▪ Les marchés grimpent parce que… parce que… Et l’or baisse parce que… parce que… Eh bien, nous n’en savons rien. Et nous nous méfions de quiconque affirme le savoir.
économie
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Epargne
Etats-Unis, Europe… ou Chine : quelle bombe éclatera en premier en 2012 ?
par Bill Bonner 2 janvier 2012L’or baisse. Il semble de plus en plus certain que l’or est en route pour sa grande correction… Il baisse depuis plus de six jours. Nous attendons cette correction. Nous la souhaitons. Nous comptons dessus.
Est-elle arrivée ?
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Indices, marches actions, strategiesInflation et récession
2001-2011 : une décennie perdue pour les investisseurs ? (2)
par Jean-Claude Perivier 1 décembre 2011Si l’Europe traverse la plus grande crise financière de son histoire, les Etats-Unis ne sont pas en reste. Si l’on considère la dette totale, il n’y a pas grande différence entre l’Europe et les Etats-Unis. Rendez-vous compte que les ratios dette totale/PIB s’échelonnent entre 250% et 300% !
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Indices, marches actions, strategies
Trois conseils d'économistes pour vos investissements
par Chris Mayer 17 octobre 2011Le pire trimestre pour les actions depuis le premier trimestre 2009 m’a renvoyé aux archives poussiéreuses de la finance. Parmi les vieux volumes, j’ai recherché les leçons que je pourrais tirer des heures sombres des années passées
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Inflation et récession
Bernanke appelle le gouvernement à de nouvelles mesures de soutien
par Bill Bonner 6 octobre 2011▪ Quel suspense ! Nous voulions voir si le Dow passerait sous le seuil des 10 000. Une telle rupture frapperait probablement les marchés comme une attaque de drone durant une fête d’anniversaire…
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Indices, marches actions, strategies
La démographie indique deux décennies perdues sur les marchés boursiers
par marcmayor 6 octobre 2011▪ Forte reprise sur les marchés actions… dès 2025 !
La hausse des Bourses depuis 40 ans a été portée par la génération du baby-boom. Manque de chance : ces gens nés entre 1946 et 1964, qui sont un genre d’Atlas des marchés, arrivent à l’âge de la retraite et ne porteront plus les Bourses sur leurs épaules. -
▪ Le sang coule dans les rues à nouveau ; les marchés boursiers vont très mal. Tout ça devrait permettre aux gens de se rendre compte qu’il n’y a pas eu de reprise… même faible. Et il n’y en aura pas. Pas pour cette économie.
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Aujourd’hui, nous vous avons réservé un cadeau : Comment Fonctionne le Monde ! Ou du moins une partie du monde. Ou encore… Une Révélation Exclusive sur les Secrets Ultimes ! Enfin, toutes les explications sur le véritable fonctionnement d’une économie. C’est une édition importante de la Chronique Agora
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L’inflation et le chômage ont augmenté plus fortement que prévu aux Etats-Unis, a-t-on appris hier. Les prix à la consommation ont enregistré en janvier une hausse record depuis un an… tandis que 410 000 personnes sont venues rejoindre les rangs des sans-emplois. Eh bien alors, en voilà des bonnes nouvelles ! Plus de chômage, la vie plus chère… vite, faisons grimper les marchés
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La vie coule. Le progrès matériel s’accumule. L’histoire de la vie humaine sur terre s’allonge, et devient plus intéressante. Nous n’en voyons pas la fin. Mais chaque partie qui la compose finit par s’achever un jour. Chaque vie, chaque économie, chaque entreprise, chaque société et chaque civilisation continue de s’affaiblir, de rouiller et de s’auto-exterminer
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Epargne
Comment transformer de mauvaises nouvelles en signes encourageants
par Eric J. Fry 12 janvier 2011Alors que nous entamons une nouvelle année chargée d’espoirs, les investisseurs doivent faire face à une large série de "connues" et "d’inconnues". La plupart des connues sont, au mieux, sans intérêt. Et alors ? Les inconnues peuvent être tout ce que nous voulons qu’elles soient
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Après la récession globale et la crise financière, l’économie mondiale a quasiment doublé en une décennie. En 2000, le PIB mondial s’élevait à 32 000 milliards de dollars. A en croire la banque britannique Standard Chartered, "l’année prochaine, selon des hypothèses de croissance conventionnelles, il pourrait atteindre 64,7 milliers de milliards de dollars"
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Cette correction est une bonne chose. Les consommateurs ont trop de dettes. Ils s’en sortiront mieux lorsqu’ils se seront débarrassés de la moitié d’entre elles. Mais les autorités veulent lutter contre cette correction de la pire manière possible. Quelle est cette pire manière possible ? Ajouter plus de dette ! Alors que le secteur privé se désendette, le secteur public, lui, s’endette. Cela finira par avoir le résultat que tout le monde attend… les obligations s’effondreront, et le dollar chutera… mais tout ça ne se produira probablement qu’une fois que les gens auront cessé de l’attendre
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Il ne s’est pas passé grand’chose ces derniers jours. Certains chiffres étaient encourageants. D’autres pas. C’est un peu comme si un météorologiste prévoyait du blizzard, tandis qu’un autre annonçait soleil et températures élevées. Les investisseurs ne savent plus comme s’habiller
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Chose intéressante, pendant que nous, Américains, avons amassé les dettes — et paralysé nombre de nos industries productives — beaucoup d’autres nations du monde ont réduit leur dette et augmenté leurs capacités compétitives. Le Brésil en est un exemple fascinant
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"Ce que nous commençons à observer, ce sont des lueurs d’espoir pour l’économie", a déclaré Barack Obama dans son discours mardi dernier. Obama est donc optimiste. Du moins, il en a l’air. Enfin, c’est ce que tout le monde dit, ce que tout le monde veut croire pour pouvoir être optimiste. Jeu de dupe. Ce qui est sûr, c’est qu’il fait au moins semblant d’y croire
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Il ne reste qu’environ 100 000 milliards de dollars de richesse dans le monde. C’est du moins le chiffre que nous avons pu lire récemment. Nous avons également vu que la perte totale de richesse, suite à la crise financière mondiale, pourrait atteindre les 50 000 milliards de dollars. Telle était l’estimation de Rupert Murdoch. Et il n’est probablement pas loin du compte
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Il est presque de bon ton, en France, de fustiger la mondialisation, censée être responsable de tous les malheurs ou quasi. Le "capitalisme mondial" (qui n’est pas sans rappeler la bonne vieille notion de "judéo-capitalisme cosmopolite" des années 1930) est pêle-mêle coupable des délocalisations, du chômage, de la faillite de la Sécurité Sociale, de l’endettement de la France, et j’en passe. Au lieu de chercher les vrais responsables, il est si commode de désigner des coupables à l’extérieur de nos frontières !