Le scénario de stagflation semble de plus en plus probable… mais faut-il réellement craindre une spirale inflationniste ?
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DetteInflation et récessionKrach boursierKrach boursier imminent 2018Simone Wapler
Déjà la fin de la bulle de tout ?
par Simone Wapler 25 octobre 2018Une correction ou un krach ? Selon The Wall Street Journal, les investisseurs professionnels sortent du marché. Les marchés sont toujours en mode décrochage et, hier, c’était le livre beige de…
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Banques CentralesInvestissement
Les marchés se dirigent-ils vers une correction ?
par La rédaction 21 mars 2017La hausse d’une entreprise « au bord du gouffre » et l’adage « trois pas en avant et un en arrière » incitent à la prudence…
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▪ « Plus de réseau ! » Périodiquement, ce cri éploré retentit par nos bureaux, repris de pièce en pièce par des rédacteurs effarés, des webmasters consternés, des éditeurs éplorés. C’était le cas hier matin.
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Inflation et récession
Qu’est-ce qui rend une correction « grande » ? (2)
par Bill Bonner 18 mai 2012▪ Nous avons vu hier que jusque dans les années 20, les dépressions aux Etats-Unis étaient relativement courtes. Et puis est arrivée la Grande Dépression elle-même.
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Or & Matières Premières
Les prix des matières premières en phase de correction
par La rédaction 17 mai 2012Les prix des matières premières, dans leur ensemble, sont dans une phase de correction depuis déjà un an. Ils ont perdu environ 16% depuis leur plus haut en mai 2011.
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Inflation et récession
Qu’est-ce qui rend une correction « grande » ? (1)
par Bill Bonner 17 mai 2012▪ Tout baisse, en ce moment. Même l’or.
Attendez une minute. Dans la mesure où nous savons, grâce à Einstein, que tout est relatif, tout ne peut pas baisser. Si tout baissait, tout serait immobile. Il faut qu’autre chose grimpe, comme point de référence.
Quoi donc ?
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Inflation et récession
Pourquoi vouloir à tout prix endiguer la Grande Correction ?
par joelbowman 20 mars 2012▪ Les marchés grimpent parce que… parce que… Et l’or baisse parce que… parce que… Eh bien, nous n’en savons rien. Et nous nous méfions de quiconque affirme le savoir.
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Nous sommes revenu à Baltimore la semaine dernière. Les gens traînaient dans les bars. Des petits groupes revenaient du stade à pied, les épaules basses, la mine triste. La ville était sombre… et malheureuse.
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Les chiffres de l’emploi américain sont louches. L’an dernier, 1,1 million de nouveaux emplois ont été créés au total. Ce qui peut sembler pas mal — sauf quand on réalise que l’économie doit ajouter environ 120 000 emplois par mois — ou 1,4 million par an — simplement pour tenir le rythme de la croissance démographique
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Puisqu’elles n’avaient rien appris au début des années 2000, les autorités se sont remises au travail en 2008-2009, répétant et multipliant leurs erreurs. Au lieu d’accumuler des déficits de 500 milliards de dollars, elles sont passées à des déficits de 1 500 milliards de dollars. Au lieu de faire passer les taux sous l’inflation, elles les sont mis aussi bas que possible — à zéro, dans les faits. En plus, elles ont nationalisé des secteurs entiers, renfloué des grandes entreprises et se sont mises à ajouter d’immenses engagements financiers que personne ne comprenait vraiment
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L’administration Obama prévoit un déficit budgétaire de 1 600 milliards de dollars, le plus élevé à ce jour, durant l’exercice fiscal actuel, entamé le 1er octobre. On peut lutter contre une correction. On peut la retarder. On peut la fausser. On peut la rendre plus grande et plus méchante. Mais on ne peut la vaincre. Les erreurs doivent être corrigées en fin de compte… d’une manière ou d’une autre
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Epargne
Le krach ne nous inquiète plus… c'est bien ce qui le rend dangereux !
par Bill Bonner 14 avril 2010Quand le krach du désendettement reprendra-t-il ? Quand nous cesserons de nous en inquiéter. Cet après-midi, nous avons réalisé qu’en notre for intérieur, nos sentiments avaient changé : nous avons cessé de nous inquiéter de la reprise du marché baissier. Non que nous ayons cessé d’y penser. Nous y pensons tous les jours. Et nous sommes certain que ça arrivera. Mais nous avons cessé de nous en inquiéter
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Nous sommes encore en mode rebond, après la grande chute entre 2007 et mars 2009. A court terme, notre chercheur en chef — Charles Delvalle, qui garde un oeil sur nos investissements, dans notre bureau familial — est haussier : "La tendance intermédiaire pour le Dow Jones est toujours à la hausse. Cette tendance a été confirmée après que le Dow a dépassé son sommet du 19 janvier. Nous pourrions assister à un recul de cette tendance, et l’on reviendrait tester les plus hauts de janvier. Tant que le Dow réussit à rester au-delà de ce seuil, nous pourrions le voir tenter les 11 000 dès [cette] semaine"
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Difficile d’avoir une idée claire de ce qui se passe au niveau du marché immobilier. Selon Case-Shiller, les prix grimpent dans de nombreuses régions des Etats-Unis. Mais il en va de même pour les stocks. Désormais, il faut 13,9 mois pour vendre une nouvelle maison — un record, et une hausse de 50% par rapport à l’an dernier. Cela doit décourager beaucoup de vendeurs. Ceux qui peuvent se le permettre pourraient maintenir leurs maisons hors du marché — en attendant un retour à une période plus favorable
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La semaine dernière, nous avons gardé l’oeil sur l’or… et sur le dollar. A mesure que le dollar grimpe, l’or baisse. Nous ne pensions pas que les choses se passeraient ainsi. Nous nous attendions à un krach boursier d’abord
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Pauvre Adolf Merckle. Le magnat devait en être à son dernier milliard. Il a été "brisé" par la crise du crédit, affirme le Financial Times. Il a écrit un mot d’adieu et s’est jeté sous l’express de 7h30 à destination de Munich. Pour autant que nous en sachions, l’effondrement mondial a effacé jusqu’à 30 000 milliards de dollars, selon un chiffre que nous avons vu, mais relativement peu de vies
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L’or baisse. Les actions grimpent. Le lecteur remarquera que ces tendances vont dans la direction opposée à celle que nous pensions les voir prendre. Depuis le début de la décennie, nous achetons l’or et nous vendons les actions. Nous ne modifierons pas notre tactique avant la fin de la décennie — sauf si nous perdons tout notre argent ou si nous trouvons une raison convaincante de changer