Dépenses publiques : à quand de vraies coupes budgétaires ?
La presse et les économistes soutiennent les dépenses et les déficits.
La presse et les économistes soutiennent les dépenses et les déficits.
L’équipe Biden a décidé de s’attaquer à l’inflation… d’une drôle de manière.
Le budget du gouvernement américain pour 2023 contient des postes de dépenses plus ou moins farfelus, mais qui ont en commun de détourner des ressources vers des utilisations non productives…
Dans un pays où la dette est limitée par la Constitution, le gouvernement veut augmenter la dépense publique en faveur de la transition écologique… en émettant plus de dettes. C’est la garantie que les résultats escomptés ne seront pas au rendez-vous.
Avec la nouvelle année, des remerciements à nos lecteurs, fidèles comme nouveaux venus, s’imposent. Ainsi qu’un point d’étape sur nos projets.
A 61,8% du PIB en 2020, année exceptionnelle, elles étaient bien plus importantes que dans les autres pays de l’OCDE. Par ailleurs, si elles sont défendues par l’idée qu’elles réduisent les inégalités, qu’en est-il vraiment ?
Nulle besoin de récompense pour ceux qui sont déjà lauréats, et argumentent en faveur de milliers de milliards de dollars de dépenses publiques supplémentaires… Peu importe ce que les précédents plans similaires n’ont pas réussi à accomplir.
Augmenter les impôts avant l’élection présidentielle serait du suicide politique… Donc la hausse attendra l’été 2022. Il est toutefois déjà possible de deviner qui sera visé.
Qui irait s’inquiéter des dépenses publiques, parmi les citoyens… puisque l’argent de l’Etat est utilisé pour financer allocations et programmes d’aide ? Et pendant ce temps, la dette continue de grimper…
Les dépenses publiques s’envolent, les déficits budgétaires atteignent des niveaux sans précédent depuis la Deuxième guerre mondiale… mais visiblement, cela n’inquiète personne.
Les annonces que le désastreux Bruno Le Maire distille au compte-gouttes donnent des indications très prévisibles, mais toujours aussi anxiogènes et urticantes, sur les arbitrages qui suivront la pandémie : d’abord, les dépenses publiques continueront à croître, ensuite, la caste et les copains de la caste seront épargnés, mais tous les autres devront payer. Et ils prendront cher.
Quatre années supplémentaires de trumpisme auraient-elles vraiment changé quelque chose, par rapport à ce que nous réserve le mandat de Joe Biden ?
La situation en France devrait se tendre rapidement car les organisations internationales commencent à faire pression sur le gouvernement pour qu’il baisse les dépenses publiques. Le chômage partiel devrait peu à peu être supprimé, sauf à créer une nouvelle crise de la dette en Europe. Attention à une accélération de ces calendriers qui pourraient avoir un impact fort sur la fiscalité du patrimoine.
Les dépenses publiques vont largement dépasser le cap historique des 60% du PIB en 2020. Mais le gouvernement ne compte que sur la reprise en 2021 pour réduire leur poids, sans s’attaquer aux dépenses inutiles – et il programme déjà de nouvelles dépenses…
Républicains et démocrates ont de grandes ambitions pour relancer l’économie américaine suite à la crise du coronavirus – et dans les deux camps, c’est du grand n’importe quoi.
Une lune maléfique se lève… et des loups-garous hantent les Etats-Unis. En cause : une vision entièrement déformée de l’argent, d’où il vient et ce qu’il permet de faire.
Maintenant que la pandémie de coronavirus donne des signes d’apaisement, les autorités se consacrent à l’après-coronavirus et à la relance de l’économie – et comme toujours, c’est en dépit du bon sens…
Les Républicains ont proposé un plan de relance à 250 Mds€. Ce projet prévoit la suppression de certains impôts sur les entreprises, des baisses d’impôt par ailleurs… mais au final une intervention accrue de l’Etat dans l’économie, et surtout, aucune remise à plat de notre bureaucratie hypertrophiée.