Je me suis déjà fait l’écho (ici et là) des dégâts commis par l’Etat-actionnaire lorsqu’il est présent au capital d’entreprises – qu’il soit majoritaire ou non. Le conflit d’intérêt permanent…
L’Etat a pour mission d’organiser de la société. Un actionnaire a pour mission de faire fructifier son capital. Ce sont deux objectifs différents et antagonistes…
L’Etat actionnaire est mauvais gestionnaire et c’est parfaitement normal puisque le rôle de l’Etat n’est pas de gagner de l’argent…
Alors que les bourses voisines avaient pris un départ plutôt prudent mardi matin, le CAC 40 se détachait rapidement du lot, dopé par une envolée de 6% d’EDF. Le titre a flambé suite à une information du journal Les Echos selon laquelle Paris et la Commission de Bruxelles seraient sur le point de trouver un accord réglant leur différend concernant les règles de concurrence sur le marché français. Mais ce n’est pas là le point décisif
L’avancement des projets nucléaires dépend des volontés des gouvernements et, dans une certaine mesure, de l’état d’esprit des populations. Dans certains pays, comme l’Australie, la résistance reste farouche. Economiquement, le nucléaire serait également un pari risqué pour l’investisseur
Au début, personne ne croyait vraiment à cette technologie qui disait vouloir transformer le soleil en électricité à partir de panneaux photovoltaïques. Notamment à cause des coûts de production prohibitifs. Mais on a fini par leur trouver des avantages : pas de coûts de transport (puisque les panneaux sont sur nos toits !), longue durée de vie, possibilité de stocker les kilowatt/heure, pas d’émission de CO2. Et puis surtout, on peut aussi revendre l’électricité produite au réseau national. A un tarif plus qu’intéressant
C’est un véritable cataclysme boursier qui s’est abattu sur Wall Street mercredi soir, avec des indices américains qui chutent de plus de 7% en moyenne. La débâcle s’est accélérée avec l’enfoncement des 9 000 points sur le Dow Jones, dans le sillage de General Motors
Le mois de juin reste un bien mauvais cru boursier pour le CAC 40 qui recule de 6,6% et efface les gains cumulés des mois d’avril et mai (+6,15 et +0,35%). Il a même retracé son plancher de clôture du 23 janvier dernier (4 636 points) avant de s’enfoncer jusque vers 4 615 points — soit -7,5% en 10 séances, une redoutable moyenne ! Mais ce qui caractérise la semaine écoulée, c’est la sous-performance systématique du CAC 40 par rapport aux autres indices européens
Avez-vous vraiment le sentiment que l’euro vous protège de l’inflation et qu’il soutient la croissance ? Cette dernière serait selon de nombreux experts le fruit d’une pure abstraction statistique… et préfigure, de l’avis général, des lendemains qui déchantent