Il n’y a pas de place pour deux crocodiles dans le même marigot
Deux superpuissances sont en train de s’opposer – l’une sur la pente descendante, l’autre ascendante. Des structures profondes sont remises en cause.
Deux superpuissances sont en train de s’opposer – l’une sur la pente descendante, l’autre ascendante. Des structures profondes sont remises en cause.
Les dépenses engagées pour maintenir le système en place vont devoir être remboursées – et tous les accords gagnant-perdant au monde n’y changeront rien.
Les êtres humains sont généralement idiots… et la conjoncture actuelle, où l’on favorise l’argent factice au détriment de l’économie réelle…
L’argent factice et les taux bas font disparaître les entreprises traditionnellement rentables au profit d’entreprises financières…
Les marchés actions sont à nouveau à des sommets mais ce n’est pas en raison des bénéfices, ni même des rachats d’actions par les entreprises elles-mêmes.
La plupart des métiers ne nécessitent aucunes études et avec internet, toute la connaissance disponible est accessible. Le retour sur investissement d’un diplôme est donc douteux.
La facture des multiples relances, de la dette publique sans limite et des manipulations de taux commence à se préciser.
La Théorie monétaire moderne et la Théorie de la Relance ne sont que des fraudes propagées par des économistes vaniteux ; la dette devra être remboursée.
La relance échoue à engendrer de la vraie croissance mais plus elle échoue, plus on en veut, plus les riches s’enrichissent.
Le niveau de prêts non-performants détenus par les banques est toujours supérieur à celui qui prévalait avant crise – et alors que la croissance ralentit, ils sont mal provisionnés.
Les évolutions des investissements et des salaires ne signalent aucune expansion économique. Les dépenses publiques augmentent tandis que les recettes fiscales baissent.
La normalisation de la politique monétaire de la Fed est achevée. Donald Trump souhaite déjà une baisse de taux pour lancer une « fusée économique ».
Le panorama économique devient spectaculaire avec une dette publique américaine qui croit deux fois plus vite que l’économie. Qui va payer ?
Alors que les gens se précipitent sur les obligations souveraines nous sommes persuadés qu’à cinq ans, elles se révèleront être un mauvais choix.
Chaque génération a ses projets et ses guerres stupides. Mais les baby-boomers sont la première à vouloir que ceux qui ne sont pas encore nés les paient.
Quand une génération pense être plus astucieuse que ses ancêtres et ignore l’expérience accumulée, le malheur n’est pas loin.
Après 13 000 Mds$ de dépenses déficitaires, la reprise américaine est la plus faible de l’histoire. Mais plus de relance à crédit reste à l’ordre du jour.
La nomination de Stephen Moore au conseil des gouverneurs de la Fed annonce que les taux bas ne suffisent plus. Une nouvelle « relance » est en vue.