Janet Yellen voit les choses en grand… tout comme Joe Biden… Donald Trump… Barack Obama… et tous les autres. Est-ce vraiment un programme viable à long terme pour un empire vieillissant ?
déficits US
-
-
Inflation et récession
Le CBO réussira-t-il à maîtriser les déficits et soutenir la croissance ?
par Bill Bonner 10 février 2012Sortez les baguettes ! Révisez vos sushi ! Apprenez à lire de droite à gauche et de haut en bas ! Oui… l’Occident devient japonais ! Voici la situation japonaise en quelques mot
-
Inflation et récession
Les déficits américains sont en hausse… la Chine aussi
par Bill Bonner 23 novembre 2011La situation est simple. Les autorités dépensent trop. N’importe quel benêt ou démocrate peut voir que ça ne peut pas continuer ainsi.
-
Guerre des monnaies
Du dollar à l'euro, la solution miracle aux déficits américains
par Bill Bonner 27 mai 2011L’empire américain a toujours été une catastrophe du point de vue financier. Son activité principale est, grosso modo, le racket. L’empire établit sa paix… et demande qu’on lui paie des tributs en retour. Il fait souvent la guerre… pour étendre ses parts de marché et piller les vaincus.
-
Selon nos calculs, les autorités américaines perçoivent environ 2 000 milliards de dollars de recettes fiscales. Elles dépensent environ 3 600 milliards de dollars. Voilà comment on obtient un déficit budgétaire record de plus de 1 600 milliards cette année. Les dirigeants américains dépensent environ 1,80 $ pour chaque dollar de revenus, le plus grand déséquilibre depuis la Deuxième guerre mondiale
-
Les obligations américaines ont chuté la semaine dernière. Les autorités ont emprunté plus. Le déficit de janvier atteignait près de 50 milliards de dollars. Cela met les Etats-Unis sur la voie d’un déficit record. Attendez une minute. Nous sommes dans la cinquième année depuis le début de la crise. On pourrait penser que les finances fédérales seraient en train de revenir à la normale.Que se passe-t-il
-
Les données de l’Institut Cato concernant les salaires publics par rapport aux salaires privés (c’est-à-dire les contribuables) annoncent des salaires et des avantages publics de 119 982 $ en 2008 contre 59 909 $ pour le secteur privé la même année. C’est le double ! Et l’écart se creuse encore. Il y a 10 ans, le fonctionnaire lambda gagnait 66% de plus en salaire et avantages que le contribuable qui travaille dans le secteur privé
-
Le prix de l’or a largement triplé depuis 2001, quand une once ne coûtait encore que 300 $ environ (vous vous en souvenez ? Ah, c’était le bon temps !). Depuis un an à peu près, l’or est resté stable, dans la tranche des 900 $, 980 $. Il grimpe un peu, baisse un peu. A ce niveau, la situation de l’or n’est pas encore dramatique. Nous n’avons pas vu de mouvement important dans un sens ou dans l’autre. Mais les grande vagues vont se produire un jour
-
Nous revenons toujours à la même pensée, ces derniers temps : rien n’est plus dangereux que la bonne fortune. Ou comme le disait le grand philosophe mongol Prança Dantafas : "la chance vous donne toujours un bon coup de pied dans le derrière". Si vous êtes assez chanceux pour gagner au loto, faites attention à vous. Quasiment tous les gagnants du loto finissent ruinés
-
Epargne
Grêle de mauvaises statistiques sur les bourgeons de reprise
par Philippe Béchade 11 juin 2009Sur les huit premiers mois de l’exercice budgétaire 2009, le déséquilibre budgétaire global des Etats-Unis a plus que triplé par rapport à la période correspondante de l’exercice 2008/2009. Il s’élève à 992 milliards de dollars, soit 11% du PIB en rythme annuel. Pour mémoire, en Europe, la norme maastrichtienne en matière de déficits budgétaires est de 3%
-
La Californie peut s’enorgueillir de détenir trois des cinq premières places du pays en matière de chute des prix de l’immobilier en l’espace de deux ans. Et ce sont -51,1% à Stockton, avec en prime le second plus fort taux de negative equity des Etats-Unis puisque 57,5% des acheteurs perdent de l’argent par rapport à leur prix d’acquisition. Le numéro un toutes catégories confondues reste toutefois, Las Vegas, dans le Nevada. On y enregistre une chute de moitié du prix des biens immobiliers
-
Il y a quelques temps, le FMI a doublé ses estimations concernant les pertes du secteur bancaire, les faisant passer à 2 000 milliards de dollars. De plus, le gouvernement américain de 2009 ne compte pas uniquement son budget en milliers de milliards de dollars, il compte ses déficits budgétaires en milliers de milliards. Selon les dernières estimations, le tout premier budget du président Obama produira un déficit de 1 800 milliards de dollars en 2010. Et c’est là l’hypothèse optimiste
-
Le marché baissier de l’immobilier américain a coulé un propriétaire sur quatre. Et à présent, la récession/dépression menace de mettre K.-O. le reste de l’économie. "Le déficit américain quatre fois supérieur au record de l’an dernier", annonce la presse. "Le gouvernement fédéral empruntera près de 50 cents pour chaque dollar dépensé cette année". Cette nouvelle aurait dû nous couper le souffle — s’il nous en était resté
-
Quatre-vingt deux pas en arrière… un pas en avant. Bienvenue dans le Meilleur des Mondes de la finance gouvernementale américaine. A l’automne dernier, sans même un murmure de la part des autorités élues, l’ancien secrétaire au Trésor des Etats-Unis a distribué 170 milliards de dollars aux incompétents d’AIG. La semaine dernière, l’actuel président des Etats-Unis a triomphalement annoncé que son nouveau budget "économiserait" 17 milliards de dollars grâce à l’élimination de 121 programmes fédéraux. En d’autres termes, dix pas en arrière… un pas en avant. Et il y a pire
-
L’or a pris jusqu’à 100 $ en séance mercredi, terminant sur une hausse de 50 $ — la plus importante à ce jour. Les investisseurs cherchaient un endroit sûr pour leur argent. Depuis l’époque de Pompéi, l’or a été un refuge de choix pour tous les investisseurs. Il l’est toujours. Et si l’on se fie aux conditions de marché, l’or deviendra un choix évident pour des investisseurs de plus en plus nombreux
-
Il y a trois types d’économies, selon les économistes locaux. Les économies développées. Les économies non développées. Et l’Argentine. Plus de détails ci-dessous… Une bonne question : quand les Asiatiques se lasseront-ils de financer les 800 milliards de dollars de déficit courant annuel des Etats-Unis ? Bien entendu, nous ne connaissons pas la réponse. D’après les preuves, ils devraient déjà en être arrivés là. Mais les Asiatiques ont acheté des investissements libellés en dollars US pour deux raisons. D’abord, parce que ces investissements étaient sûrs. Ils constituaient un bon "garage" où ranger leur "surplus d’épargne". Les Asiatiques pensaient qu’ils n’auraient plus à s’en soucier.